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Bienvenue sur le blog des communistes de Villepinte

politique

Ne nous laissons pas naïver

6 Mars 2011, 17:35pm

Publié par PCF Villepinte

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Les Français vont siffler la fin de la récréation sondagière aux cantonales

5 Mars 2011, 23:08pm

Publié par PCF Villepinte

Nicolas Sarkozy en courant après les idées nauséabondes de Marine Le Pen fait bouillir la marmite des sondages. Et l'odeur qui s'en dégage est pestilentielle. Mais il n'y a pas que les sondages dans la vie, il y a d'abord les élections. Et justement les cantonales auront lieu dans 2 semaines sur tout le territoire national. Je suis certain que les Français vont siffler la fin de la récréation sondagière. Je les appelle à s'occuper eux-même de la situation politique en battant partout les candidats de la droite et de l'extrême droite et en plaçant au plus haut les candidats du Front de Gauche.

 

Pierre Laurent, secrétaire national du PCF

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Sarkozy invente la "laïcité double face"

4 Mars 2011, 08:45am

Publié par PCF Villepinte

Politique - le 3 Mars 2011

 

Au Puy-en-Velay (Haute-Loire), un mois avant la très controversée convention UMP du 5 avril sur la laïcité et la place de l’islam, Nicolas Sarkozy est venu saluer "l’héritage patrimonial de la France". Il a estimé que la "chrétienté a laissé" à la France un "magnifique héritage de civilisation". Le chef de l'État met les pieds dans un débat critiqué à gauche mais aussi dans la majorité.

Le président de la République a effectué un déplacement dans ce haut lieu du catholicisme français, officiellement pour évoquer "l'héritage patrimonial de la France".

Mais la visite de la cathédrale romane de la cité ponote, l'un des quatre points de départ des pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, son cloître et son baptistère du Ve siècle - donc, comme l'a fait remarquer le président, de l'époque de Clovis, premier roi de France baptisé -, lui a donné l'occasion d'insister sur "l'héritage chrétien" de la France. "Cet héritage nous oblige, car non seulement nous devons le transmettre aux générations qui nous succèderont mais nous devons l'assumer sans complexe ni fausse pudeur", a lancé M. Sarkozy, lors d'un discours au Conseil général.

Comme il l'avait fait en janvier 2007, au lendemain de son investiture de candidat à la présidentielle, au Mont-Saint-Michel, qualifié par lui de "lieu symbolique de l'identité de la France", comme il l'a également fait à la Chapelle-en-Vercors, en novembre 2009, quand il avait évoqué le "nécessaire débat sur l'identité nationale", M. Sarkozy a beaucoup parlé d'"identité" de la France.  "Il faut qu'il y ait le respect de l'identité", a-t-il affirmé, au moment même où l'UMP se lance dans un débat controversé à gauche - mais aussi par certains à droite - sur la laïcité et la place de l'islam en France, avec une première réunion publique sur ce sujet vendredi à Troyes et une convention le 5 avril.

A ses yeux, "protéger notre patrimoine, c'est protéger l'héritage de la France, c'est défendre les signes les plus tangibles de notre identité"…"Je rappelle souvent Lévi-Strauss" qui disait "l'identité n'est pas une pathologie" et "à tous ceux qui défendent, à juste titre, la diversité, je voudrais dire que sans identité, il n'y a pas de diversité". "A l'origine de la diversité, il y a les identités, et ce n'est pas faire preuve de fermeture que de croire en son identité pour mieux la faire partager avec les identités des autres, a-t-il insisté. 

Il a tenu à faire de nouveau valoir les "racines juives" de la France, et a également confié qu'il avait été "impressionné et ému" par les inscriptions en langue soufique - la langue des premiers corans, selon Martin de Framont, conservateur du patrimoine de Haute-Loire - sur d'antiques portes de cèdre de la cathédrale. "La chrétienté nous a laissé un magnifique héritage de civilisation -- président de la République laïque, je peux dire cela -- et le premier devoir est de conserver et restaurer"  en promettant  "cet héritage une mission à laquelle l'Etat ne peut et ne doit se dérober".

