23 septembre.La police compte les manifestants...

Bienvenue sur le blog des communistes de Villepinte
Les communistes de villepinte vous invitent à utiliser ce blog comme point de rencontre et d'échanges concernant la situation politique ,économique ,sociale et environnementale du local à l'international.
23 SEPTEMBRE Au cœur du défilé parisien en attendant la suite en encore plus fort, les 2 et 12 octobre 2010
Raphaël Vahé, président de l’association des Anciens Combattants :
« il ne faut pas oublier que le cri au fond des tranchées était un cri de guerre social, pour l’émancipation totale de la société. On est solidaire du mouvement parce que malgré un pays ruiné en 45, il était possible d’avoir des conquêtes, comme aujourd’hui pour les retraites ».
De plus en plus de jeunes sont visibles dans les manifestations. Ils sont partout dans le cortège, avec la CGT notamment, mais aussi avec la FSU et les Collèges de Banlieue. Un cortège de plusieurs milliers de jeunes vient d’ailleurs de quitter la place de la Bastille, derrière les banderoles de l’UNEF, de l’UNL et de la FISEL, sans oublier le Collectif des Jeunes contre la Réforme de la Retraite. Ce dernier rassemble des organisations, des associations et des syndicats de jeunes. Leur cortège était animé par les jeunes de la JC (Jeunesse communiste).
Roland Muzeau, porte-parole des députés communistes :
« On attend que cette manifestation soit un pas supplémentaire vers une mobilisation encore plus considérable. C’est déjà extraordinaire aujourd’hui, et dans l’ensemble du pays. Je pense que l’on peut faire reculer le gouvernement sur ce sujet. Au sénat, il va y avoir une très grande bataille, et les sénateurs communistes vont beaucoup s’impliquer. Cette bataille va être en relais avec les luttes sociales ».
Henri Gorgues Parti de Gauche à Villepinte
Salut à vous. Pour nous qui étions à la manif d'hier selon les syndicats, et qui n'y étaient pas, selon la police, voici un extrait du dernier papier de JLM sur son blog:
La bataille du gouvernement pour afficher une baisse de la mobilisation contre sa réforme des retraites nous rend service. C’est un tel mensonge et un tel camouflet pour ceux qui perdent des jours de paye ! Ca rend enragé ! Surtout quand l’Elysée ajoute que cela prouverait « un progrès de l’adhésion des français à la réforme » ! Une provocation mise au point par un petit malin de communicant, sans doute. Elle nous sert magnifiquement. Les gens qui entendent ça découvrent un cynisme que souvent ils ne soupçonnaient pas. Du côté des directions syndicales tout le monde sait que le mouvement s’est enraciné dans le secteur privé. Et il reste un mois de circuit parlementaire pour la loi ! D’ici là, il s’agit d’agir et de tenir le front uni. Cela non seulement au sommet des organisations mais surtout à la base, là ou les avis divergent entre partisans d’une ligne de lutte dure et ceux qui ne se sentent pas prêts à cela où qui doutent que cela soit possible. De notre côté, notre part des taches consiste à faire du travail d’explication et de mobilisation là où les syndicats ne peuvent pas agir : dans les quartiers populaires, aux portes des petites boites, parmi les retraités et partout où on peut. Encore une fois tout est dans l’action effective et pas dans les poses, postures et spéculations.
Intersyndicale du 24 septembre Communiqué commun
CFDT, CFE/CGC, CFTC, CGT, FSU, UNSA
Les organisations syndicales considèrent que la journée nationale d’action du 23 septembre 2010 est un franc succès. Les salariés du public et du privé, en participant massivement à cette 2ème journée de grèves et de manifestations du mois de septembre, ont réaffirmé leur détermination à ne pas accepter une réforme injuste et inefficace.
