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Bienvenue sur le blog des communistes de Villepinte

un petit tour chez Apple pour leur demander "gentiment" de payer les 600 millions d'impôts qu'ils doivent à la France

26 Février 2017, 09:51am

Publié par PCF Villepinte

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VOUS ATTENDEZ QUOi ?

24 Février 2017, 22:31pm

Publié par PCF Villepinte

Cliquez: www.vousattendezquoi.fr/
Benoit, Charlotte, Jean-Luc, Yannick, vous attendez quoi ? ... Benoît, Charlotte, Jean-Luc, Yannick : ensemble, nous pouvons faire battre le coeur de la France ..

 

MESSAGE AUX CANDIDAT.E.S À LA PRÉSIDENTIELLE

 

Benoît, Charlotte, Jean-Luc et Yannick,



Quelque chose a changé. L'air semble plus léger. Nous nous prenons à espérer que la gauche et les écologistes gagnent la présidentielle, les législatives et transforment nos vies. Nous voulons une victoire plutôt que 4 défaites.



6ème République, abrogation de la loi travail, transition écologique, lutte contre le racisme, le sexisme et les discriminations, services publics, revenu d'autonomie pour les jeunes, ... Vous êtes d'accord sur l'essentiel.



Benoît, Charlotte, Jean-Luc, Yannick : ensemble, nous pouvons faire battre le coeur de la France vive et insoumise.



Vous attendez quoi pour nous proposer une candidature commune de la gauche et des écologistes ?

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LES RETRAITE-E-S REVENDIQUENT ...UN STATUT

24 Février 2017, 16:07pm

Publié par PCF Villepinte

En France, les 17 millions de retraité-e-s de droit direct ou dérivé représentent 38% des 45 millions d’électeurs inscrits. Dans la période, les retraité-e-s étant plus assidu-e-s devant les urnes, (certains parlent d’une surreprésentation des retraité-e-s), leur situation devrait préoccuper les candidats aux suffrages.

Pour autant, les retraité-e-s sont toujours considéré-e-s, par beaucoup, comme des coûts à réduire et comme des privilégié-e-s par rapport aux jeunes générations.

Un récent colloque au conseil économique, social et environnemental, sous l’égide des organisations syndicales et d’associations de retraité-e-s faisait utilement le point.

« Depuis plus de 20 ans, les réformes succèdent aux réformes, aboutissant à une baisse de niveau de vie des retraités.

D'abord au travers d'un certain nombre de mesures qui dégradent les retraites (Baisse continue du taux de remplacement, instauration de la CASA, perte de la demi-part réservée aux veuves et veufs ayant élevé un enfant, fiscalisation de la majoration de la pension pour les personnes ayant élevé au moins 3 enfants, etc.)

Mais c’est surtout le passage de l'indexation des retraites sur l'évo­lution des salaires à une indexation sur l'évolution des prix qui fait baisser le niveau de vie des retraités par rapport à l'ensemble de la population. Sur 20 ans les retraité-e-s auront perdu plus de 20% de pouvoir d'achat par rapport au reste de la société.

Au-delà des revendications de pouvoir d'achat, c'est la question du statut du retraité dans notre société qui se pose. Chacun a pu remarquer la tendance actuelle, et en particulier au travers de la loi d'adaptation de la société au vieillissement, à employer l'expres­sion «personne âgée» plutôt que «retraité» alors que la très grande majorité des personnes âgées de ce pays sont des retraité-e-s.

Quand on désigne un indi­vidu par le vocable «personne âgée» c'est son statut biologique qu'on évoque, statut qui, en soi, n'est por­teur d'aucun droit particulier et qui relève donc d'une démarche d'allocation sociale.

Alors que désigner le même individu par le vocable «retraité» c'est lui donner un statut social qui sous-entend que celui-ci a été un sala­rié producteur de richesses durant sa carrière et ayant versé des cotisa­tions. C'est au nom de ces richesses produites et de ces cotisations ver­sées qu'il a des droits à pension. »

Dans ce sens, rappelons les propositions du PCF, pour la retraite à taux plein à 60 ans :

-Retraite par répartition à prestations définies avec une indexation des pensions sur les salaires

-Abrogation des diverses réformes des retraites engagées depuis 1993.

