Réforme territoriale : Halte au massacre !
La réforme des collectivités territoriales reportée
lundi 30 novembre
2009 / ocastex
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Bienvenue sur le blog des communistes de Villepinte
Les communistes de villepinte vous invitent à utiliser ce blog comme point de rencontre et d'échanges concernant la situation politique ,économique ,sociale et environnementale du local à l'international.
La réforme des collectivités territoriales reportée
lundi 30 novembre
2009 / ocastex
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SINE HEBDO met en image les fantasmes de 82% des français.
Le combat idéologique engagé par
Nicolas Sarkozy autour de l’identité nationale ne peut être réduit à une simple manœuvre électorale contre la gauche ou politicienne vis-à-vis du Front
national.
Au-delà de la conjoncture actuelle, il y a la volonté chez lui de donner de l’ampleur à l’objectif qu’il s’était fixé dès sa prise de pouvoir au sein de l’UMP : rassembler toutes les sensibilités de la droite française autour d’un projet qui refondrait, dans les conditions nouvelles de la mondialisation capitaliste, son efficacité sociale, idéologique et politique.
Ce projet que l’on nommera, faute de mieux, libéral-populiste, a l’ambition de sembler sur la longue durée une majorité de notre peuple, particulièrement ses catégories populaires, autour des valeurs historiquement les plus conservatrices de la droite nationale, en prenant la précaution de les teinter de modernité et d’obtenir la caution de personnalités prétendument de gauche : la fascination pour la réussite individuelle, la valorisation inégalitaire du mérite au sein d’une concurrence définie comme naturelle, l’amour de la famille, de la terre et de la patrie, la passion du patrimoine, de l’argent et de la propriété, les attaques contre la laïcité prônant le retour du religieux comme mode de régulation sociale et comme référent symbolique, la légitimation de l’autorité dans toutes les sphères de la société, l’appel à la génétique pour définir les déviances sociales, sont autant de thèmes travaillés à longueur de discours et dont on aurait tort de sous-estimer l’impact par ces temps où la crise pousse à la perte et à la recomposition des repères.
Face à une aggravation brutale des effets sociaux de la crise du capitalisme mondialisé qu’ils savent inéluctable, les tenants du système sont aujourd’hui convaincus que la poursuite de cette domination passe par la reconquête d’une hégémonie culturelle et idéologique qui tente de refonder les termes d’un nouveau pacte national et social. Réduire la campagne sur l’identité nationale à un simple électoralisme, c’est s’interdire de voir l’ampleur de l’offensive idéologique, ses contenus comme son ambition : accompagner et permettre l’actuelle déréglementation sociale généralisée et l’attaque frontale contre la démocratie à tous les échelons.
L’identité nationale est un concept dangereux parce qu’il renvoie à une vision figée, linéaire, consensuelle de la nation française. Il n’y a pas d’identité collective homogène, mais des traits identitaires, des formes d’appartenance et de référence symboliques à une histoire elle-même complexe et par certains aspects contradictoire. Pour s’en tenir à la seule dimension politique de ces représentations, celles-ci se sont construites en France depuis la Révolution française autour des combats émancipateurs symboliquement définis par la devise républicaine, liberté, égalité, fraternité, actualisées à chaque étape d’une histoire contradictoire qui a opposé les acteurs de la Commune, du Front populaire, de la Résistance, de la solidarité internationale, de Mai 68 à une droite majoritairement belliciste et colonialiste, pétainiste et collaborationniste, anticommuniste et antisociale.