A ce propos, accompagné de Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture, Nicolas Sarkozy a rappelé ses projets en la matière: création d'une maison de l'Histoire de France, nouveau centre des archives à Pierrefitte-sur-Seine, exposition au Grand palais à Paris à partir de février 2012 des plans-reliefs de Vauban...

A l'appel de syndicats, 250 à 300 personnes ont manifesté le matin au Puy-en-Velay, pour dénoncer, dans le calme hormis une brève échauffourée, "la politique de régression sociale du gouvernement".

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Refuser la chasse aux boucs-émissaires

4 Mars 2011, 08:36am

Publié par PCF Villepinte

L'UMP continue de s'embourber. Ainsi, nous apprenons par la voix de Jean-François Copé que le grand débat qui lui est imposé par le Président de la République "n'est pas un débat sur l'islam", mais "un débat sur la laïcité et sur comment construire un islam de France". Bref, c'est bien ce qu'on pensait : c'est le retour du débat fumeux sur l'identité nationale.Mais le parti présidentiel, dans ses nouveaux amalgames, se fait maintenant plus précis en pointant du doigt les musulmans.Nous appelons les hommes et les femmes de notre pays à refuser la chasse aux boucs-émissaires. Car la première menace sur le pacte Républicain, elle vient de Nicolas Sarkozy lui-même. Depuis qu'il est élu, il a passé son temps à diviser, à stigmatiser, à invectiver. La laïcité, c'est l'art de vivre ensemble, c'est l'égalité de droits, c'est l'indépendance de l'État. Autant de principes mis à mal par sa politique de destruction au service de quelques uns. Les manœuvres nauséabondes de l'UMP n'empêcheront pas le débat sur la nécessaire alternative à la politique de la droite auquel les Français ont droit. 

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Cantonales

1 Mars 2011, 13:00pm

Publié par PCF Villepinte

 23 septembre manif 013

 

Nelly Roland Candidate de rassemblement des forces de gauche et de l’écologie  Maire de Villepinte et Conseillère générale

et  son suppléant Gérard Kouassi , vous invitent à un:

Apéritif républicain et citoyen

Mercredi 9 mars à 20 heures

Salle Joséphine Baker - espaces V Roger Lefort - esplanade aimé Césaire

 

Madame, Monsieur,

Les élections cantonales du 20 et 27 mars prochain seront l’occasion d’affirmer qu’un autre choix de société est possible, pour plus de justice sociale, pour un mieux vivre ensemble à Villepinte et en Seine-Saint-Denis. Inutile d’attendre 2012 pour sanctionner la politique de régression sociale menée par Nicolas Sarkozy : en cette période de crise, les seuls à qui le gouvernement demande de faire toujours plus de sacrifices sont celles et ceux qui ont déjà du mal à joindre les deux bouts en fin de mois. Les banques, qui ont joué aux apprentis sorciers avec des milliards d’euros – notre argent ! –, les contribuables soumis à l’Impôt sur la Fortune, sont eux épargnés et même favorisés.

Cela est inacceptable : comment oser prétendre ensuite défendre la valeur travail, être du côté de celles et ceux qui se lèvent tôt ?

L’État doit 690 millions à notre département au titre des transferts de charges non compensés : c'est autant d’actions en moins pour la prise en charge de la dépendance, pour les jeunes, pour nos collèges, pour nos associations sportives et culturelles, pour le soutien à l’emploi dans notre département...

Dans le même temps, le président du Conseil général, Claude Bartolone, augmente la fiscalité départementale, affaiblit les services publics (suppression de postes, annulation d’opérations comme Livres au trésor), et supprime des mesures sociales comme la prise en charge de la carte Imagin’R pour les jeunes : autant de décisions que je ne peux accepter. Ce n’est pas aux Séquano-Dyonisiens de payer pour le désengagement de l’État.

