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Bienvenue sur le blog des communistes de Villepinte

Retraites. Stop à la dégradation de notre pouvoir d'achat !

29 Mars 2017, 20:08pm

Publié par PCF Villepinte

 

 

 

 L'Appel des neuf organisations

 

 

 

Neuf organisations syndicales et associatives appellent les retraité•e•s à une nouvelle journée de mobilisation nationale sous des formes multiples dans les départements (manifestation, rassemblement, etc.) le 30 mars.

Haro sur les pensions de retraite

 

 

 

De réforme en réforme, le pouvoir d’achat des retraité•e•s ne cesse de se dégrader. Par exemple, le calcul des pensions sur les prix remplaçant le calcul sur les salaires dès 1987 dans le privé, puis en 2004 pour la Fonction publique a constitué une catastrophe pour nombre de retraité•e•s. Ainsi, de 2003 à 2014 les pensions progressaient de 17,9 %, tandis que les salaires eux progressaient de 24,8 % et le SMIC de 32,6 %. Sur les vingt dernières années, on peut estimer à une perte d’environ 20% du pouvoir d’achat pour de nombreux retraité•e•s. Cela justifie pleinement que les retraité•e•s se mobilisent pour l’indexation des pensions sur les salaires afin de revenir à la situation d’avant 1987.

Mais aussi les retraité•e•s sont victimes de mesures comme l’instauration de la taxe de 0,3 % de Contribution Additionnelle de Solidarité pour l'Autonomie (CASA), la perte de la demi-part réservée aux veuves et veufs ayant élevé un enfant, la fiscalisation de la majoration de 10 % de la pension pour les personnes ayant élevé au moins 3 enfants, ...

De même, le poids de la fiscalité, avec surtout la TVA, pèse principalement chez les plus démunis. 
A tout cela, il faut rajouter le blocage de régimes complémentaires. 
Pour trop de retraités le logement constitue une dépense de plus en plus importante que l’on soit propriétaire ou locataire. Avec la loi de financement 2016 c’est l’ensemble du patrimoine qui est pris en compte pour les bénéficiaires de l’APL. Le coût des transports, leur inadaptation sont souvent un obstacle pour accéder à une vie sociale. A cela, il faut rajouter la désertification des services publics.

Nous ne sommes pas tous égaux face à la crise. Les inégalités, notamment de revenus s’aggravent, et dans des proportions inquiétantes. Les riches deviennent de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres. Plus globalement, on va assister à un appauvrissement généralisé des retraité•e•s dans les années à venir si rien n’est fait. Fin 2016, des associations caritatives ont dénoncé l’accroissement de la pauvreté actuellement chez les personnes âgées. Parmi les plus touchées, on trouve principalement les femmes pour qui les pensions sont globalement inférieures de 40 % à celles des hommes.

Les pensions de retraite ne sont pas une allocation de solidarité, une aumône. La pension est le résultat des cotisations payées tout au long de la vie professionnelle, des richesses qui ont pu être créées pendant ce temps. Il s’agit d’un droit à une pension relative à la reconnaissance de la qualification. Cela justifie pleinement le retour du calcul des pensions sur les salaires et le maintien des pensions de réversion dans les régimes de base et les complémentaires ».

La santé malade des politiques

 

 

 

En matière de santé, encore une fois, un grand nombre de personnes âgées sont décédées de la grippe. Le danger était connu. Déjà, en 2015 le nombre de décès était supérieur à la période de la canicule de 2003. Cette épidémie montre l’ampleur de la dégradation de notre système de santé qui n’est même plus capable de répondre à une banale épidémie de grippe. L’ampleur de l’épidémie, si elle révèle une nouvelle fois un manque d’anticipation, marque surtout les limites d’une politique de casse de la Sécurité sociale, de l’hôpital avec les milliers d’emplois supprimés, des milliers de lits fermés, la course à la rentabilité. Hôpital, médecin de ville, spécialistes, dépassement d’honoraires : c’est de plus en plus difficile de pouvoir se soigner. Aujourd’hui trop de retraités ne sont plus en mesure d’avoir une mutuelle. Le plafonnement du remboursement des mutuelles a fait chuter le remboursement des frais de santé. 