C’est dans ce contexte que s’est également construit notre rapport à l’immigration, à laquelle le patronat français a largement fait appel pour des raisons purement économiques et démographiques. Là aussi, le mouvement ouvrier, particulièrement au siècle dernier, a opposé à cette logique le droit du sol, le syndicalisme unique, l’universalité de ses valeurs et une intégration politique. Certes, ce modèle était culturellement assimilationniste et sa crise renvoie non seulement à la mutation radicale des modes de production, mais aussi à une aspiration des migrants d’aujourd’hui à faire vivre la diversité culturelle dont ils sont porteurs, parfois même de la pire des manières, le communautarisme. À nous de leur proposer d’inventer ensemble, contre la politique d’exclusion Sarkozy-Besson, un nouveau modèle fondé tout à la fois sur la libre circulation des individus, sur l’égalité des droits, sur le refus de toute discrimination, le respect de l’altérité culturelle tout en favorisant l’échange, le métissage et les combats communs.
Juste repris d'un blog du Monde, sans même avoir à y retoucher, brut de fonderie.
Le saviez-vous ?
Question subsidaire : qui en parle et appelle à s'organiser ? (plus de 4 000 000 de chômeurs officiel (DOM TOM compris, exclus partiellement...exclus).
"27 novembre 2009
Quand les chômeurs financent les traders
L’Unedic vient de lancer avec succès un emprunt obligataire de 4 milliards d’euros. Le précédent qui datait de 2005 venait à expiration en février prochain. Il s’agissait donc de prendre le relais. Les gestionnaires du régime d’assurance-chômage peuvent être satisfaits: le taux est très bas, les institutions internationales y ont largement souscrit et en quelques heures, l’Unedic avait récolté plus d’argent qu’elle n’en attendait.
Notons que les banques n’ont pas fait non plus une mauvaise affaire. Dans ce type d’opérations, leur rémunération est traditionnellement de 0,1%, soit 4 millions d’euros, dont la moitié, paraît-il, pour les traders, qui n’ont pourtant pas eu beaucoup d’efforts à faire. Merci pour eux!
Comment s’est passé le choix des banques-conseils ? Un responsable résume: ” Impensable de ne pas prendre BNP Paribas, Michel Pébereau est trop influent; difficile de ne pas prendre Crédit Agricole, son président, Georges Pauget est président de la Fédération bancaire française, difficile aussi de ne pas prendre Natixis car l’Elysée apprécie que l’on soutienne Fraçois Pérol. Et pour faire bonne mesure on prend une banque étrangère qui en l’occurence a très bien travaillé, HSBC”.
Bizarrement, les appels d’offre sont rarissimes sur ce type d’opérations. On se demande pourquoi.
On s’ennuie au bureau, alors sur Google on
tape « Bachelot ».
http://www.betapolitique.fr/
Voir qui elle est, un peu.
La grippe A l’a si bien propulsée sous le feu des caméras.
Sur Wikipedia, c’est marqué ça : « Roselyne Bachelot-Narquin a occupé, avant d’entrer dans la politique au début des années 1980, le poste de déléguée à l’information médicale au sein du laboratoire ICI Pharma de 1969 à 1976, puis elle est chargée des relations publiques chez Soguipharm de 1984 à 1989 ». Tiens tiens, on ne savait pas. Mais faut vérifier, hein, Wikipédia raconte parfois n’importe quoi...
D’autant que son CV officiel, sur le site du ministère de la Santé, ne cause pas de ça du tout. On apprend plein de choses passionnantes, (...) Mais rien sur les douze années qu’elle aurait – conditionnel de rigueur – passé au service de l’industrie pharmaceutique. Un trou, là.
Alors, qui dit vrai ? Wikipédia ou le Ministère de la Santé ?
Et puis, on tombe sur (...) son vieux CV, lorsqu’elle était au Parlement européen, en 2004. Tout en haut, juste sous « née le 24 décembre 1946 à Nevers », elle détaille son « activité professionnelle » : « Déléguée à l’information médicale - laboratoires ICI Pharma - de 1969 à 1976. Chargée des Relations Publiques chez Soguipharm de 1984 à 1989. » C’était une fierté, apparemment, à l’époque : la preuve qu’elle avait travaillé dans la vraie vie. Celle de l’entreprise...
