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Bienvenue sur le blog des communistes de Villepinte

logement

COMMUNIQUE DE PRESSE DU PCF

12 Février 2010, 09:40am

Publié par PCF Villepinte

Expulsion à Bagnolet : L'État doit prendre ses responsabilités !

 

Depuis plus de 15 ans, la mairie de Bagnolet réclame l’évacuation d’un immeuble qu’elle a finalement préempté en 2008, un immeuble dangereux où les risques d’incendie sont grands et où les conditions de vie pour ses occupants sont particulièrement difficiles.

En pleine trêve hivernale et dans une période de grand froid, la préfecture a procédé à une expulsion sans qu’une solution de relogement soit trouvée. C’est inacceptable !

Le PCF proteste contre ces méthodes d’un autre âge et demande que l’État prenne ses responsabilités pour que des solutions de relogements pérennes soient trouvées au plus vite.

Le PCF renouvelle son opposition ferme aux expulsions et demande qu’une politique globale du logement pour répondre aux déficits croissants de logements sociaux soit adoptée.

Parti communiste français

Paris, le 11 février 2010.

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Etats généraux du logement, de l’habitat et de la ville

10 Février 2010, 22:39pm

Publié par PCF Villepinte

Adresse aux forces sociales et politiques adoptée par les 5èmes Etats généraux du logement, de l’habitat et de la ville

mercredi 10 février 2010



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Face à l’extrême gravité de la crise du logement, les participants aux États généraux pour le droit au logement et à la ville réunis à Ivry le 6 février 2009, à l’initiative de l’ANECR , du PCF et du PG, proclament :

Avec 3,5 millions de personnes non ou mal-logées, 1,4 million de demandeurs de logements sociaux, 100 000 sans abri, des milliers de familles menacées d’expulsion, le droit au logement, n’est pas encore devenu une réalité pour tous. Le logement qui devrait être source de confort et de bien-être pour chacun est au contraire devenu un creuset d’inégalités.

Certes, les effets de la crise économique aggravent ceux de la crise du logement. Mais cette dernière est bien antérieure à la crise financière et, ni ses causes, ni ses effets, n’ont jamais été traités au niveau nécessaire.

Pire, les logiques mises en oeuvre dans les politiques publiques du logement sont elles-mêmes facteur d’aggravation.

Elles sont inspirées du dogme idéologique opposant le public au privé, favorisant toujours le privé au détriment du public. Ainsi, avec la loi de Mobilisation pour le Logement et la lutte contre l’Exclusion (MOLLE), l’abaissement des plafonds de ressources, l’augmentation des surloyers, la remise en cause du droit au maintien dans les lieux, l’État remet en cause les principes de solidarité du mouvement HLM, pour mieux conformer la France aux orientations libérales de l’Union européenne et du traité de Lisbonne.

Dans le même temps, le budget en faveur du logement social baisse de 13 % (- 370 millions d’euros en 2 ans). La ponction de la totalité de la collecte du 1 % logement pour financer la rénovation urbaine remet gravement en cause le financement du logement des salariés à l’horizon 2012.

Le soutien à l’investissement spéculatif est privilégié au travers de dispositifs fiscaux qui ponctionnent le budget de l’État à hauteur de 10,7 milliards d’euros.

Le gouvernement conduit une politique spéculative et ségrégative, qui affiche des priorités en faveur du secteur privé et du marché et organise le désengagement total de l’État du logement social.

Nous condamnons fermement la politique gouvernementale qui vise à transformer le logement en marchandise.

Nous affirmons que les politiques publiques du logement doivent répondre à l’intérêt général. Le logement social est un bien public qui doit permettre de garantir le droit à un logement de qualité et abordable aux familles à revenus modestes et aussi en grandes difficultés économiques et sociales. Il doit permettre de loger indifféremment tous les salariés, les précaires, les retraités qui en font le choix.