La journée d’hier a été marquée par l’engagement de nouveaux salariés du privé, notamment des PME mais aussi par la présence de plus de jeunes et de femmes. Cette vaste mobilisation s’accompagne d’un large soutien de la population qui refuse le report de l’âge légal de départ à la retraite de 60 à 62 ans ainsi que celui de 65 à 67 ans pour toucher une retraite à taux plein. Quoi qu’en dise le Gouvernement, la démobilisation suite au vote à l’Assemblée nationale, n’a pas eu lieu.
C’est bien l’exigence d’un véritable débat et l’examen d’autres alternatives au projet de loi qui s’expriment plus fortement.
Les organisations syndicales mettent en garde le Gouvernement sur les conséquences que provoquerait l’ignorance de la colère qui s’exprime profondément.
Les organisations syndicales réaffirment leur totale détermination. Elles confirment les termes de leur lettre ouverte unitaire au Président de la République et aux parlementaires, notamment : « le vote de ce projet dans sa logique actuelle n’est pas d’actualité ».
Elles invitent leurs organisations à poursuivre ensemble, à tous les niveaux, la mobilisation unitaire par des initiatives dans les territoires et les entreprises en interpellant les sénateurs et en utilisant (pétitions, tracts…) très largement cette lettre ouverte.
Sachant que le texte de loi sera à l’examen du Sénat à partir du 5 octobre et que la procédure parlementaire pourrait se poursuivre jusqu’au 20 octobre, elles décident :
• D’une grande journée de rassemblements et de manifestations dans le pays le samedi 2 octobre pour conforter la mobilisation et permettre l’engagement de nouveaux salariés dans l’action.
• De faire du mardi 12 octobre une nouvelle journée massive de grèves et de manifestations pendant le débat au Sénat. Cette journée trouvera toute sa place pour amplifier la mobilisation dans le cas où les parlementaires ne prendraient pas en compte ce qui s’est exprimé dans l’action et si le Gouvernement restait intransigeant. Le Gouvernement porterait l’entière responsabilité des suites que les salariés et leurs organisations entendront donner au 12 octobre.
Plusieurs organisations participeront à la journée de manifestation européenne du 29 septembre pour s’opposer aux plans de rigueur en Europe. Elle donnera l’occasion à des milliers de salariés français de porter leurs revendications, notamment sur la retraite, à Bruxelles et partout en France.
Les organisations syndicales se reverront le 4 octobre et analyseront la situation.
Le 24 septembre 2010
Photo: Abrahim Saravaki
Social-Eco - le 23 Septembre
2010
Des cortèges plus fournis, des mouvements de grèves plus suivis dans le secteur privé, les syndicats parviennent, avec la journée de mobilisation du 23 septembre, à élargir la contestation contre la réforme des retraites du gouvernement.
Cent vingt mille personnes ont défilé à Toulouse, comme à Bordeaux. Ils étaient, selon les syndicats, 220.000 à Marseille et près de 300.000 à Paris, des chiffres supérieurs au 7 septembre. Globalement, les manifestations ont fait le plein hier, lors de la deuxième journée de mobilisation contre la réforme des retraites organisée depuis la rentrée. La CGT annonce plus de 3 millions de manifestants réunis dans 230 cortèges, la CFDT en comptabilise 2,9 millions, plus donc qu’il y a 15 jours. Tous ont noté comme l’a signalé Bernard Van Craeynest, président de la CFE-CGC, « un réel renouvellement des manifestants ». Il n’y que la police pour faire baisser la statistique et comptabiliser 997.000 personnes dans les rues contre 1,12 millions le 7 septembre.
Les défilés, la plupart très dynamiques, ont rassemblé plus de salariés du secteur privé, plus de femmes, plus de jeunes, montrant que les syndicats ont atteint un de leurs objectifs : enraciner la contestation dans le secteur privé et dans des publics pour qui il n’est pas toujours facile de faire grève ou de venir manifester. « C’est quand même un événement que de constater qu'une semaine après le vote à l'Assemblée nationale d'un texte profondément rejeté dans le pays, la première des réactions soit une présence massive dans les rues », a constaté Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT. Tandis que François Chérèque, secrétaire général de la CFDT, se targue, tout sourire, d’un « pari gagné ». Pour Pierre Laurent, il est clair que « la rue a parlé et elle est unanime. » Le secrétaire national du Parti communiste estime que « le gouvernement a perdu la bataille de l’opinion ».
