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Bienvenue sur le blog des communistes de Villepinte

S'abonner à la newsletter du PCF

16 Novembre 2021, 11:05am

Publié par PCF Villepinte

Publié le 10/11/2021 par PCF

Des millions de votants s’apprêtent à se rendre aux urnes le 10 avril prochain. Pourtant, seule une poignée est abonnée aux réseaux sociaux et à la newsletter de campagne de Fabien Roussel.

Ne privons pas cet électorat des idées de Fabien Roussel pour le pouvoir d’achat, l’écologie, la jeunesse, etc.

 

Ne privons pas cet électorat des idées de Fabien Roussel pour le pouvoir d'achat, l'écologie, la jeunesse, etc.

Chaque vendredi depuis juin 2021, les destinataires de la newsletter de campagne reçoivent un extrait de passage média, une information importante passée, une à venir, l’agenda du candidat, et un challenge numérique et/ou de terrain.

Cette newsletter a un fort taux d’ouverture et d’engagement grâce à un condensé d’informations, une lecture rapide et un ton léger.

Près de 8 000 personnes sont déjà inscrites, mais cela reste encore trop peu.

Si chaque camarade s’abonne et fait abonner 5 personnes, nous pourrions déjà être plus de 240 000 d’ici une semaine.

Pour ce faire, inscris-toi et partage le lien suivant en précisant bien de cocher la case pour recevoir la newsletter :

https://www.fabienroussel2022.fr/newsletter

Ils ont les milliards, soyons des millions à relever le défi des Jours heureux !

Rachel Ramadour, pour l’équipe de campagne.

 

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Nouvelle tentative de déstabilisation de Cuba

16 Novembre 2021, 11:02am

Publié par PCF Villepinte

Publié le 15/11/2021 par PCF

Ce 15 novembre est jour de fête à Cuba. Après neuf mois de confinement, 600 000 élèves du primaire regagnent les écoles et le pays rouvre ses frontières et ses aéroports aux touristes. Cuba maîtrise la pandémie (moins de 300 contaminations par jour), sa population est vaccinée avec le vaccin que l'île a mis au point elle-même. C'est le premier pays à avoir vacciné les enfants à partir de trois ans.

 

Cuba a accompli des prouesses pendant la pandémie alors que l'Administration Trump avait mis en place 243 mesures renforçant le blocus, maintenues par son successeur Biden. Le pays a non seulement protégé sa population, inventé et produit ses vaccins mais il a aussi envoyé 56 brigades médicales dans 40 pays dont l'Italie, La Martinique et Andorre.

Une plateforme qui regroupe toutes les organisations contre-révolutionnaires de Miami, relayée par des opposants intérieurs, appelle ce jour à une marche pour changer le régime. Depuis septembre, on recense vingt-trois déclarations de l'Administration Biden pour appuyer cette marche «au nom des Droits de l'Homme». Comme au moment du coup d'État en Bolivie, sur les réseaux sociaux, une multitude de profils et de compte basés à Miami, sont apparus pour « dénoncer la dictature cubaine ». Un mur médiatique se met en place pour pousser à l'acte des provocateurs et surtout diffuser le mensonge.

Le parti communiste français dénonce cette nouvelle tentative de déstabilisation. Il renouvelle sa totale solidarité avec le peuple cubain et demande la levée immédiate d'un blocus de soixante-deux ans, le plus long, le plus injuste, le plus cruel de l'Histoire.

En juin dernier encore, pour la 29ème fois depuis 1992, l'Assemblée générale de l'ONU, dont la France et l'ensemble des pays de l'Union européenne, l'a condamné contre le vote des États-Unis. C'est une urgence pour le peuple cubain mais aussi pour tous les peuples du monde. L'heure est à la mobilisation pour un large mouvement de solidarité internationale. Le PCF entend y contribuer de toutes ses forces.

 

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JEUNESSES

15 Novembre 2021, 16:45pm

Publié par PCF Villepinte

 

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Contrat d’engagement : Quel manque d’ambition pour la jeunesse !