Nous appelons tous les citoyens, les associations, les syndicats, les forces politiques et élus attachés aux valeurs solidaires du logement social :
- à entrer en résistance contre la politique gouvernementale, à la combattre
- à construire un nouveau projet politique du logement pour la France

Nous exigeons des mesures urgentes visant a garantir le droit au logement pour tous et partout !

- L’abrogation de la loi Boutin, la suppression du surloyer (SLS), l’augmentation de 10 % des plafonds de ressources, la non application des Conventions d’Utilités Sociales, l’abandon de la vente des logements HLM, la suppression des aides fiscales au logement spéculatif privé.

- Le gel des loyers dans tous les secteurs locatifs et la revalorisation de 25 % des aides personnelles au logement.

- L’abrogation de la pratique barbare des expulsions locatives.

- De réelles contraintes pour les communes qui ne respectent pas le seuil de 20 % de logement sociaux (réduction de leur DGF, obligation de 30 % de logements sociaux dans les programmes privés, réquisition des terrains).

- Le refus de laisser regrouper au niveau national et interrégional les organismes HLM en de grands groupes pouvant aller de 100 000 à 200 000 logements, ainsi que la réalisation de PLH régionaux qui dessaisiraient les communes de leurs compétences en matière de politique de logement et d’habitat.

Nous avançons des propositions pour une nouvelle politique du logement pour la France :

- faire de la politique sociale du logement une priorité nationale avec un budget au moins égal à 2% du PIB,

- engager un programme annuel de construction de 180 000 logements sociaux à loyers abordables pour tous (PLUS / PLAI en THQE), de logements étudiants et de réhabilitation des cités universitaires,

- revenir à une aide à la pierre à hauteur de 40 % du coût des opérations, avec des prêts publics,

- mettre en place un dispositif renforcé de construction de bâtiments neufs et de réhabilitation du parc locatif existant prenant en compte toutes les exigences environnementales,

- limiter à 20 % des revenus des locataires la somme acquittée pour le loyer et les charges,

- accorder une priorité au droit à la Ville, dense, écologique, ouverte et humaine,

- construire des outils de planification écologique.

Pour atteindre ces ambitions, nous nous prononçons pour la création d’un Service Public du Logement, de l’Habitat et de la Ville, outil indispensable pour mettre en oeuvre le droit au logement. Il se déclinerait en quatre volets :

- un pôle public financier, appuyé sur la Caisse des dépôts et consignations (CDC), pour financer le logement social,

- un pôle public de la construction pour casser le monopole des majors du BTP et permettre l’abaissement des loyers et des charges,

- une agence nationale foncière et décentralisée au niveau des régions dotée de fonds d’intervention conséquents pour lutter contre la spéculation du sol, maîtriser le coût du foncier et de la construction, inciter à la construction de logements sociaux dans toutes les communes,

- des outils publics ou à vocation publique et démocratisés dont la mission serait de mettre en oeuvre localement le droit au logement avec une gestion démocratisée et consolidée par une représentation renforcée et majoritaire des élus locaux, des représentants des salariés, des usagers avec de nouveaux droits de décision et de contrôle dans les conseils d’administration.

Nous appelons toutes celles et tous ceux qui sont attaché-e-s à une grande politique du logement pour tous et partout, à se rassembler pour que la réponse aux besoins des millions de nos concitoyens souffrant du mal-logement devienne la priorité de toutes les politiques publiques. Les collectivités dirigées par la gauche doivent être à la pointe de ce combat. Ensemble, locataires, demandeurs, sans-abri, associations, syndicats, partis, élus, Mouvement HLM , acteurs des politiques du logement, nous constituons une force capable d’imposer ces choix ! Rassemblons-nous et agissons !