Ce recul de société explique aussi pourquoi de plus en plus de retraité•e•s sont amenés à reprendre un « petit boulot » 

Retraité et retraitée : reconnaissance en matière de pension, de droit à une vie décente, mais aussi reconnaissance par la société. En effet, il est curieux de constater par exemple au travers de la loi d'adaptation de la société au vieillissement ou dans les discours officiels que l’on ne parle plus que de « personnes âgées ». A quel âge est-on une personne âgée ? Personne ne peut le définir. Est-ce à partir du moment où la personne âgée commence à avoir un handicap ? La personne retraitée, quel que soit son âge, a travaillé des années, a versé des cotisations et a donc droit à une pension.

Besoin d’agir

 

 

 

Enfin imaginons que si, à l’appel des 9 organisations syndicales et associations, les retraités ne s’étaient pas mobilisés nous connaitrions la même situation que les retraités de plusieurs pays européens qui comme en Allemagne ont vu s’accroitre considérablement le nombre de retraités pauvres.

Nos actions ont permis de petites améliorations : les personnes non imposées en 2015 n’ont pas payé d’impôt en 2016 et 2017, les seuils de déclenchement de la CSG ont été relevés…
Alors oui les retraités ont de bonnes raisons de se mobiliser, d’exiger une revalorisation de leurs pensions, le retour au calcul sur les salaires.

Un questionnaire en ligne

 


Afin d’aller rencontrer les retraités, les organisations et associations ont décidé ensemble de les consulter sur la réalité de leur situation en matière de pouvoir d’achat, sur les questions liées à la perte d’autonomie pour eux ou leur famille, sur leur volonté d’agir… Ce questionnaire est consultable et peut être rempli sur le site http://www.retraitesencolere.fr/

C’est pour cela que nous appelons à faire :

- Du jeudi 30 mars une nouvelle journée de mobilisation nationale des retraité•e•s sous des formes multiples dans les départements (manifestation, rassemblement, etc.).
- A exprimer au travers de la consultation nationale vos préoccupations, vos revendications.

 

Se mobiliser le 30 mars, c'est dire aux candidats à l'élection présidentielle que les 17 millions de retraitées veulent voir leur place reconnue dans la société, avoir les ressources pour vivre décemment, pouvoir se soigner, se loger, ... et lutter efficacement contre l'isolement social par une politique de transports, de culture, de services publics de proximité.

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PRESIDENTIELLES

29 Mars 2017, 20:02pm

Publié par PCF Villepinte

Déclaration de Pierre Laurent
secrétaire national du Parti communiste français

La conversion de Manuel Valls à la candidature d'Emmanuel Macron clarifie le sens de cette candidature. Celle-ci devient le point de ralliement de tous les libéraux et socio- libéraux. Ce choix sonne le regroupement de tous les responsables des renoncements du quinquennat et de la division de la gauche, autour d'une candidature dont les orientations de droite sont désormais clairement affichées.

Dans cette situation, face à une menace de droite et d'extrême droite qui s'aggrave encore, il est urgent que toutes les forces de gauche engagées dans la campagne des présidentielles se rassemblent autour d'un projet profondément ancré à gauche, d'une campagne et d'une candidature commune.

Engagé dans la campagne de Jean-Luc Mélenchon, je demande une rencontre dans les tous prochains jours entre Jean-Luc Mélenchon, Benoît Hamon, Yannick Jadot et moi-même pour créer les conditions de la victoire.

C'est plus que jamais nécessaire et, désormais, possible dans la clarté.