15 Novembre 2021, 16:38pm

Publié par PCF Villepinte

C’est sur Facebook qu’Emmanuel Macron a décidé d’annoncer la mise en place de sa nouvelle mesure phare pour les jeunes : le contrat d’engagement. Initialement prévu pour un million de jeunes, ce dispositif ne concerne finalement que 500 à 600 000 jeunes, avec une aide pouvant aller jusqu’à 500 € par mois, mais qui ne sera pas automatique. En échange de cette somme, les jeunes devront démontrer leur capacité à s’intégrer sur le marché de l’emploi. Ce sera donc une aide précaire revue au rabais. Autoproclamé “président des jeunes”, Emmanuel Macron est finalement bien éloigné des aspirations de la jeunesse.

La création d’un nouveau sas de précarité pour les jeunes

Stage, service civique, garantie jeune, contrat premier embauche, travaux d’utilité collective (TUC) et maintenant contrat d’engagement. Les dispositifs proposés se suivent et se ressemblent. Ce gouvernement reste dans la lignée de ses prédécesseurs en proposant encore aux jeunes d’être une sous-catégorie de travailleurs. Or, ce n’est pas d’un énième contrat précaire dont nous avons besoin, mais d’un emploi stable et correctement rémunéré. Nous avons actuellement près d’un jeune sur cinq au chômage, un million et demi de jeunes sans emploi ni formation. Si les jeunes sont au chômage, ce n’est pas à cause d’une “mauvaise adaptation au marché de l’emploi”, c’est bien par un manque d’ambition politique.

Aujourd’hui les jeunes sont davantage confrontés à la précarité de l’emploi : plus souvent en CDD, intérim, stages et périodes de chômage. Ce n’est pas d’un nouveau contrat précaire dont les jeunes ont besoin mais bien d’un parcours sécurisé et d’un emploi correctement rémunéré. Et ce ne sont pas les besoins qui manquent ! D’un côté nous avons des besoins immenses d’emplois dans les services publics, notamment la santé et l’éducation, de l’autre nous avons des centaines de milliers de jeunes sans emploi ni formation. Recrutons-les, formons-les plutôt que de les enfermer dans un nouveau sas de précarité.

Les revendications des communistes

L’enfermement de la jeunesse dans des sas de précarité vient détruire tout le potentiel transformateur de la jeunesse. Aux promesses gouvernementales de précarité et de chômage, nous opposons la sécurisation des parcours des jeunes.

Le MJCF et le PCF proposent la création de pré-recrutements dans les services publics en commençant par la santé et l’éducation. Ces pré-recrutements permettraient à des jeunes d’être recrutés dès la sortie du baccalauréat, rémunérés pendant leur formation au niveau d’un fonctionnaire-stagiaire, et en contrepartie ils devraient 10 années de service à l’État. Cette mesure permettrait à la fois de répondre aux demandes croissantes de personnels formés dans le service public et de sortir de la précarité des centaines de milliers de jeunes. C’est le seul moyen de planifier les besoins personnels. Ce ne sont pas les besoins qui manquent, seulement une volonté politique.

Nous demandons également la conditionnalité des aides publiques à l’embauche et la formation professionnelle de jeunes. Des milliards d’euros sont aujourd’hui donnés aux entreprises privées sans aucune (ou trop peu) de conditions. Ces aides doivent être mieux orientées et permettre la création d’emplois stables permettant de vivre dignement. Dans la même veine, nous proposons de nationaliser les banques afin de conditionner les obtentions de prêts aux entreprises sur ces mêmes critères.

Enfin, pour sortir les jeunes de la précarité et sécuriser leur parcours, nous devons leur permettre de suivre leur formation dans de bonnes conditions, sans aucune barrière. Nous proposons en premier lieu : la fin de la sélection à l’université, le diplôme requis doit être le seul critère de sélection. Pour mettre fin à la précarité étudiante et au salariat étudiant qui sont les deux premières causes d’échecs à l’université, nous proposons la création d’un revenu étudiant, fixé au-dessus du seuil de pauvreté pour tous les étudiants.

Avoir la jeunesse la mieux formée, c’est voir dans les nouvelles générations non pas un problème à régler le plus rapidement possible, le temps que jeunesse se passe, mais au contraire voir en eux la solution pour répondre aux défis que nous avons devant nous.

Léon Deffontaines

secrétaire général du MJCF

 

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Communiqué PCF 93: "Le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit !"