L’Elysée n’a pourtant pas manqué de se délecter, tôt dans la matinée, d’une « baisse sensible» du nombre de
grévistes dans le secteur public. Les taux de grévistes, qui restent forts, ont effectivement légèrement fléchi. La CGT-cheminots a recensé jeudi 49,85% d’agents en grève contre 51,8% le 7
septembre (37,06% contre 42,9%) pour la direction. Chez les enseignants, le taux s'élève à 55% dans le primaire et 45% dans le secondaire selon la FSU (25,8% pour le ministère). Le nombre
de grévistes est en baisse de 5% parmi les postiers (mobilisés tout de même à 30% selon Sud). A pôle Emploi, par contre, l’appel à la grève à mobilisé autant que la dernière fois. Elle a
été particulièrement suivie dans le transport aérien avec, en moyenne, 40% d’annulation de vols et jusqu’à 50% à Orly.
Si le président de la République en conclut que les Français « considèrent que tout cela est déjà derrière eux »,
les leaders syndicaux préviennent Nicolas Sarkozy qu’il vaudrait mieux réviser ce jugement. « Je conseillerai au gouvernement de s’inquiéter », grince jean-Claude Mailly, secrétaire
général de FO. Ce 23 septembre rassemble un public plus large que le 7 septembre. Il confirme le basculement de l’opinion publique contre son projet et un ancrage de la contestation dans le
secteur privé. Entre 50 et 80% des personnels des six raffineries Total sont, par exemple, en grève, chiffres de la direction. En Isère, quelques 60 entreprises de la métallurgie, de Péchiney à
Alcan, en passant par Caterpillar, Citroën, Thales ou Valeo ont observé entre 2 heures et une journée de grève. La CGT du commerce parisien a fait savoir que dans ce secteur la grève a été
« plus suivie » que le 7 septembre, chez Monoprix, Tati ou aux Galeries Lafayette notamment. A Paris, une douzaine d’entreprises, du public comme du privé, ont organisé une
manifestation pendant le pause déjeuner « parce qu’il n’est pas toujours possible de rejoindre la manifestation parisienne ». Jean-Luc Mélenchon ne s’y est pas trompé : dans le
cortège parisien le président du Parti de gauche s’est félicité d’un « mouvement qui s’enracine dans le privé, là où c’est le plus dur de faire grève ».
Les responsables syndicaux tirent donc comme principal enseignement de cette journée que « la contestation grandit », selon les propos de Bernadette Groison, secrétaire générale de la FSU. L’intersyndicale, qui se réunit vendredi matin devrait décider d’une nouvelle journée d’action pour samedi 2 octobre, peut-être décider d’une date supplémentaire quelques jours après, qui prennent en compte l’arrivée du projet de loi au Sénat. La discussion parlementaire devrait commencer le 5 octobre. D’ici là, les salariés sont appelés à se mobiliser, en France, dans le cadre de la journée européenne contre l’austérité organisée par la confédération européenne des syndicats.
Monsieur le Président, mon cher Stéphane
Dans une lettre adressée à Gilles Garnier le Président du groupe communiste, tu
déclares à mon sujet : « Il est le dernier des membres du groupe communiste à encore vanter à chaque séance les bienfaits de l’endettement et du recours aux emprunts dits toxiques ».
Peut-être me prends-tu pour un demeuré ? Pour ma part, j’ai toujours respecté les personnes, même les sociaux-démocrates. Ce sont les idées que je combats : par exemple, au sujet des emprunts dits toxiques, je te demande de me citer un écrit, ou une intervention de ma part qui « vante les bienfaits de l’endettement et du recours aux emprunts dits toxiques ».