 

Paris, le 29 mars 2017

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MA FRANCE

26 Mars 2017, 07:39am

Publié par PCF Villepinte

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Bernard Pudal. "Réduire l’engagement communiste à l’aveuglement, une erreur historique"

26 Mars 2017, 07:26am

Publié par PCF Villepinte

La révolution d’Octobre est bientôt centenaire. Si cet événement majeur de l’histoire mondiale demeure l’objet de controverses, il n’en reste pas moins qu’il a exercé un attrait extraordinaire, marquant en profondeur et dans la durée le mouvement ouvrier, singulièrement en France, et toute l’histoire politique et intellectuelle du XXe siècle.

Or l’engagement communiste est tout aussi durablement présenté comme un aveuglement, une illusion teintés de tragédie : cela épuise-t-il l’explication ? Non, répond Bernard Pudal, historien et professeur de Sciences politiques, auteur avec Claude Pennetier du livre « le Souffle d’octobre  1917 ». Le sociologue et l’historien, spécialistes du communisme, y analysent ce qui a porté tant d’hommes et de femmes vers le « rêve révolutionnaire » en réintroduisant l’histoire sociale dans le politique, en replaçant les parcours militants au cœur d’une histoire décidément plus complexe – humaine. Entretien.
 
HD. Au cours des années 1930, le Parti communiste français passe de 30 000 à plus de 300 000 adhérents. Pour comprendre cet engagement et l’espoir que ces militants ont fondé sur la jeune URSS, vous faites appel à des archives singulières : les autobiographies de Parti. De quoi s’agit-il ?
Bernard Pudal. Les autobiographies que nous étudions, découvertes avec l’ouverture des archives soviétiques, sont des documents originaux , rédigés par les dirigeants, cadres et militants communistes dans les années 1930, à la demande de la commission des cadres du PCF, pour « vérifier » ses cadres, sur la base d’un questionnaire très complet : leur histoire sociale, familiale, professionnelle, culturelle, politique, leur rapport à la répression, etc. À cette époque, ils répondent sur papier libre, donc plus ou moins longuement ; ce sont parfois de véritables récits de vie. Elles servent, comme pour tout service de gestion du personnel, à trouver les cadres adaptés à l’organisation communiste. Par ailleurs, cette technologie de parti, transposée d’URSS dans le fonctionnement du PCF, est au cœur du système communiste. En effet, le système capitaliste reposant sur le capital économique et le capital culturel comme modes de différenciation et de hiérarchisation sociales, la « philosophie sociale » soviétique dut instituer une nouvelle ressource fondamentale : le capital politique. D’où la manière dont on valorise la trajectoire biographique. Par exemple, si l’on peut se prévaloir d’une origine ouvrière, une condition de la conscience de classe, cet aspect biographique fait « marquer des points » ; ce peut être aussi le travail autodidactique pour acquérir la culture marxiste, correspondant à la question : qu’avez-vous lu ? Etc. Le capital politique joue un rôle central dans les pays communistes : on retrouve partout cet enjeu biographique, après la Seconde Guerre mondiale dans les pays de l’Est, en Chine… et dans tous les partis communistes.
 
HD. Comment avez-vous choisi les autobiographies que vous publiez ?
B. P. Certaines ont été sélectionnées pour leur qualité d’information, comme celle de Jules Raveau, d’abord anarchiste, qui fait un véritable récit de vie. La description très précise de son enfance populaire donne aussi une idée de ce qu’est la misère ouvrière, élément important du combat de toute une vie. D’autres parce qu’elles rendent compte de phénomènes comme la conversion du catholicisme au communisme ou de l’attitude vis-à-vis des procès de Moscou. En outre, nous présentons souvent deux cas par « famille » de parcours, par exemple pour les militants issus des colonies, avec deux Algériens : Amar Ouzegane, détenteur d’une culture lettrée exceptionnelle, qui va ensuite occuper de très hautes fonctions dans les premiers gouvernements de l’Algérie indépendante, et Issad Rabah, chez qui on voit la difficulté du militantisme chez un jeune émigré qui exprime son désarroi de ne pas se sentir à la hauteur de son engagement. Les philosophes Georges Politzer et Paul Nizan viennent, eux, incarner deux postures entre lesquelles beaucoup d’intellectuels communistes ont dû composer dans les années 1930.
 
