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Bienvenue sur le blog des communistes de Villepinte

AGIR CONTRE LES INÉGALITÉS D'ACCÈS À LA VACCINATION

22 Février 2021, 19:38pm

Publié par PCF Villepinte

LA COURNEUVE : 

Depuis la mise en place de la vaccination contre la covid 19, le centre municipal de santé Salvador Allende de la Courneuve est reconnu centre officiel de vaccination par l’État.

Il dispose de 380 doses de vaccins par semaine Cependant seulement 60 % de Séquano-Dionysiens dont 20% de Courneuviennes et Courneuviens bénéficient de cette vaccination alors que nous faisons partie des territoires les plus touchés par la maladie

En effet le système mis en place par l’État de prise de rendez-vous sur des plates-formes numériques met à jour la fracture numérique dans notre département et l’inégalité d’accès au vaccin qui en découle.

C’est pourquoi à la Courneuve comme dans d’autres villes nous prenons des mesures d’accompagnement des habitants (rendez-vous téléphoniques, transports mis à disposition) pour que les habitants du territoire puissent aussi en bénéficier.

(A Villepinte, Mme Valleton et ses ami-e-s ont facilité l'installation d'une maison médicale de santé, le rythme de vaccination ne dépasse guère les 40 vaccinations par semaine. Vous avez dit bizarre?) 

Cette proximité est possible parce que la ville de la Courneuve a décidé il y a quelques années de reconstruire un centre de santé municipal et d’y consacrer un budget d’un million d’euros par an (personnel entretien).

Ces choix politiques de gestion sont pour les communistes et les élus communistes une réelle utilisation de l’argent public au service des citoyens pour un égal accès à la santé dans la continuité de la création de la sécurité sociale par Ambroise CROIZAT.

Cette situation met en exergue aussi le problème d’accès aux droits d’un nombre important d’habitantes et habitants du département. Aujourd’hui beaucoup de services publics (sécurité sociale, CAF, préfecture logement…) suppriment tous leurs accueils physiques pour ne laisser le choix que des démarches en ligne créant de fait une nouvelle inégalité s’ajoutant à celles déjà existantes.

Si les démarches numériques sont un progrès et facilitatrices pour certains, elles ne doivent pas devenir la règle et des accueils physiques doivent perdurer pour accompagner toutes les populations dans leurs demandes pour permettre l’accès aux droits a toutes et tous

A la Courneuve, un bus avec deux médiateurs va être mis en place pour aller à la rencontre des habitant- es et les accompagner dans leurs démarches

Corinne Cadays-Delhome

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UD CGT 93 Relaxe pour Hervé OSSANT

22 Février 2021, 16:33pm

Publié par PCF Villepinte

Le Secrétaire Général de l’UD CGT 93 obtient la relaxe !

 

Le 31 octobre 2019, dans le cadre d’un déplacement gouvernemental en Seine-Saint-Denis, un rassemblement militant a été durement réprimé par les forces de l’ordre, et le Secrétaire Général de l’UD CGT 93 a été interpellé et placé en garde à vue.

Hervé Ossant se voyait poursuivi à la fin de cette privation de liberté de plus de 7 heures, pour des faits de « violence » sur policier et convoqué au TGI de Bobigny le 8 février 2021. Cette audience du 8 février la CGT 93 en a fait un temps fort revendicatif pour la défense de nos libertés fondamentales et contre les dérives liberticides d’un Etat qui tend à se donner tous les droits !

Des militants syndicaux, qui n’ont fait qu’exercer leur droit et liberté démocratique de manière totalement pacifique, n’ont pas à être malmenés, et trainés devant les tribunaux ! La Juge qui avait mis sa décision en délibéré vient de rendre son verdict : Hervé Ossant est relaxé !

L’accusation de violences envers un policier, qui était totalement démontée par les images de la scène filmées par un témoin, et qui ont été versées au dossier après l’accusation policière, a donc été écartée et aucune charge n’a été retenue ! C’est une victoire de la vérité, contre le mensonge éhonté de personnes dépositaires de l’autorité publique. C’est aussi la victoire de nos libertés, dont les libertés syndicales, contre la volonté de ce pouvoir de museler la contestation sociale.

 Cette décision rappelle l’utilité fondamentale de la liberté de filmer, d’informer, alors qu’une sombre loi dite de « sécurité globale » souhaite l’entraver. Fort de ce succès la CGT 93 appelle ainsi à participer massivement aux prochaines mobilisations contre la loi dite de « sécurité globale ». Quant aux policiers qui ont menti nous réfléchissons aux suites à donner.

 Bobigny le, 22 février 2021.

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Apl. En pleine crise, de jeunes actifs privés d’allocation

22 Février 2021, 13:30pm

Publié par PCF Villepinte

 

L'Humanité Lundi 22 Février 2021

Paul Ricaud

Au début de son mandat, Emmanuel Macron supprimait l’ISF et réduisait de 5 euros les aides personnalisées au logement. Depuis janvier, un nouveau calcul de cette allocation frappe les jeunes travailleurs au porte-monnaie.

Du jour au lendemain, des pertes de plusieurs centaines d’euros par mois. C’est ce qu’ont pu constater, aux alentours du 5 février, une large part des allocataires, habitués à percevoir leur aide personnalisée au logement (APL). Les jeunes travailleurs sont les premiers à souffrir de cette réforme, quand ils comptent aussi parmi les plus touchés par la crise économique.

Jusqu’ici, le montant de l’allocation la plus répandue de France était calculé à partir des revenus du ménage. Depuis le début de l’année 2021, elle est «contemporanéisée»: les revenus des douze derniers mois sont pris en compte et actualisés tous les trimestres. Derrière cette «aide ajustée en temps réel», qui a pu augmenter le montant de l’allocation auprès de certains, se cache un nouveau coup porté au budget de nombreux jeunes allocataires.

À lire aussi : Le soutien aux moins de 25 ans tarde à se faire sentir

Cloé a 20 ans. En janvier, cette étudiante en contrat d’alternance touchait 220 euros d’APL. Un mois plus tard, le nouveau calcul lui a fait perdre 200 euros par mois. Brutalement, elle a dû continuer de s’affranchir de frais de logement de 500 euros toutes charges comprises, avec 29 euros pour seule aide au logement. En ajoutant au loyer le remboursement de la voiture, qui lui sert à travailler, et le coût de la vie quotidienne, les dépenses de Cloé dépassent très vite le cadre de son budget. 

«  J’ai travaillé pendant mes vacances d’été, puis quelques fois, en plus de mon alternance, donc j’ai gagné trop d’argent pour continuer à toucher l’APL», explique-t-elle. Apprentie éducatrice spécialisée en Charente-Maritime, la jeune femme en est aux prémices de sa vie d’adulte, indépendante de ses parents. Elle comptait sur l’APL pour lui permettre de vivre de son salaire de 700 euros par mois. Le fruit de quelques semaines de CDD accumulées en 2020 aurait dû lui servir à assurer ses arrières et à financer des projets de vacances ou de stages à l’étranger.

Maintenant qu’elle doit puiser dans ses économies tous les mois et compter chaque euro, la perte d’un cinquième de ses revenus a changé sa manière de vivre: «  J’évite de sortir me balader pour ne pas être tentée par les achats et je surveille tout le temps mon compte en banque, c’est beaucoup de stress. Heureusement, il n’y a pas beaucoup de loisirs en ce moment.»

 

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Perseverance sur Mars : une réussite pour toute l'Humanité

22 Février 2021, 13:27pm

Publié par PCF Villepinte

Publié le 22/02/2021 par PCF

Le PCF adresse un grand coup de chapeau à la NASA et à tous les scientifiques et professionnels de l’espace, engagés en France, aux États-Unis et ailleurs sur ce magnifique projet ; c’est un succès incontestable du point de vue scientifique, technique, humain.

L’atterrissage de Perseverance, avec une précision inégalée, est en effet la consécration de plusieurs années de travail de ces centaines d'hommes et de femmes à travers le monde.

C'est une nouvelle étape dans l’exploration scientifique pacifique de la planète sœur de la Terre : Mars. Au-delà de la recherche de l'existence de vie hors de notre planète, avec une découverte potentielle qui bouleverserait la biologie mais aussi notre regard philosophique sur le monde, mieux connaître Mars et l’ensemble du système solaire permet aussi de mieux comprendre la place singulière de la Terre et du changement climatique en cours. 

