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Bienvenue sur le blog des communistes de Villepinte

La sidérurgie a encore un avenir (document)

4 Décembre 2012, 18:58pm

Publié par PCF Villepinte

  le 4 Décembre 2012

ArcelorMittal

 

Le Gramef, un groupe d’experts issus d’Arcelor, confirme que la stratégie du groupe ArcelorMittal a défavorisé le site de Florange, et souhaite l’intervention de l’État.

Pas moins de quatre expertises ont démontré que le site de Florange était viable et rentable. Le Gramef, groupe de réflexion sur l’avenir de la métallurgie en France, qui réunit des experts, dont d’anciens responsables d’Arcelor, apporte sa pierre à l’édifice. Comme le démontre Jean-Louis Montagut, un des experts, Florange a été défavorisé par la politique d’ArcelorMittal. « Ils ont investi dans l’achat de mines à des prix élevés et ont préféré sacrifier l’outil industriel. » Ce revirement stratégique a également plombé le groupe, avec un endettement record, de 23,2 milliards de dollars.

Les 180 millions d’euros promis par la direction du groupe au gouvernement ne permettront pas de rattraper le sous-investissement chronique à Florange. « C’est un investissement minimaliste », note l’expert. Le rapport Faure préconisait d’injecter de 400 à 500 millions d’euros pour moderniser le site. En plus d’avoir laissé à l’abandon les installations, ArcelorMittal a déséquilibré les productions entre les deux sites de Florange et de Dunkerque, en ne s’intéressant qu’aux sites côtiers qui reçoivent ses minerais.

Sites viables

Pourtant, les sites continentaux comme Florange sont viables. « En Allemagne, Ecostal fonctionne très bien ! Et Florange est située à proximité de ses clients, notamment allemands, ce qui constitue un autre atout », note l’expert.

L’État doit garder la main sur un secteur industriel à la santé fragile. La France n’a produit que 15,7 millions de tonnes d’acier en 2011, 22 % en deçà de la production annuelle moyenne en France entre 2003 et 2007. Près de 900 000 emplois ont disparu dans l’industrie depuis 2000. Pour Jean-Louis Montagut, « on risque de progresser vers cette désindustrialisation que nous fait subir Mittal. Avoir cédé plus de 80 % de notre sidérurgie nationale à un seul homme, c’est une erreur ! La moitié de notre production d’aluminium doit déjà être importée, on ne doit pas sacrifier notre sidérurgie. Quand Arnaud Montebourg a proposé la nationalisation temporaire, c’était une bonne idée, il fallait assurer un revirement stratégique digne de ce nom et en profiter pour exproprier Mittal sur la partie froide de l’usine. Nous savions que deux repreneurs étaient intéressés par l’intégralité du site ».

Vendredi, le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, était fier d’annoncer qu’il n’y aurait pas de plan social sur le site de Florange. Le groupe d’experts regrette que le gouvernement fasse encore confiance à Mittal, « alors qu’il a rarement tenu ses engagements, y compris vis-à-vis des États ».

  • A lire aussi:

L'acier, un haut fournisseur de richesses durables

André Chassaigne: "Cet abandon est grave pour notre avenir industriel"

  • A consulter aussi:

Document: La sidérurgie, une filière essentielle pour le développement industriel et économique (CGT)

Cécile Rousseau

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Crédit d'impôts : « jamais les exonérations de cotisations patronales n'ont eu le moindre effet sur l'emploi »

4 Décembre 2012, 18:52pm

Publié par PCF Villepinte

 

 

Crédit d'impôts : « jamais les exonérations de cotisations patronales n'ont eu le moindre effet sur l'emploi »
Hier à Florange, le gouvernement fait confiance à Mittal dont on sait combien les engagements passés ont été trahis. Aujourd'hui, à l'Assemblée, le gouvernement veut faire confiance aux entreprises en refusant toute conditionnalité sur l'emploi, les investissements, la recherche, la formation aux 20 milliards de chèques cadeaux. Bruno le Roux prend date en proposant une évaluation de ce dispositif dans un an. Pourquoi attendre ? Il suffit de tirer expérience des 30 dernières années : jamais les exonérations de cotisations patronales n'ont eu le moindre effet sur l'emploi.

Confiance toujours, le président Hollande veut toujours croire à l'inversion de la courbe du chômage pour la fin de l'année 2013 alors que l'orientation prise, celle d'une austérité aggravée, fera basculer notre pays, comme d'autres en Europe, dans la récession.

Toutes celles et ceux qui se reconnaissent dans des valeurs de gauche veulent mettre leur confiance et leur espoir ailleurs. Dans son discours du Bourget, le candidat Hollande avait observé : "ils ont échoué parce qu'ils n'ont pas commencé par le rêve". Alors pourquoi aujourd'hui faire le choix du renoncement alors qu'il y aurait tant à faire. Ça urge !