-Un service public pour les personnes âgées

-Une réelle politique du vieillissement

-Un système de cotisation basé sur la solidarité intergénérationnelle

-Les revenus financiers doivent cotiser au même niveau que les salaires.

Daniel Junker

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S'IL VOTE LE PEN, LE PEUPLE VOTE CONTRE LUI-MEME

24 Février 2017, 16:05pm

Publié par PCF Villepinte

Le vote FN se structure dangereusement, même dans l’éventualité d’un second tour. Ce parti n’est pourtant que la négation brutale de l’esprit et l’agrégation de tout ce qu’il y a de pire.
 
L’Histoire nous l’a assez enseigné. En politique, quels que soient les moyens pour parvenir à ses fins, il n’y a jamais de «plafond de verre». Les sondages ne sont que des sondages, et s’ils ne disent qu’imparfaitement une éventuelle réalité à venir, les derniers en date nous glacent d’effroi, comment le dire autrement? À deux mois de la présidentielle, Marine Le Pen, favorite du premier tour, réduirait fortement l’écart sur son adversaire au second tour, que ce soit, pour l’instant, Fillon ou Macron. Celle-ci obtiendrait de 42% à 44%. Des scores inédits. Ces temps-ci, ni les casseroles monumentales qu’elle et ses affidés traînent derrière eux, ni son programme de haine, ni les nazillons qui composent son parti, ni même la peur de l’extrême droite enracinée pourtant dans notre trajectoire contemporaine, ne semblent freiner ce phénomène. Un phénomène à la fois compréhensible, hélas, vu la situation de pourrissement du pays, et si irrationnel, qu’il nous révolte à mesure que les semaines passent. Si le FN n’est que la négation brutale de l’esprit et l’agrégation de tout ce qu’il y a de pire, doit-on néanmoins s’étonner que Marine Le Pen s’avance gaiement, sans complexe et sans vergogne, proférant tout et son contraire, ratissant le plus large possible, quitte à se goinfrer de thèmes de gauche pour mieux semer la confusion, tout en laissant libre court à ses obsessions xénophobes associées à une critique du néolibéralisme de fraîche date? Terrifiante mécanique, propulsée par la droite elle-même depuis quinze ans, alors que la crise sociale nourrit les désespoirs les plus intenses et les catastrophes idéologiques qui vont avec. Que les pauvres, les sans-emploi, les faibles, les salariés ne l’oublient jamais: s’ils votent de la sorte, ils voteront d’abord contre eux-mêmes! Combien de fois faudra-t-il l’écrire?
 
Le traumatisme d’une France sens dessus dessous et d’une confiance abîmée par un quinquennat d’épouvante suscitera-t-il un sursaut démocratique et citoyen, un surcroît de pensée rationnelle, un combat de tous les instants? Pour le dire autrement: la gauche de transformation a du pain sur la planche et une responsabilité historique. Surtout en ce moment. Et en si peu de jours…
J-E DUCOIN.
[EDITORIAL publié dans l’Humanité du 22 février 2017.]

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Rassembler la gauche sur l'essentiel

22 Février 2017, 08:49am

Publié par PCF Villepinte

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Que justice soit faite !

9 Février 2017, 15:50pm

Publié par PCF Villepinte

 

C’est avec horreur que nous avons pris connaissance du témoignage de Théo Luhaka, jeune Aulnaysien relatant sa monstrueuse agression par des fonctionnaires chargés d’assurer la sécurité de tout notre peuple. Il dit l’arbitraire, les insultes racistes, la violence ignoble. Les communistes ressentent colère, indignation et condamnent ces actes. Ils assurent de leur soutien Théo Luhaka, la victime de cette agression ainsi que sa famille et tous ceux qui le connaissent. Ils mettent en garde tous ceux qui pourraient essayer de minimiser, amoindrir les faits ou jeter le doute sur ce jeune homme dans le but de défendre l’indéfendable.

L’enquête doit se poursuivre mais, après l'affaire Adama Traoré dans le Val-d'Oise et 12 ans après la traque de Zyed Benna et Bouna Traoré à Clichy-sous-Bois, la question de la formation comme de l'encadrement des policiers ne peut plus être contournée.