Perseverance témoigne aussi de la mobilisation du meilleur du savoir-faire français, avec notamment la caméra Supercam, qui a mobilisé de nombreux laboratoires en France et impliquant plus de 300 scientifiques et ingénieurs. Elle sera l’un des éléments clés du travail d’observation et prospection de la mission. C'est aussi plus de 350 scientifiques à travers le monde, des géologues, géochimistes, astro-biologistes, qui suivront jour après jours le parcours du robot et le guideront depuis la terre ces prochains mois. C’est dans la coopération large et désintéressée que les plus grands projets sont possibles.

L'exploration spatiale fait l’objet d’un débat sur son coût. Pourtant, pour lutter contre les inégalités et la pauvreté à travers le monde, c’est bien aux budgets militaires qu’il convient de s’attaquer : ils se montent à près de 2 000 milliards de dollars par an à l’échelle du monde.

Et l’exploration spatiale a par ailleurs d’importantes retombées sur les technologies futures dans les domaines des télécommunications, de l’électronique ou des matériaux.

Perseverance est aussi la démonstration que la recherche se joue sur le long terme. Elle nécessite des investissements pérennes et des chercheurs en nombre croissant aux carrières attractives, ce qui est incompatible avec la rentabilité de court terme. C'est là est une des clés de la réussite

C’est aussi la preuve par Mars que la détermination et la coopération permette de relever de grands défis. C'est une belle leçon pour l'Humanité face à la pandémie que nous vivons actuellement : c'est en effet par la coopération et la mise en commun des connaissances que nous sortirons gagnants face aux difficultés.

Qu’elle soit robotisée ou humaine, l’exploration spatiale doit continuer de faire rêver et impliquer toutes les nations du monde, sur une base de paix et de science, pour le progrès de l’humanité.

 

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Quel service public de l’électricité ?

22 Février 2021, 13:22pm

Publié par PCF Villepinte

Publié le 17/02/2021 par PCF

 

Le samedi 13 février, le Parti communiste a lancé, par une première journée nationale de travail et d’échanges sur le thème « Quelle industrie pour quel service public de l’électricité ? », un processus d’états généraux de l’énergie sous l’impulsion de diverses commissions et des revues Progressistes et Économie et politique.

Entre la participation à la plateforme zoom, et les diffusions en direct sur différents supports, ce sont près de 200 personnes qui ont suivi les échanges, témoignant de l’importance et de l’actualité d’un sujet qui appelle des suites, tant l’appréciation positive de l’évènement a été largement partagée. Des documents seront bientôt mis à la disposition de toutes et tous : résumé, interventions, contributions.

Si la production d’électricité a été abordée dans toutes ses dimensions, scientifiques, technologiques, industrielles, environnementales, économiques, géopolitique, structurelles, c’est sans aucun doute l’urgence de l’enjeu politique et de société qui a émergé le plus fortement.

Car l’idéologie de la sobriété énergétique qui se développe actuellement ne recouvre pas la seule préoccupation nécessaire d’améliorer l’efficacité énergétique ou de lutter contre les gaspillages, mais prépare le terrain à un changement complet de paradigme pour l’organisation du système électrique, où ce ne seraient plus les besoins qui piloteraient la production mais la consommation qui devrait dorénavant s’adapter à une production de plus en plus fluctuante. Les coupures ponctuelles de courant, la diminution du confort de vie dans une situation où pourtant 5 millions de foyers français sont déjà en situation de précarité énergétique, font partie de tous les scénarios envisagés par RTE, dans le moment précis où le capital financier entend s’emparer des derniers pans de service public de l’électricité avec le projet Hercule, et finir de se désengager du secteur stratégique de la filière industrielle française que représente General Electric.

Les prédations capitalistes déjà en cours dans la filière de l’électricité nous appellent à des réponses nouvelles de nature à recréer le lien de confiance entre la population et son service public de l’électricité.

Ainsi le soutien à la mobilisation très forte des salariés d’EDF pour obtenir le retrait du projet Hercule comme à celle des salariés de la filière industrielle contre les PSE doit s’accompagner d’une offensive politique très forte, réaffirmant :

  • La nécessité d’une part de nucléaire dans le mix électrique pour répondre au besoin croissant d’électricité, impliquant de nouvelles recherches pour un nucléaire plus sûr, plus efficace, capable de fermer le cycle des déchets, en parallèle de la poursuite des recherches sur l’hydrogène notamment.
  • Le caractère indispensable de l’outil de service public intégré et démocratisé pour répondre aux défis sociaux, écologiques, économiques, l’arrêt du projet Hercule, la fin de l’ARENH et de la CSPE, la réintégration d’EDF.
  • Le besoin de maîtrise publique et sociale d’acteurs industriels renforcés coopérant de manière étroite entre eux et avec le service public, reposant sur des pouvoirs nouveaux des salariés et des élus ; une réintégration de la filière pourrait commencer par prendre la forme de nouvelles nationalisations et d’un GIE (Groupement d’intérêt économique).
  • Le besoin de nouveaux financements échappant au critère de rentabilité immédiate.
  • Le besoin d’une nouvelle planification démocratique articulant cohérence nationale et définition des besoins à partir des territoires, dans le refus de toute régionalisation de la distribution et de la production d’électricité qui serait une atteinte grave à l’unité du pays.

La discussion a permis de donner un contenu à ce qui pourrait être un pôle public de l’énergie répondant à tous ces objectifs, à mettre au cœur du projet communiste.

La journée s’est conclue par un appel à la mise en mouvement de tous les communistes pour participer à la construction d’un grand mouvement populaire en faveur d’un service public et d’une filière industrielle de l’électricité aptes à répondre aux besoins. Construisons des actions partout sur le territoire : motions, interpellations d’élus, débats, rencontres avec la population, avec les salariés, convergences avec tous les secteurs industriels car l’industrie est couplée à l’énergie. La puissante mobilisation contre Hercule peut gagner et entraîner avec elle des exigences nouvelles de transformation progressiste.

Cette première journée nationale d’états généraux en appelle d’autres, sur les enjeux liés au gaz notamment, ainsi que sur les enjeux internationaux, dans le cadre d’un processus largement ouvert.

Muriel Ternant

secrétaire départementale, Territoire de Belfort

 

 

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Aide alimentaire : les Restos du Cœur au secours des étudiants

19 Février 2021, 07:56am

Publié par PCF Villepinte

Aide alimentaire : les Restos du Cœur au secours des étudiants

Jeudi 18 Février 2021

Les étudiants sont frappés de plein fouet par la crise sanitaire, beaucoup basculent dans la précarité et doivent désormais recourir à l’aide alimentaire pour se nourrir.

À la Cité universitaire internationale, située dans le 14ème arrondissement de Paris, le besoin est tel que les Restos du Cœur y tiennent une épicerie chaque mercredi, depuis le mois de septembre, réservée aux étudiants du campus. Les bénéficiaires peuvent s’y approvisionner gratuitement : pâtes, riz, conserves, fromages, des œufs, quelques légumes…

Mais aussi des produits de “ramasse”, frais, en provenance des supermarchés, fournis en date limite. De 120 bénéficiaires au lancement, l’affluence d’étudiants en difficulté vient de dépasser les 400 personnes.

Pour faire face à la demande, l’association vient d’instaurer une deuxième date hebdomadaire pour la distribution. Avec un campus de 6 000 étudiants, regroupant 150 nationalités, nombre des étudiants présents dans la file sont étrangers.

Comme leurs camarades français, les étudiants étrangers accusent le coup des pertes d’emploi liées au Covid-19, mais aussi d’une plus grande difficulté à trouver un petit boulot en raison de la barrière de la langue.

Certains font également face à une baisse conséquente de l’aide familiale dans leur pays d’origine. Axel, étudiant argentin a perdu son travail lors du deuxième confinement: “Pour moi, ces distributions sont vitales. Sans elles, je ne pourrais pas m’alimenter” raconte-t-il.

Zaira vient du Mexique : “Je n’aurais jamais pensé que ça m’arriverait un jour!” reconnaît l’étudiante de la Cité universitaire internationale, contrainte de se rendre ici alors que l’aide de sa famille -elle-même en difficulté- a diminué avec la pandémie.

Une situation qui pousse les Restos du Cœur à opérer à la Cité U chaque mercredi, comme en atteste Kévin, bénévole. “Ce n’est pas normal de devoir venir aux restos du cœur pour pouvoir manger.

On devrait pouvoir les aider, pour qu’ils puissent étudier tranquillement, sans avoir à se soucier de ce qu’ils vont manger le soir”.

La distribution se tient les mercredis et jeudis, de 18h à 21h, uniquement pour les étudiants de la Cité internationale universitaire de Paris.

 

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VILLEPINTE : Echos du Conseil municipal du 6 février 2021

19 Février 2021, 07:47am

Publié par PCF Villepinte

Résultat de recherche d'images pour "Villepinte 93"

Règlement intérieur :

Un nouveau règlement intérieur  a été adopté par les amis de Mme le Maire.

Ce règlement tout aussi anti démocratique que le précédent puisqu’il  ne respecte pas le droit à la parole de chaque élu, sera contesté au tribunal administratif.

Commissions :

Diverses commissions municipales ont été réélues, suite à des reclassements dans un groupe politique.

Le  groupe Villepinte en commun où siégeaient   une partie de droite, l ‘extrême centre macroniste et la fausse gauche a vu partir deux élus et a récupéré une élue en recherche de … promotion rapide.

La droite est donc repartie à …droite, l’extrême centre est resté à…droite et Villepinte en commun qui se pensait majoritaire, se retrouve Gros-Jean comme devant.

Egalité Femme/Homme du personnel municipal.

Constatant que cette égalité n’existait pas, du fait que les agents hommes les plus âgés ont les salaires les plus élevés, Mme le maire a trouvé la solution « Il faut virer les vieux !». Plaisantait-elle ?

Rapport d’orientation budgétaire.

Mme le maire continue de bétonner Villepinte et vend les bijoux de famille (Terrains du Château d’eau, de l’ancienne cuisine centrale, Terrains Le Péchoux rebaptisés «  Pépinière »), pour 3.361.000 €. Cela lui permet de financer quelques projets tardifs comme l’école à implanter au Vert-Galant. La crèche attendra!. Les économies se feront sur le personnel : non remplacement des départs en retraite, réorganisation du travail, polyvalence. La sincérité de ce budget soulève bien des doutes.  

HAIE BERTRAND

Le 10ème anniversaire du vide-grenier de la Haie Bertrand se déroulera le dimanche 30 mai 2021.

PARTICIPATION FINANCIERE DE LA COMMUNE A L’ECOLE PIE X DE TREMBLAY EN France

Une attaque en règle contre l’Ecole de la République ! Comment peut-on cautionner d’attribuer le versement de 267 euros par enfant représentant les frais de scolarité. Soit une subvention de 12 549 euros pour 47 élèves, versée à une école privée alors que les écoles publiques manquent de tout !

Pourtant, seuls les 4 élus du groupe d’opposition « La force citoyenne et écologique de Gauche » ont voté contre.

UN TRAVAILLEUR SOCIAL AU COMMISSARIAT

Un travailleur social assurera le suivi des victimes. L’Etat financera 50 % du poste et le reste du financement se répartira entre les communes de Villepinte et Tremblay en France. Ce travailleur social sera rattaché hiérarchiquement à Villepinte.

LA CO-PROPRIETE DEGRADEE DU PARC DE LA NOUE

Les études réalisées lors du mandat de Mme Nelly ROLAND ont été jugées peu satisfaisantes – pour quelles raisons ? Nous ne le saurons pas – par la majorité de Mme Martine Valleton. Soit un délai supplémentaire inutile de 10 ans.

L’opération de Requalification des Copropriétés dégradées d’Intérêt National (ORCOD-IN) gérant  ce dossier est très opaque. Il est regrettable que les habitants du quartier secteur, les commerçants ne soient pas plus sollicités, ainsi  les habitants du Hameau des Noisetiers qui ne sont pas consultés mais qui devront subir les désagréments liés aux travaux futurs.

VACCINATIONS contre le coronavirus, cela n’avance guère!

A la date de ce conseil municipal, 6 février 2021, 36 Villepintois de plus de 75 ans hors EHPAD étaient vaccinés. 42 devaient l’être la semaine suivante. Cette information résulte d’une question du groupe « La force citoyenne et écologique de Gauche ».

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Le tournant écologique sera-t-il nucléaire ?

19 Février 2021, 07:18am

Publié par PCF Villepinte

Atome(s)

https://1.bp.blogspot.com/-D1UEmu7HBks/YC59A1guPsI/AAAAAAAAGXk/PO0xm3jhsbUbpoM_9gDEnuUtkB5bAE5MwCLcBGAsYHQ/s320/Nucleaire-et-ecologie-e1608487827175.jpg

Horizon. 