Ivry le 6 février 2010

 

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Etats généraux du logement

8 Février 2010, 16:58pm

Publié par PCF Villepinte

Plusieurs centaines de participants aux Etats généraux du logement le 6 février à Ivry              lundi 8 février 2010


Urgence de solutions, urgence de mobilisation... pour l’ANECR, qui organisait le 6 février à Ivry, en partenariat avec le PCF et le PG, les Etats généraux du logement, de l’habitat et de la ville, "c’est bien de l’urgence d’une autre politique que celle menée actuellement par le gouvernement qu’il s’agit quand "3,5 millions de personnes ne sont pas logées, ou mal : 1,3 million de personnes sont demandeuses de logements sociaux : 100 000 sont sans abri et 100 000 familles sont menacées d’expulsion locative".JPG - 28.4 ko

En témoigne la présence de plusieurs centaines d’élus venus de toute la France et de très nombreux militants associatifs (CNL, DAL, Fondation Abbé Pierre, CGT...) mais aussi de grands témoins architectes, urbanistes, directeurs d’office HLM, chercheurs.

 
En ateliers le matin, en séance plénière l’après midi, les débats ont permis de construire des propositions alternatives pour "passer de la nécessité au droit". Les Etats généraux ont proposé l’exigence de l’abrogation de la loi Boutin, le gel des loyers dans tous les secteurs locatifs, l’abrogation de l’expulsion, le lancement en urgence de la construction de 180 000 logements sociaux par an et le respect de la loi SRU imposant 20 % de logements sociaux dans chaque ville.
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Concernant les moyens financiers, il est proposé de mettre en place dès 2010, un collectif budgétaire de 2 milliards d’euros financé par la suppression des aides fiscales à la spéculation immobilière.

A l’issue des débats, les Etats généraux ont décidé de s’adresser à l’ensemble des forces sociales et politiques à travers une "Adresse", invitant à construire ensemble une nouvelle politique du logement pour la France.
Les participants se sont ensuite séparés en se promettant de nombreux rendez-vous pour faire vivre l’esprit et les propositions des Etats généraux : 1er rdv le samedi 13 mars à Paris et dans toute la France pour les multiples manifestations s’opposant à la reprise des expulsions locatives.

"Au delà de nos débats, il y a urgence de résistance et de luttes"...

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requisition de logements privés

8 Février 2010, 07:09am

Publié par PCF Villepinte

Réquisition de logements : les français disent oui

Selon l’IFOP, 69 % des Français se déclarent favorables à la réquisition des logements privés. Un large consensus qui témoigne de l’ampleur de la crise du logement. Si la gauche se rassemble, la droite quant à elle se divise sur le sujet.

La question fut sans ambages, les résultats sans appel. Interrogé sur « la réquisition par les pouvoirs publics des logements privés inoccupés », 69 % des Français s’y déclarent favorables. 30 % se veulent opposés car cela constituerait « une attente au droit de propriété ». Voilà ce que révèle une enquête réalisée par l’IFOP pour l’Humanité (voir ci-contre). En filigrane apparaît la préoccupation des Français pour le logement. « Nous le savons les Français sont sensibles à ce sujet », prévient Jérôme Fourquet, directeur adjoint du département Opinion et stratégies d’entreprise à l’Ifop. Pour lui, trois raisons expliquent des résultats si nets : « Premièrement la crise du logement, ensuite le travail des associations qui a contribué à populariser le problème des réquisitions. Enfin, le contexte actuel. Devant un tel écart de richesse entre les Français, la précarité devient de plus en plus inacceptable par la majorité d’entre eux », analyse-t-on du côté de l’Ifop.

Principal « supporter » de cette mesure donc, les jeunes. Chez les moins de 35 ans ils sont 80 %, et 84 % pour la tranche des 18-24 ans, à penser à la réquisition comme solution au mal logement. Á l’autre de bout de cette pyramide des âges, les 65 ans et plus, on remarque le plus grand nombre de réfractaires, avec 42 % d’opinions défavorables. Une situation qui s’explique « par les difficultés plus grandes pour la jeunesse à se loger », confie le directeur adjoint de l’Ifop. Concernant les activités professionnelles, là encore les retraités sont en léger recul avec 61 % d’adhérents à la réquisition alors que le chiffre culmine à 80 % chez les employés, 78 % pour les artisans ou commerçants et 75 % chez les ouvriers. Sur l’échiquier politique, la surprise provient des rangs des sympathisants de l’UMP : ils sont 49 % à se déclarer favorables à la réquisition. Á gauche, le score est particulièrement élevé avec 80 %. Le pic est atteint par les proches du Front de gauche avec 86 % d’avis positifs. Du côté des associations, le sondage est accueilli avec « enthousiasme ».

Pour Julien Bayou, porte-parole du collectif Jeudi noir, ces résultats sont « une agréable surprise ». « Je ne m’attendais pas à un score aussi élevé », explique-t-il. Selon lui, une conclusion s’impose : « Ce sondage prouve que Nicolas Sarkozy mène une politique à l’encontre de l’intérêt général et contraire aux préoccupations des Français. Il va falloir s’intéresser sérieusement à leurs problèmes. Nous poursuivrons nos actions. » Á la Fondation Abbé Pierre, on se veut plus prudent. Pour Patrick Doutreligne, délégué général, « ces résultats sont une bonne chose. Pour la première fois, le droit au logement est à la mesure du droit de propriété. La réquisition est une mesure forte et symbolique. Si à l’avenir elle est appliquée, attention de ne pas créer des réactions contraires, une crainte ou une frilosité chez les propriétaires qui rendrait encore plus difficiles les conditions d’accès à la location. Á la fondation, nous lions cette question avec la mise en place possible d’une taxe de vacance des logements ». Selon Jean-Claude Amara, responsable de Droits devant ! et cofondateur de l’association Droit au logement (DAL), ces résultats confortent l’idée d’un « large consensus populaire, au-delà des clivages politiques ». Et de rappeler : « Déjà en 1990, lors de la création du DAL, nous avions le soutien des Français. Il y a une récurrence de l’opinion pour l’application de la loi de 1945 sur les réquisitions mais, hélas, aussi une récurrence des pouvoirs publics à ne pas appliquer cette loi du général de Gaulle. Qui, d’ailleurs, n’était pas réputé pour être un fervent gauchiste. » Un large consensus qui gagnerait à être relayé politiquement : « Si la gauche s’empare du débat, cela posera de grandes difficultés au gouvernement aux prochaines élections régionales », conclut Jérôme Fourquet.

Lionel Decottignies

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operation-logement-a-neuilly_news

5 Février 2010, 21:51pm

Publié par PCF Villepinte


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Opération logement à Neuilly

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logement

4 Février 2010, 23:04pm

Publié par PCF Villepinte

Pierre Laurent

"La Région peut faire des choix contribuant à combattre le mal-logement !"

 

Le mal logement selon le 15è rapport du mal-logement en France c’est :

* 10 millions de personnes victimes de la crise du logement

* 3,5 millions de mal-logés

* 80% des français qui estiment qu’il est « difficile » de trouver un logement, 37% « très difficile » (+11% par rapport à 2007).

* Un coût du logement en augmentation et qui constitue le premier poste de dépense des ménages : il est passé de 7890 euros en 2002 à 9700 euros en 2007 (+23%) et tient à la progression des charges de remboursement d’emprunt et des loyers.

Ce constat est révoltant et signe l’échec patent de la politique de la droite.

La progression du coût du logement a été d’autant plus forte que l’on dispose de revenus faibles et elle a donc pour conséquence de creuser les inégalités sociales au sein de la société française et de renforcer l’inégale distribution des revenus. Les difficultés d’accès au logement et le mal-logement constituent à la fois une insécurité sociale majeure et une atteinte à la dignité des personnes. Le silence des pouvoirs publics est coupable. La politique actuelle préfigure une aggravation de la crise du logement. Or, l’intervention publique s’est toujours révélée indispensable (pour favoriser le logement ouvrier au début du siècle, pour soutenir la construction après la seconde guerre mondiale, pour lutter contre la ségrégation et favoriser l’accès des plus modestes depuis vingt-ans).

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Logement

2 Février 2010, 16:02pm

Publié par PCF Villepinte

Communiqué du député-e-s communistes, républicains, du parti de gauche

Crise du logement : des mesures d’urgence s’imposent

mardi 2 février 2010logement.jpg



 

La crise du logement affecte aujourd’hui plus de 10 millions de personnes dans notre pays, comme en témoigne le rapport publié par la Fondation Abbé Pierre sur l’état du mal-logement en France.