Olivier Dartigolles porte parole du PCF

 

 

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Bernard Thibault : "Je ne crois pas que Florange soit sauvé" (vidéo)

3 Décembre 2012, 19:43pm

Publié par PCF Villepinte

Social-Eco - le 3 Décembre 2012

 

 

Le secrétaire général de la CGT Bernard Thibault estime, comme les syndicats locaux, que Florange n’est pas sauvée. Il a également dénoncé ce lundi matin sur France Info "un renoncement condamnable de la part du gouvernement" dans le dossier du site ArcelorMittal.

Suite à l'accord entre le gouvernement et le groupe sidérurgiste, annoncé vendredi, le site de Florange n’est pas sauvé, estime Bernard Thibault. Il se joint à la déception des syndicats locaux, pour qualifier cet accord de renoncement condamnable de la part du gouvernement. La CFDT ayant même parlé de trahison.

"Dans les jours précédents" l'annonce de l'accord, "tous les élus syndicaux, tous les élus locaux, un grand nombre de responsables politiques de tous bords ont dit : -dans cette situation il ne serait pas aberrant d'innover-, aussi au regard de l'attitude de M. Mittal sur la scène internationale", a-t-il estimé, en demandant une participation financière directe de l'Etat. Il a rappelé à ce propos que c’est un rapport commandé par le gouvernement lui-même, et remis en juillet,  qui préconisait une participation directe de l’Etat dans les activités de Florange.
Bernard Thibault a rappelé qu'après un plan quasi-identique, "en Belgique, les salariés de Liège font le constat qu'après les mêmes promesses de Mittal que celles qui ont été faites au gouvernement français, aujourd'hui les activités sont rompues, on est sur la gestion sociale des licenciements".

En outre, a-t-il poursuivi, l'accord "pose d'énormes problèmes". "On ne maintiendra pas des hauts fourneaux en sommeil pendant des années. La décision de ne pas redémarrer l'activité sur la filière chaude laisse entendre qu'on la condamne tout simplement". "Techniquement, on ne peut pas laisser ce type d'installation au repos très longtemps, ou alors cela coûte énormément cher pour ne rien produire", a observé Bernard Thibault. Et c'est d'autant plus improbable vus les problèmes de trésorerie de Mittal.

 

Florange: Arnaud Montebourg ne se sent pas désavoué

Florange: déception et colère des syndicats après le compromis du gouvernement

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Vidéos : Les assises de l'écosocialisme du Parti de gauche

3 Décembre 2012, 19:37pm

Publié par PCF Villepinte

Décembre 2012

 Ce week-end se tenaient les Assises du Parti de gauche : pour un écosocialisme. "L’écosocialisme n’est rien d’autre que la doctrine du mouvement socialiste refondée dans le paradigme de l’écologie politique", selon Mélenchon.
Cette journée était très ouverte, avec près de quarante intervenants dont le philosophe Henri Pena Ruiz, René Ramiez, ministre équatorien, Susan George, présidente d'honneur d'ATTAC ou encore l’un des pionniers de l’écosocialisme, sociologue, le philosophe marxiste et écosocialiste franco-brésilien Michael Löwy.

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L’accord Mittal-gouvernement est un renoncement à l’ambition d’une relance durable du site de Florange (Pierre Laurent)

1 Décembre 2012, 23:21pm

Publié par PCF Villepinte

 

 

 

L’accord Mittal-gouvernement est un renoncement à l’ambition d’une relance durable du site de Florange (Pierre Laurent)
Après l’annonce du gouvernement, les hauts fourneaux de Florange vont rester à l’arrêt. De nombreux emplois sur le site continuent d’être menacés. Le gouvernement parle d’absence de plan social mais donnerai son feu vert à des reclassements et des pré-retraites financés sur fonds publics. Voilà la vérité sur l’accord annoncé entre Mittal el le gouvernement. C’est de la part du gouvernement un renoncement à l’ambition d’une relance durable du site. Les fumeuses promesses d’investissements de Mittal, contraire à tous ses actes, ne sont en rien une garantie. Mittal continue de jouer les sites français et belges, les uns contre les autres.

Le PCF comprend la colère des salariés et élus locaux devant cette démission de la puissance publique. L’accord Mittal-gouvernement ne peut en aucun cas être un point final au dossier de Florange ni à celui de l’ensemble de la filière sidérurgique française. Les salariés ne doivent pas être à nouveau abandonnés aux griffes de Mittal. Je demande la mise en place immédiate d'un comité national pluraliste associant syndicats, élus locaux, parlementaires, état, industriels et banques pour continuer dans la transparence à construire les solutions industrielles d’avenir inexistantes après cet accord.