Par contre, il est vrai que je dénonce dès que je le peux, les manœuvres politiciennes et électoralistes. Par exemple, je n’ai pas oublié l’article des Echos du 20 octobre 2008 dans lequel le nouveau Président lançait son 1er coup médiatique en annonçant les emprunts dits toxiques contractés par notre département, je cite l’article : « Et de mettre en cause l’ancien exécutif, présidé par le communiste Hervé Bramy… les élus ont légué à leurs successeurs un risque au moins équivalent à celui des sub-primes » (qui déclenchèrent la crise mondiale) et quelques jours après dans Le Parisien : « Les prêts toxiques feront grimper les impôt locaux » « amers, les contribuables jugent durement l’ancienne majorité communiste ».
C’est cette tromperie au sein de l’opinion que je dénonce car à Lille, Dijon, Tulles… ou aux Lilas dans la circonscription du Président du Conseil Général, les dirigeants socialistes ont souscrit les mêmes emprunts dits toxiques sans que les élus communistes les accusent de mauvaise gestion. Personne à l’époque ne mesurait les risques potentiels de ces emprunts. Emprunts qui sont à la date d’aujourd’hui toujours bénéficiaires financièrement pour notre collectivité. Les socialistes membres de l’exécutif du conseil général de Seine Saint-Denis, les avaient votés de bonne foi comme leurs collègues communistes.
Fin 2009, 2ème coup médiatique, le président annonce un trou de 100 millions dans budget. S’il dénonce justement l’Etat pour sa dette de 640 millions envers notre département, il laisse entendre que certaines mesures sociales de l’ancienne majorité ne sont pas nécessaires et qu’il faudrait les supprimer. Ce qui amènera, lors du soi disant « budget de révolte », le groupe des élus socialistes à voter avec le groupe de Droite contre l’amendement déposé par le groupe Communiste qui réintroduisait notamment les ordinateurs pour les collégiens de 6ème , la réduction de 50% des transports pour l’ensemble des jeunes du département, ainsi que la non augmentation de la carte améthyste pour les personnes retraitées.
Fin 2010, 3ème coup médiatique, le président annonce à la presse un investissement de 700 millions dans les collèges, dont près de la moitié serait réalisée par les grands groupes du bâtiment au titre des nouveaux contrats PPP (Partenariat Public Privé), lancés il y a quelques années par le capital financier anglo-saxon pour le plus grand bien de ses intérêts privés. Le Président du Conseil Général enfonce le clou en déclarant au Parisien : « maintenant que nous avons réduit nos emprunts et amélioré notre gestion, nous pouvons lancer cet emprunt de 700 millions ».
Ces 3 coups médiatiques font partie d’une même stratégie électoraliste, qui a pour idée centrale : « la mauvaise gestion supposée des communistes aurait été effacée par la soi-disant bonne gestion du Président socialiste, donc votez pour nous en mars prochain ! »
La réalité est tout autre. Si une grande opération d’investissement pour les collèges serait la bien venue, les PPP sont une mauvaise opération financière. Ils sont considérés comme plus onéreux par la Cour des comptes et y compris par le cabinet conseil du département Klopfer. Il faut être réaliste : la dette totale du Conseil général s’envolerait dans des proportions insoutenables. Elle était de 864 millions en 2008, elle est déjà passée à 953 millions fin 2010. Par quel miracle, le trou annoncé de 100 millions au budget 2010, aurait-il disparu ? Par quel miracle pourrions-nous enclencher une série d’opérations à la hauteur de 700 millions sur 5 ans ? Par quel miracle les impôts ne seraient-ils pas augmentés comme l’annonce le Président socialiste, alors que son groupe a déjà voté seul une augmentation de 13 % des impôts en 2 ans ? Assez d’effets d’annonces, surtout que la fin des Conseils généraux est annoncée pour 2014. On dit que les promesses ne sont faites que pour ceux qui veulent bien les croire (il est vrai que les élections cantonales auront lieu dans 5 mois !). C'est-à-dire qu’aucune opération ne sera engagée d’ici à ces élections. Ce nouveau coup médiatique est bien avant tout, un coup électoraliste pour mars prochain :
« C’est une promesse fictive de 5 ans pour une victoire espérée dans 5 mois ».