On le voit bien, les rapports sont tels aujourd’hui, l’incompréhension et la tension si élevée entre de nombreux jeunes de notre peuple et une part des forces de l’ordre, qu’il faut, au-delà de cette terrible agression, nous donner les moyens de sortir de cela. Pendant le procès de Zyed et Bouna, certains se demandaient pourquoi ils avaient couru pour fuir les forces de Police. Soit pour sous-entendre qu’ils avaient quelque chose à se reprocher, soit pour dessiner une sorte de rapport gendarme et voleur entre les jeunes et la Police. C’était honteux et nous l’avions dénoncé. Que cette nouvelle horreur permette à chacun de prendre en compte la méfiance et la peur qui se sont installées.

Il faut donc renforcer en nombre et en formation les forces de police sur tout le territoire et d’abord dans les endroits où il y en a le plus besoin. Il faut créer une police de proximité de forme nouvelle, attachée à son territoire de travail, à sa population par des liens plus durables et plus étroits. Il faut enfin mettre en place une règle de rapport entre la police et la population qui mette de la norme, qui permette de tracer les actions de la Police, de leur donner transparence et donc légitimité puisque basées sur des comportements clairs et encadrés. Pour cela, les parlementaires communistes ont déposé une loi sur le récépissé de contrôle d’identité afin de lutter contre le fléau que constitue la pratique du contrôle au faciès. Il faut qu’elle soit adoptée et mise en pratique. Ce serait un premier pas

Il est urgent que justice soit faite. Vraiment. Pour toutes et tous. Sur tout le territoire national. Suivant ce principe révolutionnaire et républicain à faire décidément (re)vivre en grand : l’égalité.

 

Commissions Sécurité, police et commission Discrimination du PCF

PCF - Discriminations

 

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LEGITIME(S)

7 Février 2017, 10:13am

Publié par PCF Villepinte

La France a besoin d’une rupture à gauche d’une ampleur sans précédent.
 
Rêve. Dans sa chronique hebdomadaire donnée à Libération, intitulée «Médiatiques», Daniel Schneidermann n’avait pas tort, cette semaine. «Un intrus s’est glissé sur les plateaux de la politique continue: le rêve. (…) Au début, l’éditocratie dominante, prise de court, ne se montre pas hostile. Comment pourrait-on s’opposer au rêve? (…) Mais voici que Hamon franchit en tête le premier tour de la primaire. Alors là, ce n’est plus drôle du tout. Rendez-nous nos cauchemars préférés, la dette et le terrorisme!» En quelques mots, tout est dit. Et plutôt bien vu. Même s’il conclut ainsi, comme un pied de nez qu’on ne saurait lui reprocher: «Ce n’est pas Bakounine, Hamon. Ce n’est pas Lénine. On ne sait pas s’il faut y croire, à son rêve. Peut-être qu’on sent bien, au fond, qu’il faudra se réveiller un jour.» Le moment politique actuel s’avère tellement imprévisible, à la limite d’une séquence pré-insurrectionnelle, pensent certains, que, dans un journal comme l’Humanité, Benoît Hamon nous intéresse, sans parler d’une partie de son discours «culturel», qui ne peut pas nous laisser indifférents. Il nous intéresse d’autant plus que son succès «dit» quelque chose qui n’a rien d’anecdotique, et qui, admettons-le, ne se mesure pas uniquement au nombre de voix. Comme l’a écrit Jean-Luc Mélenchon au lendemain du second tour de la primaire: «Le fait n’est donc plus la primaire mais ce qui s’exprime à travers elle.» Pour le signifier autrement, comment ne pas se réjouir de la volonté d’une partie de la gauche non seulement d’avoir sorti sans ménagement les sortants, responsables de la catastrophe du quinquennat, mais également d’avoir voulu, consciemment ou non, se ressourcer à gauche après une trop longue période d’égarement idéologique? D’ailleurs, à bien y réfléchir, le «rêve» a-t-il vraiment un rapport avec cette situation? Réenchanter la gauche, la vraie gauche, cela ne serait-il qu’un songe?
 