Mais pourquoi, alors, le cacher maintenant ? Pourquoi oublier ces douze années, qui pèsent quand même dans une (brève) carrière ? Pourquoi cette omission, alors que Roselyne Bachelot promet que « la transparence sera la plus totale, suivie scrupuleusement » ? Pourquoi ce silence, alors que la loi oblige les experts à déclarer leurs « conflits d’intérêts » ?
Le plus simple, c’était de lui demander.
On a essayé.
On s’est entêtés, même.
(...)
Aujourd’hui, c’est le grand jour : « A l’occasion de l’ouverture des centres de vaccination, Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Santé et des Sports, visitera le centre de vaccination Auguste Renoir à Paris. Lors de ce déplacement, la ministre se fera vacciner contre la grippe A (H1N1). » On va la croiser , enfin. (...)
« Madame Bachelot, est ce que c’est vrai que vous avez été porte-parole pendant douze ans de deux laboratoires pharmaceutiques ? »
Son sourire s’efface :
« Ah, écoutez, c’est absolument, écoutez, vraiment, cette accusation est absolument répugnante...
- Mais c’était bien Ici pharma et Soguipharm ? »
Elle se fâche :
« Pendant 6 ans j’ai travaillé dans un laboratoire pharmaceutique comme visiteuse médicale à 1 000 francs par mois comme boulot de, comme boulot d’étudiante pendant 6 ans, c’est comme, c’est comme si vous disiez aux jeunes gens qui travaillent chez Mac Do à vendre des... des hamburgers qu’ils sont à la solde de l’industrie agro-alimentaire ! »
Roselyne Bachelot s’échappe alors par la porte de derrière.
La réaction des collègues, mécontents eux aussi, ne tarde pas :
« Elle n’a pas aimé », « Ah, ben merci, elle est partie », « Heureusement que tu as posé ta question pas trop tôt sinon elle serait partie toute de suite et on aurait rien eu ».
« Mais, je les interroge, vous le saviez ?
- Non, mais l’investigation serait trop longue...
- Y a juste à regarder son ancien CV de députée européenne. Maintenant que vous le savez, vous reprendrez l’information ?
- Non. On n’est pas venu pour ça. On est venu pour la vaccination. »
Lors du conseil muncipal de mercredi soir,25 novembre, les statuts et le périmètre de la future intercommunalité Tremblay-en-France, Sevran, Villepinte qui doit débuter le 1er
janvier prochain, ont été adoptés par tous les membres de la majorité municipale. L'opposition(UMP et centre) a confirmé son opposition au projet en arguant qu'elle le trouvait trop limité.
C'est la même argumentation qui avait été développée par le Parti Socialiste, lors du conseil municipal de juin 2009 où un premier vote pour cette intercommunalité n'avait obtenu qu'une voix de
majorité.
Nous nous félicitons que les explications fournies par le Maire Madame Nelly Roland-Iriberry indiquant qu'elle continuera « à travailler
dans la concertation et l'ouverture dans la perspective d'une intercommunalité élargie pour laquelle elle s'est toujours mobilisée » et aussi « pour mieux peser dans l'organisation future de la
région capitale » aient porté leurs fruits.
La Commission "écologie" du PCF vient d’éditer le n°11 de "communisme et écologie".
Un numéro important à quelques jours du sommet de Copenhague, où l’on pourra notamment lire :
un édito d’Hervé Bramy, animateur du pôle écologie du PCF et secrétaire départemental du PCF93 ;
un point sur la recherche de la communauté scientifique mondiale ;
un compte-rendu de l’atelier de la gauche consacré au climat.
Communisme & Ecologie : http://www.pcf.fr/IMG/pdf/Lettre_decembre_09.pdf
Bonne lecture
Manifestations du 24 novembre 2009. Symboliquement les cortèges de La Poste et de L’éducation nationale se sont rejoints pour affirmer leur opposition globale aux réformes du
gouvernement
Une vidéo de la manifestation du mardi 24 janvier des enseignants et des postiers a été réalisée par l'équipe d'AlternaTV. N'hésitez à pas à la faire
connaître.