HD. Que nous apprennent ces documents ?
B. P. Avec eux, il s’agit de donner une vue d’ensemble de ce monde militant qui, contrairement à ce qui a été beaucoup écrit, est fondamentalement marqué par la pluralité et la diversité. Ces autobiographies, retranscrites, sont présentées, contextualisées et commentées : pour les mettre en perspective, nous les insérons dans des « familles » de trajectoires militantes et nous les analysons en allant au plus près de chaque destin individuel, en considérant la situation (historique, professionnelle, biographique…) de l’auteur. En ressortent la diversité des trajectoires conduisant au Parti – ouvriers métallos, du bâtiment, paysans, instituteurs, agrégés de philosophie, anarchistes, Algériens, juifs, etc. –, la singularité de chaque destin militant, mais aussi la pluralité des rapports au Parti, du fidéisme sans faille au doute dévastateur. Il y a mille et une façons d’être communiste, ce dont les catégories « administratives » (adhérents, militants, cadres…) ne permettent pas de rendre compte, c’est pourquoi on peut parler d’« adhérence » variable. Il s’agit d’essayer de comprendre le point de vue des acteurs au moment où ils agissent, ce que permettent ces autobiographies, écrites à l’époque, et qu’occultent les analyses « surplombantes » qui interdisent qu’on les comprenne. En effet, dès que l’on adopte cette posture, on ne peut réduire l’engagement à une illusion ou à des croyances aveugles : rappelons que, dans leur horizon, il y a deux guerres mondiales, la guerre d’Espagne, la crise de 1929, la montée des fascismes – et à une époque où les protections sociales n’existent pas –, beaucoup de raisons de s’engager… Une période terrible qui ne pouvait que susciter des questions… Et il y a leur conviction qu’ils ont été abusés, soit par les puissances d’argent, soit par le Parti socialiste, qui a « failli » en se ralliant à l’Union sacrée : ils sont à la recherche de solutions. Face à la crise des sociétés impériales et capitalistes, « Octobre 1917 », tels qu’ils l’interprètent – les conditions d’une véritable compréhension n’étant pas alors réunies –, peut apparaître comme une solution modernisatrice, un véritable espoir. Cette démarche permet d’éviter deux écueils, deux tentations : celle, nostalgique, qui consiste à focaliser cette histoire sur des militants souvent extraordinaires, héroïques, et leur rôle syndical et politique, et la thèse de l’aveuglement, qui renvoie à l’idée que le communisme était une illusion religieuse, telle que l’a développée François Furet et qui s’est disséminée par la suite dans une logique dominante de dénonciation. Une grande partie de l’historiographie du communisme, avec les interprétations criminogènes et totalitaristes, n’accorde aucune place à l’histoire sociale. Elle innerve les questions classiques sur les militants communistes : pourquoi y ont-ils cru ? Comment ont-ils pu s’abuser si longtemps sur l’URSS ? Des questions que se pose tout lecteur et que nous prenons à bras-le-corps dans cet ouvrage. C’est un livre d’histoire sociale du politique, associant les apports de la sociologie et de l’histoire sociale à l’analyse des phénomènes partisans et de l’engagement politique.
 