Bobigny, le 22 septembre 2010
Carte postale à imprimer !
L’heure est à la mobilisation massive le 23 septembre
Alors que 74% des salarié-e-s refusent le recul des âges légaux de départ et que 63% réclament l’ouverture d’un vrai débat national incluant des propositions alternatives (CSA-La CGT), Nicolas Sarkozy et les députés UMP ont choisi d’utiliser la force pour faire passer à l’Assemblée nationale leur « réforme » sur les retraites. Les syndicats unis sont, eux, déterminés à faire céder le gouvernement.
Le 23 septembre, journée nationale de grèves et de manifestations, comptera pour imposer le droit à la retraite à 60 ans à taux plein.
Avec la retraite à 62 ans (à 67 ans à taux plein) c’est la vie des salarié-e-s qui serait mise à mal. L’objectif de la droite et de mettre en cause notre système de solidarité entre actifs et retraités.
Pourtant, l’allongement de la durée de vie en bonne santé devrait être considéré comme la chance d’une nouvelle période de vie sécurisée et les moyens existent pour financer une bonne retraite à 60 ans pour tous.
Les solutions existent. C’est le sens de la proposition de loi des parlementaires communistes, républicains et du Parti de gauche, garantissant le financement de la retraite à 60 ans à taux plein. Plus de 200 000 citoyen-nes ont signé cet été une pétition pour la soutenir.
Le débat parlementaire n’est pas fini, il se poursuit au Sénat. Derrière les syndicats, le PCF appelle à la manifestation le 23 septembre dans toutes les villes de France. L’heure est à la mobilisation massive pour faire échouer cette réforme. Le 23 septembre, des millions de salarié-es seront mobilisés pour se faire entendre et respecter.
Parti communiste français,
Paris, le 21 septembre 2010.
Vendredi dernier, autour de trois cents personnes, dont des artistes, comédiens, chanteurs, des élus des villes voisines, responsables des activités culturelles, ont participé à une présentation très réussie, des évènements culturels 2010/2011 à Villepinte.
Avec beaucoup de talent et de gentillesse, Gérard Mendy a « slamé » un programme qui devrait répondre aux attentes très diversifiées des habitants. Fabienne Thibeault et une partie de sa troupe ont chanté des extraits de Starmania. Didier Heurteux, en trois chansons a donné envie d’écouter son récital Vous…Nous…Garo. Les cinq filles de la compagnie quartet Buccal nous ont présenté un Gang bien drôle et fort mélodique.
Pour terminer cette agréable initiative, madame le Maire Nelly Roland, nous a invités à boire le verre de l’amitié
Rassemblement le 23 septembre 2010, à 11h30 devant la mairie annexe, avenue Paul-vaillant Couturier, pour le départ en car à 11h45, pour la manifestation de la Bastille à la place de la Concorde
Départ en manifestation le 7 septembre, avec des élu-e-s, madame le Maire en tête.
Alors qu’une majorité de Françaises et de Français n’en veulent pas, Sarkozy et les députés UMP ont utilisé la force pour faire passer à l’Assemblée nationale leur « réforme » sur les retraites. La droite, le MEDEF et même le Front national sautent de joie. A l’inverse, les syndicats unis sont déterminés à faire céder le gouvernement. « Le débat ne s’arrête pas avec le vote de l’Assemblée nationale » précise François Chérèque, secrétaire général de la CFDT.« Sur la retraite à 60 ans, nous irons jusqu’au bout » déclare Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT.