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Bienvenue sur le blog des communistes de Villepinte

travail de memoire

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16 Mars 2024, 10:12am

Publié par PCF Villepinte

 

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Missak Manouchian

21 Février 2024, 08:16am

Publié par PCF Villepinte

« Son combat m’inspire dans ma lutte » :

Missak Manouchian, ce héros qui parle aux jeunes

À l’aune de son entrée au Panthéon, des professeurs se sont saisis de l’événement pour transmettre à leurs élèves la vie et les combats de Missak Manouchian. Ils ont organisé au Sénat une rencontre avec un passeur de mémoire, le vice-président communiste Pierre Ouzoulias.

L'Humanité Scarlett Bain

Les lycéens du 18e arrondissement de Paris on pu découvrir et échanger autour de la mémoire de la résistance.

Ils sont nés plus d’un demi-siècle après l’exécution de Missak Manouchian. Ils ne sont pas tombés enfants dans la marmite du communisme qui cultive la mémoire du résistant. Ils n’ont pas été bercés par la voix de Léo Ferré déclamant avec ferveur les vers de Louis Aragon, propulsant le héros arménien à la postérité. Ils s’appellent Issa, Aude, Mame, Mendel, Justine ; ils ont entre 17 et 18 ans et sont lycéens à Paris.

Lorsqu’ils arrivent au Sénat, ce 2 février, ils ne connaissent que par bribes l’incroyable histoire de Manouchian et son funeste destin, survenu quatre-vingts ans plus tôt. Mais Aude, 17 ans, les cheveux relevés en chignon, a déjà une idée arrêtée de ce qu’incarne la figure du résistant : « La liberté, la mixité et la justice. Tout ce qui constitue en soi les valeurs de la France. »

« Pourquoi n’est-ce pas toute la Résistance étrangère qui entre au Panthéon avec Missak et Mélinée Manouchian ? »

Le sénateur Pierre Ouzoulias donne chair à cette histoire en confessant d’emblée aux élèves que, pour lui, Manouchian est une « histoire de famille ». « Mon grand-père, Albert Ouzoulias, colonel André de son nom de guerre, était l’un des dirigeants des Francs-Tireurs et Partisans. Il avait donc sous sa responsabilité le groupe Manouchian et il a mené la résistance en grande partie dans votre arrondissement », le 18e, porte de Clignancourt. C’est dans ce quartier populaire que vivent et étudient ces lycéens en classe de terminale.

L’initiateur du projet de panthéonisation poursuit : « Mon grand-père m’a toujours expliqué que si je pouvais parler aujourd’hui, c’est parce que Missak Manouchian n’avait pas parlé sous la torture. » Une question gagne alors les consciences dans l’assistance : qu’aurions-nous fait à sa place ?

À peine majeur, Issa, très à l’aise dans son survêtement gris, répond avec humilité : « Je ne peux pas m’imaginer trahir mon pays, comme je ne peux pas m’imaginer ne pas céder sous la torture. Manouchian, lui, a enduré une souffrance inimaginable, mais il a gardé le silence. Jusqu’à la fin, il s’est battu pour un idéal, pour ses idées communistes. »

Insatiable de savoir, une autre interrogation le taraude : « Pourquoi n’est-ce pas toute la Résistance étrangère qui entre au Panthéon avec Missak et Mélinée Manouchian ? » Aussitôt, il conclut finalement de lui-même : « Pour moi, Manouchian, plus qu’une personne, c’est un symbole. Il représente tous les immigrés qui se sont battus pour la France. »

Pour ces lycéens, c’est là le sens de cette panthéonisation. Avec l’Arménien apatride, c’est l’ensemble des étrangers morts pour la France qui entrent dans la crypte d’une République désormais reconnaissante. Cette portée historique, Mendel la trouve d’autant plus importante « dans le contexte actuel, juste après la loi immigration. C’est vraiment super ! Ça montre à tous les étrangers que, eux aussi peuvent être célébrés comme le général de Gaulle ».