HD. Cette histoire a une importance singulière en France
B. P. Depuis 1920 le mouvement ouvrier français se singularise par l’influence de longue durée que l’URSS a exercée sur son histoire, comme exemple à suivre et « quartier général » de la révolution, selon l’expression d’Eric Hobsbawm. Et dans le monde occidental, il n’y a qu’en France qu’a existé si longtemps un Parti communiste aussi puissant. La question stalinienne est intrinsèquement liée à cette histoire. L’histoire que nous proposons se veut d’une certaine manière une contribution qui peut aider à un véritable travail de deuil. Celui-ci doit trouver sa voie entre une mélancolie paralysante et un déni du réel.
ENTRETIEN RÉALISÉ PAR LUCIE FOUGERON
SAMEDI, 25 MARS, 2017
HUMANITÉ DIMANCHE

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L’austérité n’est pas une fatalité !

25 Mars 2017, 11:55am

Publié par PCF Villepinte

Une France à l’offensive pour une Europe de progrès

Le traité de Rome a 60 ans, celui de Maastricht 25. Lourd bilan de cette Union européenne construite pour les marchés : le chômage a explosé, l’investissement est en berne, les Français et tous les européens souffrent de l’austérité pendant que la Banque centrale européenne déverse chaque mois 80 milliards d’Euros pour la finance. Après les renoncements du quinquennat de François Hollande, les élections de 2017 doivent nous permettre de dire stop à cette Europe, et de proposer une Union de peuples souverains et solidaires. 

Fillon, Macron : encore 5 ans d’austérité !

En bons élèves des traités et d’Angela Merkel, l’Europe qu’ils veulent, c’est celle de l’austérité et des inégalités, une Europe du marché, du libre échange, des privatisations à tout va. C’est l’Europe du Traité Transtlantique et du Ceta qu’ils continuent de défendre alors que personne n’en veut. C’est l’Europe antidémocratique qui punit les travailleurs et les peuples qui veulent le changement.

Front national : Troquer l’austérité de Bruxelles contre celle de Paris, non merci !

Surfant sur la légitime colère populaire à l’égard de l’Union européenne, le projet de Marine Le Pen vise à l’éclatement sur des bases nationalistes et xénophobes. Elle veut faire comme au Royaume Uni ? Mais le résultat pour les britanniques c’est l’abaissement des droits des travailleurs et la concurrence fiscale ! Ce repli sur soi ne peut conduire qu’à aiguiser la concurrence et les conflits entre les nations, sans toucher bien sûr aux intérêts des grandes fortunes et de la finance.

La France doit se battre pour une Europe de progrès

Nous ne voulons ni de ce repli haineux, ni laisser les clés de l’Europe aux banques et aux marchés. Nous voulons une union de peuples et de nations libres, souverains et associés, au service du développement social et écologique. La France a les moyens de peser, de construire des alliances et des batailles politiques pour la réorienter. C’est possible, à condition que la gauche française et la société se rassemblent et forgent une majorité politique de combat, un pacte d’engagements clairs au service du progrès social, de la solidarité et de la démocratie en Europe.

En portant notre projet « La France en commun », les communistes appellent à voter Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle et soutiennent partout en France des candidat-e-s aux élections législatives. 

La France en commun, l’Europe en commun 

La France est un grand pays qui ne peut continuer à renoncer face aux marchés et laisser l’extrême droite grandir en Europe. Les communistes ont construit un programme de combat pour un gouvernement de gauche sur la scène européenne. Nous voulons que notre pays prenne des initiatives et construise des résistances pour rompre avec l’austérité.

Investir dans le développement commun

  • Une conférence européenne pour la restructuration des dettes des États
  • Abrogation du traité budgétaire et mise en cause du pacte de stabilité
  • Création d’un Fonds européen de développement solidaire et écologique, abondé par la Banque centrale européenne, chargé de financer un plan d’investissement dans les services publics 
  • « Cop fiscale » visant à lutter contre l’évasion et la fraude fiscales

L’humain au cœur des politiques européennes

  • Organisation d’un sommet social européen visant la construction d’une méthode de convergence progressive des salaires, temps et conditions de travail vers le haut.
  • Préserver de la concurrence les besoins humains élémentaires (ex : santé, logement, transports)
  • Mise en place de nouveaux programmes d’échanges culturels pour les jeunes
  • Refonte de la Politique Agricole Commune (PAC) avec la garantie de prix rémunérateurs et d’une nourriture de qualité, saine et variée, accessible à un juste prix.