La jugeote d’abord. Partant du principe assez élémentaire que, en toutes choses, il convient toujours de partir des réalités, nous faisons nôtre la «philosophie de la praxis» du Rouge Gramsci : «Pessimisme de l’intelligence, optimisme de la volonté.» Un cliché? Dommage.

Il est dailleurs un sujet qui, depuis quelques années, nautorise quasiment plus aucun débat dépassionné, singulièrement dans la grande famille dite de «gauche». Résumons ce sujet maudit par une question provocante: le tournant écologique sera-t-il nucléaire, au moins pour un certain temps? Nous entendons déjà les polémiques.

Mais que les choses soient claires: le bloc-noteur n’écrira pas ici-et-maintenant que l’énergie nucléaire est l’horizon indépassable de l’humanité. Mieux: la conviction simpose quun jour – quand? – latome sera devenu obsolète, sauf à considérer que la fusion nucléaire soit totalement maîtrisée et révolutionne le genre pour les générations futures.

Appel.

 La lutte contre le réchauffement climatique mérite sérieux et controverses raisonnées. L’affaire est si brûlante qu’un comité d’une cinquantaine de personnalités, composé de scientifiques, d’élus et d’anciens ministres de droite comme de gauche, vient de se constituer afin de dénoncer la logique antinucléaire de la France, qui serait antinomique avec la visée écologiste.

Le comité porte un nom: lAssociation de défense du patrimoine nucléaire et du climat (PNC-France). Parmi les signataires? À gauche: Hubert Védrine, Jean-Pierre Chevènement, Arnaud Montebourg, David Habib, mais aussi les communistes André Chassaigne et Sébastien Jumel. À droite: Bernard Accoyer, Hervé Mariton, ou le gaulliste Julien Aubert. Des scientifiques: Claude Cohen-Tannoudji, prix Nobel de physique, Yves Bréchet, membre de lAcadémie des sciences

Et même des patrons, comme Louis Gallois. Vous lavez compris, cet appel intervient au moment où la filière se trouve face à des défis majeurs: obtenir la prolongation dune partie des réacteurs et persuader les pouvoirs publics dengager de nouveaux chantiers au plus vite. PNC-France fustige ainsi ceux qui «cèdent à une idéologie antinucléaire d’un autre âge, relayée par de puissants lobbies», orientation «d’autant plus paradoxale que la France, grâce au nucléaire, est le seul grand pays dont la production d’électricité est déjà décarbonée».

Raison. 

Ne nous mentons pas. La question du devenir énergétique de la planète reste au cœur des enjeux fondamentaux, sociaux, scientifiques et politiques, à l’horizon de la fin du siècle. D’où la responsabilité qui nous incombe d’agir pour que le futur de la Terre se conjugue, au sein d’une biodiversité maintenue, avec le développement de l’espèce humaine. L’obligation de diversifier les sources de production d’énergie ne se pose plus.

Un examen des rendements réels conduit toutefois au verdict suivant: si lon vise à développer des filières de production protégeant notre environnement, et suffisamment efficaces pour ne pas buter sur des problèmes d’approvisionnement, pouvons-nous nous passer, pour les quelques décennies qui viennent, de l’utilisation de l’énergie nucléaire?

Si «oui», une telle posture ne reviendrait-elle pas à pérenniser un statut quo planétaire où seule une minorité de pays développés gérerait la planète, en utilisant l’ensemble des moyens de domination militaires, économiques et idéologiques dont elle s’est dotée, et sans jamais nous demander: quand sortirons-nous du nucléaire militaire, qui continue de se déployer sans aucun contrôle populaire?

Le nucléaire civil, lui, nécessite encore des investissements, sur des principes physiques connus, au service de lhomme et de la planète, sans minimiser les problèmes spécifiques et essentiels découlant de son utilisation. Proposer l’arrêt de tout développement ne serait-il pas perdre plusieurs années critiques? Au terme desquelles la raison et la réalité imposeront de reprendre le travail mais avec un retard qui pourrait s’avérer catastrophique. 

[BLOC-NOTES publié dans l'Humanité du 19 février 2021.]