15 Novembre 2021, 16:34pm

Publié par PCF Villepinte

Le débat public est aujourd’hui envahi par des propos racistes et xénophobes. Les communistes condamnent et combattent cette prise d’otage idéologique censée imposer à la vitalité du débat démocratique républicain, les seules thèses dangereuses du rejet de l’autre et porteuses d’une inhumanité aussi cruelle que contraire au sens de l’Histoire.

 Notre République est déshonorée chaque fois qu’en son nom les valeurs d’égalité, de liberté et de fraternité sont trahies, défigurées, salies. Défigurées par l’indécence des inégalités, la violence des discriminations, trahies par l’arrogance du pouvoir de l’argent, salies par le racisme visant à opposer les victimes de l’injustice sociale.

Les communistes de Seine-Saint-Denis ne peuvent laisser faire, laisser dire et se banaliser les idées fascisantes qui gangrènent notre société. Ils ont décidé de ne pas laisser le terrain libre aux racistes et d’investir le débat public pour porter leur projet d’une société fraternelle et solidaire. Par une campagne d’affichage et la signature d’une pétition demandant l’inéligibilité de toutes personnes condamnées pour des faits de racisme. Cette pétition fait écho à la résolution pour renforcer la loi Gayssot qui sera portée par Fabien Roussel le 2 décembre à l’Assemblée Nationale.

Ils vont dans les prochains jours multiplier les initiatives pour rassembler toutes celles et ceux qui pensent, dans la diversité des opinions de chacun, qu’un autre monde que celui de la haine et de la division est possible.

 

 

Pantin, le 9 novembre 2021

 

 

 

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L'hymne de nos campagnes

14 Novembre 2021, 08:08am

Publié par PCF Villepinte

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Retour sur la COP26 avec la délégation du PCF

14 Novembre 2021, 08:05am

Publié par PCF Villepinte

La COP26 qui a lieu à Glasgow est centrale pour le respect des accords de Paris et pour tenir l’objectif de neutralité carbone au niveau mondial pour la seconde moitié du siècle. Avant la COP, les engagements étaient nettement insuffisants. Une baisse des émissions de 7 % au lieu des 30 à 50 % d’ici à 2030 est pourtant nécessaire pour contenir le réchauffement de 1,5 à 2 degrés pour continuer à vivre dans des conditions tolérables.

 

Durant cette COP, plusieurs engagements émanant d’une centaine de pays, comme les objectifs de neutralité carbone venant d’Inde et de Chine, nous permettent d’espérer atteindre jusqu’à 30 % de baisse d’émissions. Cela reste nettement insuffisant pour l’objectif 1,5 degré, mais c’est une avancée. Preuve que grâce à la pression des peuples, les COP peuvent servir et poussent les États à honorer leurs engagements. Les manifestations un peu partout dans le monde, comme la mobilisation de l’opinion publique, jouent aussi un rôle central pour construire le rapport de force au niveau mondial.

Bien sûr ce ne sont que des engagements, et il faudra veiller à ce qu’ils soient tenus année après année durant la décennie jusqu’en 2030. Par exemple, les 100 milliards par an d’aide promis par les pays riches en 2009 pour aider les pays pauvres à lutter contre le dérèglement climatique tardent à se concrétiser. C’est une bataille immédiate qu’il faut mener, et porter progressivement à près de 1 000 milliards à partir de 2030.

C’est possible en réorientant des financements consacrés au militaire par exemple (près de 2 000 milliards de dollars par an dans le monde), en particulier en mettant fin aux armes atomiques. Ce sujet est pourtant encore tabou dans les discussions des COP. La lutte contre l’évasion fiscale comme moyen de financer les enjeux climatiques n’y est pas non plus abordée. Il faudrait aussi redéfinir le rôle des grandes banques centrales, comme la BCE, qui doivent utiliser la création monétaire pour des investissements bas carbone.

Pour contribuer à cette pression populaire et faire monter ces batailles politiques, le PCF a envoyé une délégation pour participer à la belle manifestation sur le climat de Glasgow, mais aussi pour rencontrer des forces politiques, associatives et syndicales progressistes internationales. Ainsi, la délégation a porté le point de vue du PCF en intervenant lors des débats organisés par le PGE sur le financement des mesures climatiques ou du rôle de la démocratie sur les politiques énergétiques, s’est enrichie du bouillonnement d’idées lors des ateliers du sommet mondial pour le climat qui débattent d’alternatives au capitalisme vert.