 

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Blanc-Mesnil porte plainte contre la SNCF et la RATP

1 Décembre 2012, 07:22am

Publié par PCF Villepinte

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Fort de nombreux témoignages, le maire (PCF) de Blanc-Mesnil, Didier Mignot, va porter  plainte au tribunal administratif contre la SNCF et la RATP pour discrimination territoriale. Entretien avec Didier Mignot.

 

 Vous avez décidé de porter plainte contre la SNCF, la RATP et le RFF pour discrimination territoriale, liée aux nombreux dysfonctionnements du RER B. Pourquoi cette démarche ?

Didier Mignot. C’est l’exaspération des gens qui m’a poussé à déposer cette plainte. Les Blancs-Mesnilois, usagers de cette ligne, souffrent de manière récurrente des dysfonctionnements. Il y a aussi eu l’épisode du 7 novembre qui a été un élément déclencheur pour les usagers. Ils ont le sentiment d’être maltraités. Tout cela a fait monter la colère d’un cran.

 

Ce matin à la gare du Blanc-Mesnil, vous allez informer les habitants du dépôt de cette plainte. Comptez-vous recueillir des témoignages ?

Didier Mignot. Oui, nous allons distribuer un quatre pages qui a vocation à rassembler des témoignages des usagers de cette ligne. Ce sera une façon d’étayer ma plainte et de l’amplifier. Nous espérons faire bouger des lignes.

 

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Concrètement, quelles sont les conséquences sur la vie quotidienne des usagers ?

Didier Mignot. Quand un Blanc-Mesnilois ou une Blanc-Mesniloise a un entretien d’embauche et qu’il dit habiter sur la ligne du RER B, le patron refuse de l’embaucher parce qu’il sait qu’il ou elle aura du retard plus d’une fois par semaine. Il y a aussi les impacts sur la vie familiale. Quand une maman a une heure et demi de retard, comment fait-elle pour récupéer son petit à la crèche ou à l’école ?

 

Est-ce que la gare de Blanc-Mesnil est plus affectée que les autres ?

Didier Mignot. Oui. Du fait de la géolocalisation de notre gare, quand il y a un problème sur la ligne du RER B, nous sommes la variable d’ajustement et le train ne s’arrête pas à notre gare. C’est la double peine.

 

C’est un problème qui dure depuis longtemps. Quelles sont les explications que vous donne la SNCF et la RATP ?

Didier Mignot. Depuis plusieurs années, j’agis sur la question. A chaque fois, on déplore la situation et on nous dit qu’on va faire mieux pour traiter des problèmes. En fait rien ne se passe et la situation se dégrade. Aujourd’hui, Blanc-Mesnil est desservi tous les quart d’heure. Mais quand ça ne marche pas c’est toutes les demi-heures. La SNCF parle d’un projet RER Nord Plus : tous les trains s’arrêteraient à toutes les gares toutes les cinq minutes en heure de pointe. Ce serait une amélioration notable mais pour le moment rien ne se passe...

 

Vous parlez de rupture de l’égalité devant le service public...

Didier Mignot. Oui, c’est le droit à la mobilité des citoyens de la région parisienne qui est mis à mal. Régulièrement, il s’agit d’incidents matériels. La vraie cause, c’est le manque d’investissement et d’entretien du matériel.

 

Entretien réalisé par Ixchel Delaporte

photos D.R

 

 

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Le Medef exige la flexibilité tout de suite, pour la sécurisation des salariés, on verra plus tard !

1 Décembre 2012, 07:20am

Publié par PCF Villepinte

Le patronat a mis un coup de pression pour exiger un maximum de flexibilité

 

 

La séance de négociation sur la sécurisation de l'emploi de vendredi a été l'occasion pour le patronat de remettre un coup de pression sur la flexibilité et de donner en contrepartie, des miettes pour la sécurisation de l'emploi des salariés. Pour la CGT et FO, la discussion fait du sur place. Pour la CFDT, la CFTC et la CFE-CGC, il a du mieux. Dans tous les cas, on est loin d'un accord.

« A ce stade de la négociation, il est extrêmement important qu'on ait des éléments sur la flexibilité », lance Patrick Bernasconi, négociateur pour le Medef. Dans la séance de discussion sur la sécurisation de l'emploi qui s'est tenue vendredi, le patronat a mis un coup de pression pour exiger un maximum de flexibilité, allant jusqu'à dire qu'il n'y aurait pas d'accord "si la balance n'était pas équilibrée".

Pour Agnès le Bot, de la CGT, « le Medef a essayé de rendre le texte présentable, mais il est structurellement mauvais », estimant que la négociation était dans « une impasse ». Constat partagé par Stéphane Lardy de FO, « Ce texte est arrogant, nous n'avons pas de droits nouveaux pour les salariés, mais des faux droits conditionnées à des négociations de branches ou à des groupes de travail ». Le Medef a assuré qu'il y avait des avancées du côté de la sécurisation des salariés, présentant les droits rechargeables pour les chômeurs, la création d'un compte individuel de formation ou un droit à la complémentaire santé universelle. Mais pour la CGT, FO et la CFDT, il y a trop de renvois à des négociations ultérieures ou des accords de branches. Alors que le patronat souhaite que la flexibilité, comme les accords de compétitivité emploi, soit immédiate.

La question des droits rechargeables pour les chômeurs pose problème. Le Medef envisage en contrepartie de baisser l'indemnisation des demandeurs d'emploi, pour ne pas plus creuser le déficit de l'Unédic (organisme de gestion paritaire de l'assurance chômage). Ce qu'ont rejeté la plupart des syndicats. Sur la taxation des CDD, le patronat a opposé un feu rouge aux syndicats. Pour Patrick Pierron de la CFDT. « On imagine pas un accord si on ne limite pas les contrats courts, alors que les statistiques explosent ». Pour Joseph Thouvenel de la CFTC, c'est aussi « un point central de cette négociation ». Par ailleurs, la CFDT et la CFTC, plus nuancées, ont salué le texte patronal comme un vrai document de travail.

Quant à Marie-Françoise Leflon, de la CFE-CGC, elle a jugé qu'on est « assez loin de l'équilibre » entre flexibilité et sécurisation des salariés dans ce texte, mais que c'est « un bonne base pour travailler ». Prochaine séance de négociation jeudi prochain.

  • Lire aussi :

Le diktat du Medef aux syndicats
Flexibilité: un texte patronal sans surprise

Le CDI, un territoire flexible pour le Medef

Cécile Rousseau

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Pourquoi nous refusons l’austérité

1 Décembre 2012, 07:12am

Publié par PCF Villepinte

Lettre ouverte des séntarices et sénateurs communistes

 

Une trêve n’est pas la paix, elle ne saurait régler le fond du problèmeLa notion de compétitivité a été inventée pour justifier l’austérité et la soumission des salariés à la financeLa formule des partenariats public-privé est un gouffre pour les finances publiques
Un mauvais coup pour l’Ile-de-FranceIl faut mieux encadrer le travail à temps partielLa fermeture des 2/3 de nos maternités a entraîné une véritable fracture sanitaire

 

Depuis plusieurs semaines, les sénatrices et sénateurs du groupe communiste républicain et citoyen ont travaillé sur des textes fondamentaux et structurants pour l’avenir de notre pays.

Parmi ces textes, le Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG), la règle d’or, le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) et le projet loi de Finances (PLF) pour 2013, sont sans doute les plus emblématiques.

Nos votes sur ces textes ne relèvent pas d’une posture circonstancielle. Ce sont des votes responsables qui prennent appui sur la volonté de changement qui s’est majoritairement exprimée dans notre pays en mai et juin derniers.

Ils portent les combats du Front de gauche contre la droite et l’extrême droite, mais sont aussi exigeants pour que cette volonté de changement se concrétise par des décisions et des actes forts du gouvernement, attendus par nos concitoyens pour répondre à leurs besoins.

En n’approuvant pas ces textes, notre groupe a provoqué leur rejet par le Sénat.

Faut-il le rappeler ? Il n’y a pas de majorité de gauche au Sénat sans les 20 membres du groupe CRC.

 

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Le refus de nationaliser laisse Florange et les salariés dans les griffes de Mittal

1 Décembre 2012, 07:08am

Publié par PCF Villepinte

 
Le refus de nationaliser laisse Florange et les salariés dans les griffes de Mittal

 

On connait dorénavant le scénario de Jean Marc Ayrault. Il annonce un accord avec Mittal pour éviter un plan social et la poursuite de l'activité à Florange. Le scénario du premier ministre a déçu les 650 salariés car il peut tourner vite en mauvais film, ces prochains mois. Comment faire confiance à l'investisseur Mittal et à ses engagements, d'autant que les hauts fourneaux restent fermés et ne redémarrerons pas à court terme ? Comment croire à des investissements de Mittal de 180 millions d'euros en 5 ans bien insuffisants quand le PDG indien ferme depuis des années tous ces sites en Europe ?

Le gouvernement s'est refusé à nationaliser un secteur industriel stratégique. La solution annoncée n'est pas à la hauteur, au vu de l'enjeu industriel. La seule garantie qu'aurait dû prendre le premier ministre aurait été de prendre la main avec une majorité de blocage au sein du conseil d'administration sur la base d'investissements publics, garantissant l'avenir de Florange.

 

 

 

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