Il faut constituer en Seine-Saint-Denis une nouvelle majorité de gauche qui porte une grande ambition démocratique. Notre département a besoin de ce souffle pour se rassembler avec tous les habitants dans leur diversité et faire face aux mauvais coups de la droite au pouvoir.

Il faut une politique audacieuse pour faire barrage à la loi du profit et à l’idéologie libérale qui étouffent aujourd’hui la Seine-Saint-Denis.

Je vous invite à nous retrouver pour qu’ensemble nous fassions vivre cette dynamique et cette mobilisation pour un mieux vivre ensemble et un projet progressiste, de gauche, vraiment à gauche, pour la Seine-Saint-Denis et Villepinte.

Nelly Roland

Candidate de rassemblement des forces de gauche et de l’écologie.

 

Apéritif républicain et citoyen

Mercredi 9 mars à 20 heures

Salle Joséphine Baker - espaces V Roger Lefort - esplanade aimé Césaire

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Remaniement : le double ratage de Nicolas Sarkozy

28 Février 2011, 06:28am

Publié par PCF Villepinte

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MAM donnée partante du gouvernement, SNIFF!

25 Février 2011, 21:51pm

Publié par PCF Villepinte

Michèle Alliot-Marie et son compagnon Patrick Ollier, le ministre des Relations avec le Parlement

Politique - le 25 Février 2011

 

Michèle Alliot-Marie est donnée vendredi partante de son poste de ministre des Affaires étrangères par plusieurs sources gouvernementales de haut rang, qui évoquent un départ pour lundi prochain au plus tard.

Le chef de la diplomatie française est soumis à de nombreuses critiques sur les conditions de son voyage de fin d'année en Tunisie, où elle avait notamment utilisé par deux fois le jet privé d'un homme d'affaires proche du président déchu Zine Ben Ali pendant le soulèvement dans ce pays. Le ministre de la Défense, Alain Juppé, pourrait prendre sa place et serait lui-même remplacé par le chef du groupe UMP au Sénat, Gérard Longuet, qui était vendredi du voyage avec Nicolas Sarkozy en Turquie alors que ce n'était pas prévu. Prié de dire s'il renouvelait sa confiance à sa ministre, le président français a refusé de répondre lors d'une conférence de presse à Ankara, expliquant qu'il ne s'exprimait jamais sur des sujets de politique intérieure quand il était à l'étranger.

Mais le sort de Michèle Alliot-Marie et de son compagnon Patrick Ollier, le ministre des Relations avec le Parlement critiqué pour ses liens avec le régime libyen, semble scellé. Interrogée vendredi matin sur France Info, elle a écarté l'idée d'un départ ou d'une démission. «Ma devise, c'est bien faire et laisser dire, a expliqué la patronne du Quai d'Orsay.

"Ça ne peut plus durer. Elle n'est plus audible. Il faut qu'elle parte et, pour que ce soit digne, il faut qu'elle parte d'elle-même", a déclaré une source gouvernementale. Selon une autre source gouvernementale, "le principe du départ de 'MAM' est acté".

"Juppé est programmé pour prendre rapidement sa succession, avec beaucoup de pression du président de la République", a-t-on ajouté en soulignant que l'actuel ministre de la Défense se fait tirer l'oreille pour reprendre les Affaires étrangères.

Á lire : Michèle Alliot-Marie face à ses incohérences

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Au coeur de la crise systémique

24 Février 2011, 22:51pm

Publié par PCF Villepinte

 

 

 images-copie-1Dans la vie, il n’y a pas que l’économie. Il y a aussi tous les aspects sociaux non économiques de la vie en société », me confiait lors d’une rencontre l’historien et économiste Paul Boccara. L’historien ne disait pas cela pour remettre à sa place l’économiste, l’un et l’autre appelaient à mesurer au-delà de la crise du capitalisme la profondeur de la crise actuelle de la civilisation occidentale. Cette réflexion nouvelle dans l’oeuvre du théoricien marxiste, dont nous nous sommes fait l’écho dans l’Humanité (11/04), est aujourd’hui accessible dans un petit ouvrage publié par la Fondation Gabriel-Péri, intitulé la Crise systémique : une crise de civilisation (1). Un texte qui reprend et développe une audition récente au Conseil économique, social et environnemental. Cette anticipation vise à penser la globalité d’une crise qui est probablement « une crise systémique radicale, c’est-à-dire pouvant mettre en cause l’existence même du système, ou du moins sa domination ». L’exacerbation de la marchandisation et de ses rejets sociaux, au niveau économique, la montée des divorces entre les délégations de pouvoir propres au libéralisme et les aspirations des populations, sur le plan anthroponomique, font grandir le besoin de réformes radicales. La troisième partie de l’ouvrage est justement consacrée à des propositions pour la maîtrise et le dépassement des marchés et des délégations représentatives. L’ouvrage se conclut sur un plaidoyer en faveur d’une nouvelle culture de partage et d’intercréativité de toute l’humanité. 

 (1) Paul Boccara, la Crise systémique : une crise de civilisation. Ses perspectives et des propositions pour avancer vers une nouvelle civilisation. Note de la Fondation Gabriel-Péri, 45 pages, 4 euros.

PIERRE IVORRA

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Le jeune agriculteur qui a tenu tête à N. Sarkozy s'exprime

19 Février 2011, 22:43pm

Publié par PCF Villepinte

Photomontage l'Humanité.fr/Capture d'écran de l'émission de Tf1

Social-Eco - le 18 Février 2011

événement Agriculture

Mickaël Poillion « Commençons par produire ce que nous sommes capables de produire »

 

Responsable au syndicat Jeunes agriculteurs, Mickaël Poillion était face à Nicolas Sarkozy sur  TF1 pour défendre sa vision d’une politique alimentaire commune.

Vendredi dernier, on ne vous a laissé que quatre minutes pour parler. Qu’auriez-vous développé si vous en aviez eu le temps ?

Mickaël Poillion. Je n’ai pas cherché à interpeller le président, mais à exprimer mes attentes en termes de politique alimentaire face aux téléspectateurs. Je dis bien alimentaire, parce que parler de politique agricole ne suffit plus. Elle a rencontré ses limites dès lors que la sphère publique s’en est retirée. En une dizaine d’années, l’Europe a fait le choix de liquider tous ses outils de régulation des marchés. D’abord les stocks, puis les taxes à l’import et à l’export, et enfin les quotas… On s’est contenté de maintenir des aides publiques, avec l’idée qu’elles pourraient, seules, constituer un filet de sécurité. Aujourd’hui que le marché fluctue sévèrement, nous ne sommes plus en mesure d’assurer une régulation, un prix, un revenu. Là où l’Europe, il y a encore dix ans, contribuait peu à la fluctuation des prix, elle y participe aujourd’hui doublement, en laissant faire des échanges surréalistes, véritables appels d’air pour ceux qui veulent faire de l’argent.

 Par exemple ?

Mickaël Poillion. Ce qui se passe entre l’Europe et le bassin méditerranéen est éloquent. Nous, les Français, nous leur refourguons des céréales dumpées aux aides publiques, dont l’Algérie ou le Maroc sont devenus dépendants faute d’avoir développé des politiques agricoles ad hoc ; eux nous renvoient des fruits et des légumes pas chers, hors saisons, sur un marché que les boîtes privées et la grande distribution organisent de façon à casser les prix. Cela n’a plus rien à voir avec de l’échange ou de la coopération : c’est du commerce pur et dur. Je trouve aussi surréaliste que l’Europe écoule ses céréales de qualité, destinées à l’alimentation humaine, sur le marché mondial, et importe, dans le même temps, des céréales fourragères et 80 % de ses protéagineux (soja, etc.) destinés à l’alimentation animale. C’est absurde. Cela place tout le monde en situation de dépendance. Les éleveurs français – de façon plus ou moins forte, cela dit, selon qu’il s’agisse d’élevage hors sol ou classique – comme les pays récipiendaires. L’Europe doit et peut nourrir son propre bétail.