La bataille, mondiale, est aussi européenne. En effet, nous ne pourrons relever le défi climatique qu’en sortant du dogme de la concurrence libre et non faussée. Que ce soit le marché carbone qui donne un droit de polluer aux multinationales ou le marché de l’énergie, les politiques européennes sont inefficaces écologiquement et dramatiques socialement. Ce n’est qu’en rompant avec les traités européens et en nous engageant dans une Europe de la coopération entre des pays et des peuples libres, souverains et associés que nous pourrons atteindre nos objectifs. « Ce n’est pas le climat qu’il faut changer, mais le système » était d’ailleurs le mot d’ordre de notre délégation à cette COP26.

Ainsi, nos échanges avec les syndicalistes de la Fédération Internationales des transports (ITF) ont souligné la convergence de luttes et de propositions pour un développement de l’usage du train et donc un investissement massif dans des transports publics et écologiques (transports urbains, fret ou transport passager). C’est une proposition forte pour réduire nos émissions de CO2 et garantir l’accès aux transports comme un droit fondamental.

Enfin, la bataille pour le climat peut aussi se mener localement, nationalement. Pour accentuer la pression populaire et faire changer le système, il faut rendre majoritaires des propositions concrètes et gagner leur application. Des propositions pour une écologie sociale et populaire pour aller vers une empreinte carbone nulle le plus rapidement possible.

Ainsi, Fabien Roussel propose un pacte inédit pour le climat et l’emploi de 140 milliards d’€, en suivant les recommandations du GIEC. Il permettra, entre autres, de mettre en place la gratuité des transports en commun et de faire baisser le prix du billet SNCF, de rénover énergétiquement 500 000 logements par an, pour vivre plus confortablement en réduisant sa facture énergétique.

Voilà quelques exemples de propositions concrètes alliant bataille pour le pouvoir d’achat, pour l’écologie et favorable à l’emploi que nous voulons faire progresser jusqu’à les rendre incontournables. En poursuivant les mobilisations autour de la COP 26 par le vote Fabien Roussel et par le développement de luttes autour de ces propositions.

La délégation PCF

 

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Petite histoire des journalistes et réalisateurs communistes à la radio-télévision (2)

14 Novembre 2021, 07:59am

Publié par PCF Villepinte

À partir de 1958, avec la radio-télévision gaulliste, les rapports sont très ambivalents. D’un côté la censure politique est implacable. Le discours gaulliste, la propagande officielle occupent tout l’espace des journaux télévisés et les ministres de « l’information » veillent au grain.

D’un autre côté, la télé de l’époque (une seule chaîne, en noir et blanc, au début…) accueille (ou compose avec, ou tolère) des réalisateurs « rouges » qui vont proposer des émissions extrêmement populaires. Ces créations vont marquer durablement l’opinion.

 

En cette fin des années 50/début 60, la création télévisuelle est un genre qui s’invente. Une bonne partie des réalisateurs qui expérimentent ce nouveau média sont des communistes, communistes de cœur ou de carte, des proches, des compagnons de route comme on disait : Stellio Lorenzi, Maurice Failevic, Raoul Sangla, Jacques Krier, Paul Seban, Jean-Pierre Marchand, Marcel Bluwal, Jean Prat. Ou encore Claude Barma et Claude Loursais. On parlera de « l’école des Buttes Chaumont », du nom des studios de tournage. « À la télévision, on était les Hussards noirs de la République », dit Marcel Bluwal. Sur le sujet, on peut lire l’étude d’Isabelle Coutant dans CAIRN.Info « Les réalisateurs communistes à la télévision ».

Ces réalisateurs cohabitent un temps avec des administrateurs gaullistes non sectaires tel Albert Ollivier, plus tard remplacé, en 1964, par le très anticommuniste Claude Contamine. Bref, une sorte de partage s’opère de facto dans les locaux de l’ORTF : aux gaullistes la politique, aux communistes la création, qui n’en est pas moins politique. Ces derniers travaillent dans l’esprit de Vitez : « élitaire pour tous ». « La télévision était l’instrument idéal pour apporter la culture aux gens qui n’allaient ni au théâtre, ni au cinéma, ni dans les bibliothèques, c’était un vrai outil populaire », note Maurice Failevic.