Publié par Jean-Emmanuel Ducoin 

 

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La pauvreté, c'est pas une fatalité! Campagne PCF 93

18 Février 2021, 10:17am

Publié par PCF Villepinte

Vous trouverez ➡️ lCI ⬅️ l'actualité du PCF 93 et de la campagne "La Pauvreté c'est pas une fatalité"
Pour exiger de M Macron des mesures d'urgences face à la crise sociale
⬇️ ⬇️ Je signe ⬇️ ⬇️ 

Cliquez

Pauvreté_1.jpeg

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CGT : Prolongation de la trêve hivernale, mais sans réelle perspective pour les mal logés

18 Février 2021, 08:46am

Publié par PCF Villepinte

LOGEMENT

15 février 2021 | Mise à jour le 15 février 2021

Par Christine Morel

En raison de la crise, le gouvernement reporte au 1er juin la fin de la trêve hivernale. Une réponse insuffisante face à l'explosion des impayés de loyers et de charges anticipées par la Fondation Abbé Pierre. Et face au manque de logements sociaux que sa politique a contribué à aggraver.

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Alors que la Fondation Abbé Pierre présentait son 26e rapport sur « L'état du mal-logement en France », le gouvernement a annoncé le 2 février sa décision de reporter de deux mois la fin de la trêve hivernale. Ni expulsions ni coupures d'énergie ne pourront donc être effectuées avant le 1er juin.

Une disposition déjà mise en œuvre à deux reprises l'année dernière, avant qu'il soit décidé qu'aucune expulsion ne pouvait être exécutée sans relogement. Leur nombre a ainsi chuté de 16700 en 2019 à 3500 en 2020. «On va être au moins sur cette ligne, on ne peut pas imaginer, cette année, d'expulsion sèche sans relogement ou au moins hébergement», a annoncé la ministre déléguée au logement, Emmanuelle Wargon, devant la Fondation Abbé-Pierre. «En sortie de trêve, il s'agira d'échelonner les expulsions avec le concours de la force publique pour maintenir les personnes fragiles dans leur logement, en indemnisant systématiquement les bailleurs publics ou privés» a-t-elle précisé.

Mais qu'en sera-t-il après? Dans son rapport la Fondation Abbé Pierre met en garde contre les effets de la crise sociale produite par la crise sanitaire. Si leur ampleur est inconnue, la Fondation alerte sur plusieurs signaux très inquiétants et parle d'une «bombe à retardement» concernant le «mal logement».

La situation financière de 32 % des Français s'est dégradée depuis le début de la crise sanitaire

Selon le sondage Ipsos, réalisé en janvier pour la Fondation, la situation financière de 32 % des Français s'est dégradée depuis le début de la crise sanitaire. Les jeunes (43 % des 18-24 ans) et les plus démunis (55 % des allocataires des APL — aides personnalisées au logement) sont les premiers affectés et le recours à l'aide alimentaire est en forte hausse, surtout chez les jeunes.

Si le nombre des impayés de loyers reste inconnu, le sondage Ipsos est parlant : 24 % des locataires ont eu des difficultés pour payer leur loyer, la proportion montant à 42 % chez ceux qui reçoivent des APL. Et 12 % des sondés ont par exemple eu recours à l'aide de proches. In fine, 29 % des Français expriment des craintes liées à leur logement.

Les personnes qui ont vu leur situation se fragiliser sont y compris des personnes relativement protégées en temps normal, mais pour qui perdre de 20 à 30 % de leurs 1200 ou 1500 euros de revenu mensuel est difficilement surmontable (chômage partiel non compensé, arrêt des pourboires, baisse des missions d'intérim, etc.) Si le poste logement représente en moyenne 25 % des dépenses des ménages français, pour les plus modestes et les précaires c'est souvent plus de la moitié.

La «bombe à retardement» des impayés de loyers

Pour les nouvelles victimes de la crise c'est l'engrenage : après avoir pioché dans leurs économies pour payer leur loyer elles restreignent les budgets alimentation, santé… jusqu'à ce que cela ne suffise plus.

Elles viendront donc s'ajouter aux personnes qui étaient déjà en procédure pour impayés de loyer. Or, quand les expulsions locatives reprendront, aux 15000 ou 16000 expulsions annuelles en temps normal s'ajouteront également les personnes non expulsées en 2020, mais qui sont toujours en contentieux. Une véritable «bombe à retardement» alerte la fondation Abbé Pierre qui craint un «quasi-doublement des expulsions locatives» à la fin de la trêve hivernale.

Face à l'attentisme du gouvernement, la Fondation Abbé Pierre exhorte ce dernier à anticiper la situation en créant un fonds national pour les impayés de loyers et de charges afin de venir en aide aux ménages en difficulté. Sauf qu'Emmanuelle Wargon n'en est déjà plus là.