Une Europe de peuples et de Nations, libres, souverains et associés

  • La France s’élèvera contre les tentatives de passage en force et de chantage comme cela s’est produit avec le Traité de Lisbonne ou le coup d’État financier contre la Grèce.
  • Lancement d’une consultation nationale inédite en vue de la rédaction d’un nouveau traité soumis par referendum aux Français
  • Vote au Parlement d’un mandat de l’exécutif pour chaque sommet européen
  • Plan de lutte contre la collusion entre les institutions européennes et les milieux financiers, encadrant strictement les lobbies.

L’Europe, moteur du changement mondial

  • Abandon des négociations TAFTA et TISA, non ratification du CETA en France
  • Mise en œuvre e ective des Accords sur le climat
  • Respect des engagements pour les « relocalisations » des réfugiés et plan européen d’accueil digne, humain et e cace en rupture avec l’Europe forteresse.
  • Tenue d’une conférence européenne pour la paix et le désarmement 

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Budget 2017:La Municipalité ampute de 100.000€ les moyens au CCAS

25 Mars 2017, 11:35am

Publié par PCF Villepinte

Pire que le 49.3, Mme Valleton fait voter en force le budget municipal, sans répondre aux légitimes questions de l'opposition. Sans doute prise d'un irrépressible besoin naturel, elle abandonne son poste lors du débat( notre photo) . Avec l'appui de sa majorité réactionnaire, elle fait voter un budget de régression sociale, s'attaquant particulièrement au monde associatif ,au CCAS( Qu'est devenu le PRE?) et aux services publics de proximité..

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Ensemble, construisons une majorité de progrès pour la France

20 Mars 2017, 16:36pm

Publié par PCF Villepinte

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Poupées gigognes et toile d'araignée

18 Mars 2017, 08:15am

Publié par PCF Villepinte

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CLEMENTINE AUTAIN INTERVIENT POUR LE PARC DE LA POUDRERIE

10 Mars 2017, 19:21pm

Publié par PCF Villepinte

Clémentine Autain est intervenue ce matin au Conseil régional sur le projet de convention de gestion provisoire du parc de la Poudrerie qui sera signée le 17 mars prochain. Grâce à sa mobilisation, la région Ile-de-France a enfin accepté de financer le parc en 2017 et de signer cette convention. C’est une première victoire. .

 
 

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NON AU CDG EXPRESS

10 Mars 2017, 08:20am

Publié par PCF Villepinte

NON AU CDG EXPRESS

L’opposition et les exigences montent contre le CDG Express !

Ce jeudi 9 mars 2017, plus de 25.000 tracts ont été distribués en Ile-de-France à partir des gares de Paris-Nord, Stade de France, Aulnay, Mitry-Mory, Le Plessis Belleville, Nanteuil-le-Haudouin et Crépy-en-Valois.

Les usagers-citoyens comprennent mal que l’on mette 2 milliards d’euros dans un train pour une population restreinte alors que chaque jour ils sont confrontés à des dysfonctionnements (pannes en tous genres, trains supprimés, trains bondés…).

Dans les échanges, l’exigence monte que l’argent public serve à répondre à l’intérêt général et non à des intérêts particuliers.

L’excellent accueil et l’écoute attentive des usagers aux propositions de l’association Non au CDG Express l’incite à poursuivre les actions pour mettre en échec le projet et obtenir des améliorations substantielles pour les conditions de transports au quotidien.

C’est ainsi que d’autres initiatives seront prises dans les prochaines semaines.

Contact presse :

Didier Le Reste

Président de l’association Non au CDG Express

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