à voir sur:
http://www.alternatv.fr/services-publics-une-lutte-en-commun/a-la-une
Inscrire une trame verte dans le territoire local
et ainsi construire la Villepinte de demain !
« Stopper partout la perte de biodiversité », est l'un des objectifs essentiels des acteurs du développement durable. Une des manières de le faire, et la plus couramment admise, (Grenelle de l'environnement, agenda 21 départemental) est la construction de trames vertes, qui sont en mesure d'assurer les continuités et les proximités entre milieux naturels et ainsi permettre aux espèces de circuler et d’interagir et aux écosystèmes de fonctionner.
Porteur d'une politique de développement durable conforme à ses engagements, le maire de Villepinte a souhaité que cette idée soit déclinée localement. Ainsi, un ensemble d'espaces naturels, verts ou boisés, pourraient être mis en réseau. Il s'agit aussi, à travers cette démarche, de reconquérir, de requalifier ces espaces publics et d'en améliorer l'accessibilité. C'est une mesure indispensable pour préserver à Villepinte des lieux tranquilles pour la promenade et la détente. Seule cette trame verte peut favoriser la perméabilité de ces espaces, dans un territoire fracturé par des coupures urbaines lourdes comme par exemple l'autoroute A104 ou l'ensemble RER B, canal de l'Ourcq.
De quoi s'agit-il ? Simplement de relier dans une continuité verte : l’espace naturel de 100 hectares, de part et d’autre du ru du Sausset à Tremblay-en-France, les 200 hectares que constitue le parc départemental du Sausset (un des sites « Natura 2000 » du département), l’ancienne « pépinière » de 13 hectares, la Plaine Montceleux, réserve foncière de 35 hectares et enfin le « Bois de la Tussion » (25 hectares d’espace boisé départemental) et le « Parc de la Poudrerie » (137 hectares), ces deux derniers étant aussi des éléments du site « Natura 2000 ».
Ces poumons verts sont indispensables pour que notre (nos) ville(s) respire(ent). Cela dit, comment faire ? Le maire a souhaité, dans le cadre d'une convention d'étude et de recherche passée avec l'université Paris Ouest Nanterre-La Défense (ex-Paris X), qu'une équipe d'étudiants (géographes, paysagistes, architectes et juristes) travaille, entre autres, sur les liens à construire entre ces espaces.
D'ores et déjà un certain nombre de pistes de travail ont été avancées. Au nord, il convient certainement d’instaurer un « corridor naturel » d’une emprise confortable entre le parc des expositions de Villepinte et le quartier de la « Haie Bertrand ». Sur ce point il convient certainement que la société qui exploite le PEX accepte qu'une part importante et significative de ce couloir soit sur son emprise foncière. Plus au sud, entre le parc du Sausset et la zone de la pépinière, l'idée serait de construire un ouvrage de franchissement au-dessus de la bretelle de raccordement à l’autoroute. Cet ouvrage, d'une largeur confortable doit pouvoir permettre aux villepintois d'accéder tranquillement (à pied ou en vélo) et en toute sécurité au parc. Enfin, entre le stade dit des Peupliers et la Plaine Montceleux, l'objectif serait de travailler sur un réaménagement des voies existantes, d'en faire des zones calmes, piétonnes (sauf accès des riverains).
Fin de ce travail de recherche en partenariat avec l'université en avril prochain.
Comme on peut le constater, la tâche est difficile, mais passionnante. Il s'agit rien de moins que de changer la ville, de construire autrement NOTRE ville et d'améliorer la vie de ses habitants. Tout un chantier, que les élus et les villepintois vont devoir ouvrir.
Après le développement de son réseau de transport public, le lancement de son bilan carbone, les divers projets de constructions publiques tous respectueux de notre environnement, la mise en œuvre d'une trame verte permet à nos élus de franchir une étape de plus dans la construction d'une ville durable.
Réforme des collectivités territoriales de Sarkozy
Le Medef dit Merci
Rassemblement le 24 novembre à 18h30
métro Assemblée nationale
Après La Poste, Nicolas Sarkozy s'attaque au service public communal et
territorial.