Un manque abyssal de logements sociaux

«Cette prolongation de la trêve hivernale s'accompagne (…) d'un objectif de construction de 250000 logements sociaux en deux ans» a précisé la ministre devant la délégation de la Fondation Abbé Pierre. Car la situation est inquiétante : 2,1 millions de ménages sont déjà en attente d'un logement social et, en prime, à cause de la crise sanitaire, le nombre d'attributions de HLM devrait chuter de 20 % par rapport à l'année dernière. Soit 100000 de moins par rapport à 2019 et autant de ménages supplémentaires sans solution de logement (personnes qui sortiraient d'hébergement d'urgence, sont sans logement, se séparent)

En cause : l'embouteillage dans la chaîne d'attribution des logements sociaux (impossibilité de faire des états des lieux d'entrée et de sortie lors du premier confinement, locataires inquiets pour l'avenir et qui ne déménagent pas…)

Construction de logements sociaux, mixité… depuis plusieurs semaines Emmanuelle Wargon semble vouloir reprendre la main tous azimuts. Entre autres déclarations, le 7 décembre, elle faisait savoir sur RTL que «cette année, pour la première fois, l'État [allait] sanctionner plus de la moitié des villes» qui, ne respectent leur 25 % de logements sociaux obligatoires aux termes de la loi Solidarité et renouvèlement urbain (SRU). En fait, des villes qui sont surtout réfractaires à la mixité sociale que la ministre dit vouloir relancer. Poussant plus avant, le 12 février la ministre déclarait au Figaro : «Cette loi s'arrête en 2025, ma volonté est de la prolonger au-delà de 2025». Et d'annoncer un projet de loi en ce sens.

L'appauvrissement planifié des bailleurs sociaux

Soit. Poussé par la crise, le gouvernement consent à un petit rattrapage en matière de construction de logements sociaux. Il n'a pas pour autant l'intention de revenir sur les décisions désastreuses du quinquennat en matière de politique du logement.

Or, il est évident que le «choc de l'offre» promis par la loi Évolution du logement, de l'aménagement et du numérique (ELAN — 2018) n'a pas eu lieu. Résultat de ses choix politiques, le nombre de permis de construire n'a pas cessé de baisser depuis l'élection d'Emmanuel Macron. Outre la suppression de l'aide aux maires bâtisseurs ou encore la limitation du prêt à taux zéro, c'est le modèle économique des organismes HLM qui a été attaqué dans l'objectif de les appauvrir.

L'effet ne s'est pas fait attendre puisqu'ils ont été acculés à réduire tant l'entretien de leurs immeubles que la production de logements sociaux. Ainsi leurs recettes ont été lourdement ponctionnées (près de 7 milliards d'euros) pour alimenter le budget de l'État ce dont Action Logement qui gère la Participation des Employeurs à l'Effort de Construction (PEEC) a également été victime (1,3 milliard d'euros en 2021).

Et pendant ce temps-là la réforme des APL entre en application au bénéfice de l'État

Autre dispositif poursuivant le même but, la réduction du loyer de solidarité – RLS appliquée par les bailleurs sociaux aux locataires dont les ressources sont inférieures à un certain plafond – s'est accompagnée d'une baisse des APL (les fameux 5 euros) et d'une réforme de leur mode calcul, selon les revenus les plus récents. Reportée à plusieurs reprises, celle-ci est finalement entrée en vigueur le 1er janvier dernier.

En raison de la crise, elle ne va rapporter à l'État qu'entre 500 et 700 millions d'euros au lieu du 1,2 milliard escompté. Mais sur le fond rien ne change : le principal objectif de cette réforme est «de réaliser des économies sur le dos des ménages les plus modestes» fustige la CGT dans son communiqué. Peu soucieux de la cohésion sociale, le gouvernement se désengage de leur protection.

Son plan de relance de l'économie de 100 milliards d'euros en est d'ailleurs l'illustration. Non seulement il ne prévoit rien pour lutter contre la montée de la pauvreté, mais il n'accorde que des miettes au logement social : 500 millions d'euros d'aide à la rénovation pour les bailleurs sociaux, rien pour qu'ils relancent la construction. Pourtant, ne dit-on pas couramment que «quand le logement va, tout va»?

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