 
 

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Elections TPE

4 Février 2017, 16:26pm

Publié par PCF Villepinte

Les salariés des TPE confirment la CGT comme première organisation, à dix points devant la deuxième !

vendredi 3 février 2017

Les résultats des élections de représentativité dans les Très Petites Entreprises confirment la CGT comme première organisation syndicale au plan national.

Les salariés qui se sont exprimés ont choisi de légitimer le syndicalisme CGT, qui propose, conteste, revendique, lutte et négocie ! La CGT sort confortée de cette élection et remercie les électeurs.

Cette satisfaction des résultats ne peut gommer l’amateurisme dont ont fait preuve le gouvernement et les services du Ministère du Travail tout au long du processus électoral.

Ils portent notamment la responsabilité du faible taux de participation des salariés à l’élection.

Alors que 4,6 millions de salariés étaient concernés par l’élection, aucune communication digne de ce nom dans les médias n’aura été organisée afin d’informer, sensibiliser et favoriser leur expression.

La CGT dénonce le gouvernement et ses services qui auront jalonné d’embuches l’élection des salariés des TPE comme par exemple le report des élections pendant les fêtes de fin d’année.

Le choix de permettre la participation de listes syndicales pourtant dans l’incapacité de représenter les salariés dans les commissions paritaires qui vont se mettre en place démontre que loin de l’affichage, la prise en compte de l’expression des salariés des TPE sur leurs besoins, leurs revendications n’intéressent que peu le gouvernement !

Les salariés ont amené la meilleure des réponses, celle de placer en tête et loin devant la CGT avec un résultat de 25,12% devant la CFDT à 15,44%.

Ces résultats confèrent de grandes responsabilités à la CGT, qui, forte de ce résultat, réaffirme son engagement auprès des salariés des TPE pour, avec eux, exiger des avancées réelles en matière sociale.

La CGT mesure les efforts de déploiement à réaliser pour mieux représenter les salariés des TPE, leur donner plus de place encore dans le syndicalisme CGT, le syndicalisme de tous les salariés.

Montreuil, le 3 février 2017

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Les chauffeurs de VTC interpellent Macron

4 Février 2017, 08:25am

Publié par PCF Villepinte

JEUDI, 2 FÉVRIER, 2017
HUMANITE.FR
Deux chauffeurs de VTC ont exposé leur désillusion à l’ex-ministre de l’Economie. Photo : Éric Piermont/AFP
Deux chauffeurs de VTC ont exposé leur désillusion à l’ex-ministre de l’ Economie. Photo : Éric Piermont/AFP

Des chauffeurs de VTC ont exposé leur désillusion à l’ex-ministre de l’Economie en visite au Salon des entrepreneurs à Paris.

Les deux chauffeurs de VTC ont réussi à se frayer un chemin parmi la forêt de perches, de caméras et d’appareils photos qui se bousculaient autour du candidat d’En marche ! en visite au Salon des entrepreneurs à Paris, jeudi matin.  Au bout d’un mois de médiation entre les plateformes et les chauffeurs VTC, ils ont exposé leur désillusion à l’ex-ministre de l’Economie qui déclarait en janvier 2016 que grâce à Uber en région parisienne, « des gens souvent victimes de l’exclusion choisissent l’entrepreneuriat individuel ».

« Je n’ai pas fait ça pour passer de ‘’pas de boulot’’ à l’esclavagisme »

Sauf que la réalité décrite par l’un des deux chauffeurs Uber est toute autre : « Je n’ai pas fait ça pour passer de ‘’pas de boulot’’ à l’esclavagisme », lâche le trentenaire. Celui qui était considéré il y a près d’un an comme le VRP d’Uber en France (voir  ), a botté en touche en réponse aux demandes de ceux qui, avec leur association CAPA-VTC (Association des chauffeurs capacitaires et VTC), revendiquent davantage de garanties notamment en termes de revenus, surtout depuis qu’Uber a augmenté la commission que doivent verser les chauffeurs. « Je suis pour la liberté d’entreprendre même s’il faut des protections », dit Emmanuel Macron. « On attendait une réponse un peu plus claire », estime ceux qui, loin de se sentir devenir milliardaire, comme l’ancien banquier le prédisait, doivent travailler plus de 60 heures par semaine pour en retirer un salaire correct. Le rêve du « tous entrepreneurs » a décidément du plomb dans l’aile.

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