Ces réalisateurs vont adapter des classiques de la littérature française. Ils s’expriment par le biais de dramatiques, de documentaires, de variétés aussi (Raoul Sangla). C’est cette séquence que les historiens de la télévision appelleront « l’âge d’or de la télévision culturelle ».

Un premier nom : Stellio Lorenzi (1921/1990). Il réalise 39 épisodes, de 1957 à 1966, de la série « La caméra explore le temps », dont « Les templiers » (1961), « La terreur et la vertu » (1964), « Les cathares » (1965). De lui encore « L’affaire Calas » ou la série « Jacquou le croquant » (1967) d’après Eugène Le Roy.

Une anecdote qui témoigne du permanent bras de fer entre réalisateurs communistes et administrateurs gaullistes : une des émissions de Lorenzi suscita un vif débat interne, « La terreur et la vertu », consacrée à la Révolution française. Diffusée en octobre 1964, elle met en scène les personnages de Danton et de Robespierre qui sont, chacun à leur tour, au centre des deux épisodes et s’opposent comme deux conceptions de la République.

Danton est représenté en bourgeois bon vivant, à l’humour vulgaire, qui proclame : « Nous avons fait la Révolution pour l’égalité des droits, pas pour l’égalité des fortunes ». Robespierre est une figure intègre voire ascétique. On peut y entendre ces propos : « Le bien du peuple doit être la préoccupation constante de la République. Le vrai but de la Révolution, c’est la mise en vigueur de la Constitution en faveur du peuple.

Et les ennemis du peuple, ce sont les nôtres. Ce sont les hommes sans vertu et ce sont les riches. (…) Leur intérêt est que le peuple ne sorte jamais de la misère. (…) Nous œuvrons pour la grandeur et la dignité de l’homme. (…) Et ce n’est pas pour un peuple que nous combattons mais pour tout l’univers. Pas seulement pour les hommes qui vivent aujourd’hui mais pour tous ceux qui existeront demain ».

Le directeur de l’ORTF (Contamine) est farouchement opposé à ce scénario ; il pense mobiliser les historiens « officiels » contre le téléfilm. Surprise : ceux-ci soutiennent Stellio Lorenzi, Contamine doit céder, l’émission passe.

Gérard Streiff

 

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JAURES

12 Novembre 2021, 11:15am

Publié par PCF Villepinte

Ils étaient usés à quinze ans
Ils finissaient en débutant
Les douze mois s'appelaient décembre
Quelle vie ont eu nos grand-parents
Entre l'absinthe et les grand-messes
Ils étaient vieux avant que d'être
Quinze heures par jour le corps en laisse
Laissent au visage un teint de cendres
Oui notre Monsieur, oui notre bon Maître

 

Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?

 

On n'peut pas dire qu'ils furent esclaves
De là à dire qu'ils ont vécu
Lorsque l'on part aussi vaincus
C'est dur de sortir de l'enclave
Et pourtant l'espoir fleurissait
Dans les rêves qui montaient aux yeux
Des quelques ceux qui refusaient
De ramper jusqu'à la vieillesse
Oui not'bon Maître, oui not'Monsieur

 

Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?

 

Si par malheur ils survivaient
C'était pour partir à la guerre
C'était pour finir à la guerre
Aux ordres de quelque sabreur
Qui exigeait du bout des lèvres
Qu'ils aillent ouvrir au champ d'horreur
Leurs vingt ans qui n'avaient pu naître
Et ils mouraient à pleine peur
Tout miséreux oui not'bon Maître
Couverts de prèles oui not'Monsieur (*)

 

Demandez-vous belle jeunesse
Le temps de l'ombre d'un souv'nir
Le temps de souffle d'un soupir

 

Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?

«Jaurès» par Jacques Brel

 

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Le 11 novembre 2021, Villepinte célèbre l’Armistice de la Grande Guerre de 1914-1918.

12 Novembre 2021, 10:48am

Publié par PCF Villepinte

Le Président de l'ARAC Villepinte Jean Porta lit le message de l'UFAC : "La France célèbre aujourd'hui le 103° anniversaire de l'armistice du 11 novembre 1918 qui mettait fin à quatre années d'horribles souffrances vécues par les combattants des pays belligérants..."

Dépôt de la gerbe du PCF Villepinte  par Valérie Philippon Vermond.

Le prote drapeau de l'ARAC Villepinte dignement entouré.

 

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