 Quelles perspectives peut-on donner ?

Mickaël Poillion. Il faudra beaucoup de temps avant que la sphère publique ne se réinvente sur ces questions. Mais d’ici là, nous pouvons avancer. En créant, par exemple, des lieux où elle pourrait intervenir, à l’échelle mondiale, européenne ou régionale. Il peut s’agir de définir cinq ou six grands ensembles, à échelle continentale, entre pays confrontés à des problématiques similaires. C’est une réflexion que nous développons, à JA, depuis 2001. Cela déboucherait in fine sur une nouvelle gouvernance, via une organisation mondiale de l’alimentation. Il peut aussi s’agir d’ensembles plus petits, sorte de bassins de consommation et de production. Paris, Londres, Bruxelles en serait un, à mon sens, dans la mesure où la population y est dense et les possibilités de produire nombreuses. Ce serait une façon de reconstruire du lien et de la cohérence entre consommation et production. Un moyen d’en finir avec cette absurdité, qui veut que j’exporte ma production alors que je vis au milieu de 4 millions d’habitants, qui n’ont pas tous accès à l’alimentation. Définir la production en fonction, prioritairement, des besoins et des capacités d’un territoire, et non plus des échanges avec l’extérieur, est une première étape essentielle.

 Vous parlez de relocalisation ?

Mickaël Poillion. Oui, mais d’une relocalisation qui ne soit pas béate et ne nie pas le besoin d’échanges mondiaux. Alors que l’urbanisation s’accroît, nous serons obligés d’importer. Mais encore une fois, commençons par produire ce que nous sommes capables de produire. Que l’Europe se donne les moyens de nourrir son bétail est une priorité pour le maintien de son élevage. Au lieu de quoi, elle s’apprête à signer des accords, lesquels prévoient que l’on importe massivement de la viande bovine d’Amérique latine. C’est là où je me fais un peu dur avec le président de la République, lorsqu’il me dit que seule la France, au G20, pousse pour une régulation des marchés. Avant de faire le tour de la planète pour expliquer comment il convient de réguler, qu’il aille voir M. Barroso et lui intime d’arrêter de sacrifier l’élevage français.

A lire: L’Élysée laboure pour la grande distribution 

A lire: Souveraineté alimentaire contre loi des marchés

A lire: Pour une réforme simple et efficace de la PAC

A lire:  La gauche bat la campagne

 

Entretien réalisé par Marie-Noëlle Bertrand

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Les Français auraient envie de révolte

18 Février 2011, 19:00pm

Publié par PCF Villepinte

vendredi 18 février 2011

republiqueUne enquête Harris Interactive pour l’Humanité Dimanche, publiée dans son édition du 17 février 2010, révèle que 58 % des Français souhaitent qu’une "révolte" éclate en France.

L’enquête précise les raisons évoquées par les personnes interrogées : l’emploi pour 85 % d’entre elles, puis le coût de la santé et les différences sociales.

Le pouvoir d’achat et le manque de perspectives d’avenir pour les enfants sont également cités.

80 % des sympathisants de gauche et 95 % de ceux d’extrême-gauche souhaitent « que les Français aujourd’hui se révoltent », selon les termes du sondage.

On remarque également que 80 % des personnes qui ont voté pour Ségolène Royal au premier tour des élections présidentielle de 2007 souhaitent une révolte.

Les sympathisants d’extrême-droite arrivent ensuite avec 67 % d’opinion favorable.

Chez les sympathisants de droite, seulement 39 % voudraient voir les Français se révolter.

Si 49 % des personnes interrogées estiment qu’une révolte serait effectivement possible en France, chez les sympathisants de gauche, seuls 19 % pensent que les Français ne sont pas capables de se révolter alors qu’à droite ils sont 82 %.

Cette enquête a été réalisées les 10 et 11 février 2011 sur un échantillon de 1 247 personnes âgées de 18 ans et plus.

-  L’enquête complète « Les Français et la révolte aujourd’hui »

 

 

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