Ce télescopage de l’actualité entre cette célébration et une loi criminalisant les étrangers a une résonance singulière chez ces jeunes. Leur établissement, le lycée Rabelais, a la spécificité d’accueillir en son sein de nombreux élèves dont les parents ou grands-parents sont issus de l’immigration. Mame, 17 ans, au caractère bien trempé et à la verve affirmée, se présente comme parisienne et « fière » d’être une « arrière-petite-fille de tirailleurs sénégalais ».

« La part des étrangers dans la construction de notre pays n’est pas encore assez reconnue, pas assez dite, ni racontée », estime-t-elle. Celle qui veut « devenir une grande militante contre le racisme » s’insurge face à « des droites qui disent que nous n’avons pas notre place ici ou qu’on ne mérite pas les mêmes droits que les Français alors qu’on fait partie de l’histoire française. Ça me révolte ! Le combat de Manouchian et sa panthéonisation m’inspirent dans ma lutte. C’est dans ces moments-là que je suis fière de mon pays. Peut-être qu’il n’était pas français, mais à travers ses actes, il est devenu plus français que certains Français ».

Dans les grands couloirs du Sénat où chacun avance à pas feutrés, intimidé par le prestige des lieux, la discrète Justine, arrivée très jeune en France du Portugal, est marquée par la figure de « Manouche », poète. À ses yeux, le communiste était « presque un philosophe ».

Un passage de la dernière lettre de Missak à Mélinée, son épouse, l’a particulièrement touchée. « Quand il écrit qu’il meurt sans haine, ça m’a fait un coup ! Tout le monde aujourd’hui semble avoir de la haine contre tout le monde : une bousculade et te voilà haï. Manouchian, lui, aurait pu détester les Allemands et malgré tout ce qu’on lui a fait, il n’a eu de haine envers personne. » La jeune fille exprime le souhait que cette leçon de vie irrigue la société.

 

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18 Février 2024, 08:47am

Publié par PCF Villepinte

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Missak

18 Février 2024, 08:37am

Publié par PCF Villepinte

Les Manouchian au Panthéon : l’aboutissement d’un long combat

Avec sa femme Mélinée, le résistant communiste arménien, entre le 21 février, à la nuit tombante, dans le sanctuaire des grands hommes. C’est l’aboutissement d’un combat de quinze ans. Et une (tardive) reconnaissance du rôle des communistes dans la résistance et des étrangers dans l’édification de la France.

L'Humanité Emilio Meslet

Jour pour jour, 80 ans après son exécution, Missak Manouchian sera le premier communiste et le premier étranger à entrer dans le sanctuaire de la République.© Amaury Cornu/Hans Lucas/Hans Lucas via AFP

Le secret n’en sera bientôt plus un. Dans deux jours précisément. Pour l’heure, en ce 16 juin 2023, le choix du président de la République ne doit pas « fuiter », comme on dit dans le jargon. 

Seuls les six invités du jour – ainsi que quelques conseillers – qu’il reçoit dans son bureau, au premier étage de l’Élysée, ont la primeur de la bonne nouvelle : « Je veux rendre hommage à un étranger mort pour la France », lâche Emmanuel Macron. C’est décidé depuis de longs mois, avant même sa réélection en 2022, Missak Manouchian, résistant communiste arménien, doit entrer au Panthéon. Sa femme Mélinée, également engagée contre l’occupant, l’accompagnera.

Face au chef de l’État, Jean-Pierre Sakoun, président du petit comité et de l’association Unité laïque, Aline Girard, sa secrétaire générale, Pierre Ouzoulias, sénateur communiste, Nicolas Daragon, maire LR de Valence (Drôme), Denis Peschanski, historien, et Katia Guiragossian, petite-nièce du couple Manouchian, ne peuvent contenir un sourire. Leur combat, entamé collectivement en septembre 2021, aboutit enfin. Il fut à la fois si rapide et si long.

« Une reconnaissance attendue depuis longtemps »

Le 18 juin, au petit matin, la délivrance arrive officiellement par un communiqué de l’Élysée – « Missak Manouchian incarne les valeurs universelles portées par ces « vingt et trois qui criaient la France en s’abattant » et ce sont eux qui, avec lui, seront aussi célébrés » –, avant une cérémonie au Mont-Valérien. Là où, le 21 février 1944, le chef militaire des Francs-tireurs et partisans-Main-d’œuvre immigrée (FTP-MOI) parisiens et ses camarades sont tombés, exécutés par les nazis. À l’issue de la commémoration, Emmanuel Macron prend le temps d’échanger avec le comité en aparté : « C’est vous qui l’avez amené jusqu’ici. »

Jour pour jour, 80 ans après son exécution, Missak Manouchian sera le premier communiste et le premier étranger à entrer dans le sanctuaire de la République. « Une reconnaissance attendue depuis longtemps pour ceux qui, au nom de notre idéal, ont fait le choix des armes afin de défendre notre liberté », salue Fabien Roussel, secrétaire national du PCF. À la nuit tombante, la rue Soufflot verra le cercueil, recouvert d’un drapeau tricolore, remonter jusque dans la nef du Panthéon, où il sera accueilli par la musique du compositeur Pascal Dusapin.

Là, devant 1 200 invités, dont 600 scolaires, Emmanuel Macron prononcera l’oraison de ce « Français de préférence qui a choisi l’universalisme français », avance un de ses proches. Arthur Teboul, chanteur du groupe Feu ! Chatterton, reprendra le poème d’Aragon, « Strophes pour se souvenir », mis en musique par Léo Ferré dans « l’Affiche rouge ». Quand sonneront 20 heures, viendra le temps pour le résistant de rejoindre le caveau numéro XIII, où il reposera avec Mélinée, Joséphine Baker et Maurice Genevoix pour l’éternité. Les noms des membres du groupe Manouchian, ainsi que celui de leur chef, Joseph Epstein, seront rivés, en lettres de bronze, sur l’un des murs de la crypte.

Pierre Ouzoulias a une vue imprenable sur le Panthéon depuis son bureau de vice-président du Sénat. Le 22 février, au lendemain de la cérémonie, il regardera différemment le mausolée de la montagne Sainte-Geneviève. Avec le sentiment du devoir accompli. Car, pour l’élu des Hauts-de-Seine, « Missak » est avant tout une « histoire familiale » : son grand-père, Albert, était son supérieur dans la résistance communiste. « Il aurait pu tomber si Manouchian et Epstein avaient parlé sous la torture, raconte Pierre Ouzoulias. Il a toujours eu le sentiment d’être un miraculé, d’avoir échappé à une mort certaine. »

C’est pourquoi, dès la Libération, il décide de faire vivre la mémoire des 23. Jusqu’à faire renommer, en 1951, une place de la capitale, par le Conseil de Paris, en l’honneur du groupe. Un flambeau repris par le petit-fils qui, en 2017, au moment de son élection au Sénat, choisit d’œuvrer pour faire entrer le glorieux communiste au Panthéon. Il n’est pas le seul à en rêver puisque Jean-Pierre Sakoun, après le visionnage de « l’Armée du crime », de Robert Guédiguian, en 2009, a déjà ouvert, huit ans plus tôt, une page Facebook dédiée à cet ambitieux projet sans que l’engouement ne prenne.

« Si j’avais fait un deuxième mandat… »

Il faut attendre février 2014 pour que soit lancée une première initiative officielle par un député socialiste. Jean-Marc Germain veut faire transférer au Panthéon les cendres des membres du groupe Manouchian, « bien que communistes », écrit-il dans une tribune publiée par le Monde. François Hollande, alors président de la République, ne retient pas l’idée lorsqu’il annonce – affront ultime – la panthéonisation, le 21 février de la même année depuis le Mont-Valérien, de deux résistants gaullistes (Geneviève de Gaulle-Anthonioz et Pierre Brossolette) et deux résistants de centre gauche (Germaine Tillion et Jean Zay).

Les communistes sont oubliés et Pierre Laurent, secrétaire national du PCF à l’époque, se dit « choqué ». « Dans ce moment de commémorations entre le centième anniversaire du début de la Première Guerre mondiale et l’anniversaire de la Libération, il fallait que je puisse faire un acte de panthéonisation, et un seul. Quatre, c’était déjà beaucoup. J’ai distingué autrement le groupe Manouchian, par une cérémonie à Suresnes, justifie aujourd’hui François Hollande auprès de l’Humanité magazine. Si j’avais fait un second mandat, il est tout à fait évident que j’aurais mis le groupe Manouchian aussi au Panthéon. »

« Il est temps que l’injustice de 2014 soit réparée », se satisfait Jean-Pierre Sakoun. Et Pierre Ouzoulias d’expliquer : « Emmanuel Macron, contrairement à François Hollande qui en a vécu en Corrèze, n’a pas connu de conflit avec les communistes. » Cette fois, la campagne sera la bonne. À condition de tirer les leçons des erreurs du passé : « Il fallait que la démarche ne soit pas vue comme celle des Arméniens ou des communistes, tout en les associant. De même, les 23 ne peuvent tous entrer au Panthéon. Manouchian devait apparaître comme le symbole de la résistance des étrangers », rapporte l’un des participants du comité.

En septembre 2021, le stratège Jean-Pierre Sakoun forme donc un groupe transpartisan, façon « Agence tous risques » : un communiste (Pierre Ouzoulias), un élu local de droite (Nicolas Daragon), une membre de la famille (Katia Guiragossian) et l’historien garant de la légitimité du projet (Denis Peschanski). Le tout avec la bienveillance de l’État arménien. « Il n’entre pas au Panthéon parce qu’il est communiste ou arménien mais parce qu’il est un héros de la Résistance. Et nous sommes fiers que ce héros soit arménien », félicite l’ambassadrice d’Arménie en France, Hasmik Tolmajian, alors qu’un hommage lui sera rendu, le 21 février, dans toutes les écoles du pays.

Régulièrement, la troupe se réunit, échange. Les coups de fil fusent. Se monte, en parallèle, un second « comité de parrainage » pour élargir le champ des soutiens, avec entre autres le plasticien Ernest Pignon-Ernest, la philosophe Claudine Tiercelin ou encore Alain Minc, fils d’un FTP. « Libération » publie alors une première tribune le 21 février 2022 : « Missak Manouchian, à quand la patrie reconnaissante ? » Puis les conseils régionaux d’Occitanie et d’Auvergne-Rhône-Alpes – l’un à gauche, l’autre à droite – votent à l’unanimité pour demander au président d’honorer cet apatride tombé pour la France.

En coulisses, Hasmik Tolmajian est missionnée pour faire ce qu’elle fait de mieux, de la diplomatie, auprès de certaines personnalités non associées au projet (les maires de Paris et Marseille, Anne Hidalgo et Benoît Payan) pour s’assurer de leur appui, mais également auprès de la communauté arménienne pour ménager les susceptibilités. « C’est le début d’une suite d’évidences », résume Nicolas Daragon.

Sur l’immigration, le « en même temps » macroniste

La démarche tape vite dans l’œil de l’Élysée, notamment du conseiller mémoire du président, Bruno Roger-Petit. Avec le commissaire Jean Le Roch, il reçoit discrètement la petite bande au Château, en mars 2022. Au nom de la famille, Katia Guiragossian s’engage à ce que les restes de Missak Manouchian soient transférés au Panthéon, à condition de ne pas séparer le couple. Le duo élyséen fait la proposition à Emmanuel Macron, qui l’accepte tout de suite. Et Denis Peschanski est chargé d’identifier les derniers FTP-MOI vivants pour les décorer.

Mais le spécialiste revient avec une surprise : tous les fusillés du Mont-Valérien ne sont pas reconnus « Morts pour la France », y compris dans le groupe Manouchian. Le 4 avril suivant, sur France Inter, le candidat à sa réélection est questionné sur le sujet par une Léa Salamé « subtilement orientée » par l’état-major macroniste. « Je pense que c’est une très grande figure et que cela a beaucoup de sens », répond-il dans un grand sourire. Et puis… silence radio. Plus de son ni d’image entre le comité et la présidence qui, empêtrée dans son absence de majorité parlementaire, laisse de côté ce dossier.

Pour autant, les six n’ont pas dit leur dernier mot et relancent, le 18 février 2023, la machine à l’occasion d’un grand colloque au Sénat, sous l’égide de Pierre Ouzoulias, avec l’espoir d’une annonce le 21 février. À cette occasion, la secrétaire d’État aux Anciens combattants, Patricia Mirallès, envoie un signal positif, en octroyant par décret la dignité « Mort pour la France » à Szlama Grzywacz, dernier du groupe Manouchian à ne pas l’avoir. « On a compris qu’on allait dans la bonne direction », se souvient Katia Guiragossian. Quatre mois plus tard, Emmanuel Macron révèle donc que Missak Manouchian deviendra le neuvième résistant à reposer parmi les grands hommes de la nation.

Pour autant, personne n’est dupe quant à la récupération politique qu’en fait le chef de l’État, toujours prompt à donner dans le « en même temps » avec les sujets mémoriels. Panthéoniser Manouchian, une contradiction avec la loi immigration ? « C’est l’inverse car totalement aligné, rétorque-t-on à l’Élysée. Dans cette loi, il y a un fort volet d’intégration sur la langue et la culture. On a toujours défendu que la France était un choix. » « Il s’agit d’une opération de communication visant à se laver d’avoir imposé une loi immigration au forceps, votée par l’extrême droite », tranche, de son côté, Fabien Roussel.

D’où le choix d’organiser, avant la cérémonie officielle, un « hommage populaire », commun au PCF et à la CGT, pour que la nation accompagne le résistant-poète-ouvrier jusqu’à sa dernière demeure. « Cette entrée au Panthéon est le plus bel hommage possible, conclut Katia Guiragossian. Missak et Mélinée n’ont pas eu d’enfant, mais ils ont beaucoup d’héritiers. »

 

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Le 15 mars, écrivons la suite des jours heureux !

14 Février 2024, 10:22am

Publié par PCF Villepinte

À l'occasion du quatre-vingtième anniversaire du programme du Conseil national de la Résistance (CNR), la CGT organise un colloque et un rassemblement le 15 mars 2024 à Paris.

La CGT a participé activement à la construction du programme du CNR

Le 15 mars 2024 sera le quatre-vingtième anniversaire de l’adoption du programme du CNR - « Les jours heureux » auquel la CGT a fortement contribué, représentée à l’époque par notre camarade Louis Saillant.

À l'occasion de cet anniversaire, la CGT souhaite montrer comment les acquis de la Libération avaient permis un développement économique et social du pays à l’opposé de ce que Macron met en œuvre aujourd’hui.

Il n’est pas question de célébrer une vision mythifiée et nostalgique du passé ou des évènements, mais de rappeler que si le monde a changé, les exigences de la CGT restent les mêmes, avec un élément nouveau : celui des questions environnementales à lier inévitablement, en 2024, aux questions sociales. 

La CGT agit toujours pour une société démocratique, libérée de l’exploitation capitaliste et des autres formes d’exploitation et de domination, contre les discriminations de toutes sortes.

 La CGT célèbre les 80 ans du programme du CNR le 15 mars 2024

Le programme :

Matin : colloque au cinéma L’Arlequin avec deux tables rondes (inscription ici).

12 h 30 : déjeuner-cocktail (participation de 10 €) et dédicace par Sophie Binet du livre Les jours heureux, programme du Conseil national de la Résistance, aux éditions Grasset, avec une préface – « Il est minuit moins le quart » – qu'elle a signé.

15 h 00 : rassemblement à l'endroit où le programme du CNR a été adopté le 15 mars 1944 :

discours de Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT ;

lecture des « Jours heureux » par Anna Mouglalis .

Soirée : projection au cinéma L’Arlequin du film « Les Jours heureux » de Gilles Perret.

 Les luttes d’hier nourrissent les combats de demain.

Nous sommes à un moment charnière, de bascule, de recul des droits.

À l’image de notre engagement quotidien contre les idées d’extrême droite, pour les libertés publiques et dans un enjeu de conquêtes de nouveaux droits, afin de porter notre projet de transformation de la société, la CGT appelle les militant·es à venir nombreux·ses le vendredi 15 mars 2024.

Télécharger l'affiche ici

 

 

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M.O.I

12 Février 2024, 15:12pm

Publié par PCF Villepinte

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