Le projet gouvernemental de réforme des collectivités locales est une régression sans précédent dans l'histoire de la vie démocratique du pays. Il se cache sous le nom de Révision Générale des Politiques Publiques (RGPP). Sous couvert de simplification, l'objectif de cette « réforme » est d'éloigner les citoyen-ne-s
de tout pouvoir de décision et même de les priver de leurs représentant-e-s élu-e-s les plus proches, d'étouffer le service public et de le livrer aux affairistes. Ce projet accentuera les
inégalités entre territoires et citoyens.
La fin de la démocratie locale ?
La réforme des collectivités territoriales est une réduction drastique de tout le maillage de démocratie locale.
La plupart des compétences des communes et des départements seront absorbées par des établissements « commandés » par des préfets aux pouvoirs renforcés.
Les élus départementaux et régionaux fusionneront sous l'appellation d'élus territoriaux. Ils géreront donc des territoires beaucoup plus vastes au détriment de leur politique de proximité.
Plus de 100 000 élus seront supprimés. Nicolas Sarkozy dit qu'ils coûtent trop cher, alors qu'ils représentent 0,02% du budget des collectivités et que la plupart sont bénévoles.
La suppression de la taxe professionnelle
La taxe professionnelle représente 50% des ressources fiscales. Les ménages contribuent pour les autres 50%. Avec cette réforme, les recettes fiscales atteindront les 75% pour les ménages et les 25% pour les entreprises.
Les communes vont perdre plus de 11 milliards de ressources, un nouveau cadeau pour les entreprises, et elles dépendront des « subventions » de l'État. C'est encore la population qui paiera les pots cassés de ce remodelage antidémocratique
La concentration des pouvoirs
En concentrant tous les pouvoirs sur le chef de l'État, la Vème République ignore actuellement 70% des électeurs. Ce système injuste, au service du MEDEF et de la finance, permet tous les arrangements de famille, de clans et de petits postes pour son réseau d'amis.
Avec son projet de « Grand Paris » Sarkozy veut déposséder les maires de tout pouvoir d'aménagement, autour de toutes les gares notamment, au profit de la société du Grand Paris qui livrera aux promoteurs ces précieux terrains.
Il s'agit pour le gouvernement de remodeler la Région capitale à sa guise.
La casse des communes, utiles au pays
Les collectivités territoriales réalisent 73 % des investissements publics qui ont permis le maintien et la création de centaines de milliers d’emplois. Mais la réforme territoriale préfère sacrifier les populations les moins solvables, les territoires les plus défavorisés et livrer au marché tous les services et secteurs rentables.
Le PCF propose de réformer les institutions mais dans le sens du progrès
Les communistes proposent une réforme qui institue le partage des décisions entre citoyen-ne-s et élu-e-s, développe la démocratie, valorise le rôle et le travail des élus et donne les moyens financiers aux Collectivités territoriales de répondre mieux aux besoins des populations.
Une bonne réforme des institutions, ce serait :
● Priorité à plus de pouvoirs aux citoyens et au vivre ensemble avec plus de démocratie locale
● Les moyens pour satisfaire les droits humains et plus de justice sociale
● Sortir de l’asphyxie financière par des moyens financiers solidaires et une fiscalité modernisée et progressive responsabilisant la sphère de l’économie et de la finance
● Encourager les collectivités à promouvoir un nouveau mode de développement, une écologie populaire
● Mettre au coeur des politiques locales des mutualisations, des partenariats, des coopérations, un aménagement du territoire fondé sur la solidarité, affirmant le besoin d’un développement harmonieux de la ruralité complémentaire d’une construction urbaine, économe en ressources naturelles, imprimant un nouveau type de développement à tous les territoires
● Plus de services publics par un plan de reconquête, de développement, d’amélioration et de financement, de création des services publics
Mobilisons nous pour défendre et améliorer la démocratie représentative et instituer une démocratie participative.