Face à l’échec et la nocivité des choix du gouvernement, les Député-e-s communistes, républicains, du Parti de Gauche demandent la mise en œuvre des mesures d’urgences contenues dans la proposition de loi qu’ils ont déposée en octobre dernier : interdiction des expulsions pour les personnes en grande difficulté économique et sociale, doublement de la taxe annuelle sur les logements vacants, renforcement du droit de réquisition par les Préfets, limitation de la somme acquittée pour le loyer et les charges à 20% du revenu des ménages et multiplication par 10 des indemnités dues par les communes n’appliquant pas la loi SRU (Solidarité et Renouvellement Urbains).

Lors de l’examen de cette proposition de loi, le Ministre Benoît Apparu a rejeté chacune de ces mesures. Aujourd’hui le rapport de la Fondation Abbé Pierre en rappelle l’urgence.

 

 

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Marmots et déjà mal-logés

1 Février 2010, 17:46pm

Publié par PCF Villepinte

La Fondation Abbé- Pierre rend public son 15e rapport sur l’état du mal-logement et pointe les préjudices subis par les enfants.
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Sur le pied de guerre. Cette année, la Fondation Abbé-Pierre (FAP) use du langage euphémique de l’armée américaine à dessein. Ainsi a-t-elle décidé de mettre en lumière le sort fait aux enfants qui subissent le mal-logement, les présentant comme autant de « victimes collatérales ». Frappés accidentellement, les mineurs ressentiront pourtant les dommages durablement dans leur parcours scolaire puis socioprofessionnel, leur santé physique et mentale et leur développement...

…En Seine-Saint-Denis, certaines communes abritent 200 à 400 élèves hébergés chez des tiers. Soit « l’équivalent de une à deux écoles élémentaires ». Dès lors, l’équilibre familial peut s’en trouver bouleversé avec « la présence de tierces personnes, qui, étant chez elles, sont souvent placées en position d’exercer l’autorité au détriment des parents. » Chantal Zaouche-Gaudron, professeure de psychologie, explique que ces conditions de vie « peuvent entraîner des relations d’attachement moins sécurisées, (…) des conduites sociales perturbées, un isolement et des difficultés à répondre à l’autorité adulte ». Enfin, la Fondation Abbé-Pierre rapporte que « de nombreuses personnes sans domicile ont en effet vécu des situations résidentielles instables au cours de leur enfance ou de leur jeunesse ».

LINA SANKARI

 

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Logement

5 Janvier 2010, 16:57pm

Publié par Daniel JUNKER

jjporcheron.jpgInterview de Jean-Jacques Porcheron

Etats généraux du logement : favoriser la mobilisation populaire

mardi 5 janvier 2010



 

"Les 5èmes Etats généraux du logement de l’habitat et de la ville" se tiendront le Samedi 6 février 2010 au Complexe Robespierre à IVRY SUR SEINE (94).

Interview de Jean-Jacques Porcheron, animateur du collectif Logement de l’Association Nationale des Elus Communistes et Républicains et Vice-président de la Communauté d’Agglomération de la plaine centrale du Val de Marne, à lire dans le prochain numéro de l’Elu d’aujourd’hui n° 354 de janvier 2010.

Pourquoi l’Anecr organise-t-elle le 6 février à Ivry-sur-Seine (94), sous l’égide du Cidefe, des États généraux du logement et de la ville ?

JJ Porcheron : Il y a urgence ! Le nombre de mal-logés ou de non-logés ne cesse, d’être en augmentation. Actuellement, près de cinq millions de personnes connaissent ces situations dans notre pays. Les années se suivent et se ressemblent : en matière de logement, l’État poursuitson désengagement.

Lire la suite de l’interview en cliquant sur le lien ci-dessous:

Interview de JJ Porcheron (la suite)
http://www.elunet.org/IMG/pdf/logement_porcheron.pdf

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